Ouaille
27/03/2016
La reconquête de Palmyre génère une gêne qui semble difficile à vivre chez pas mal de monde. On a l'impression que nombre de belles âmes, humanistes et tout, auraient finalement préféré qu'on en reste là, sans que ce là soit autre chose qu'une attente brumeuse. Les attentats d'un côté, certes, mais Assad de l'autre, et un conflit cognitif à gêrer comme on peut. Alors oui, manifestons contre la peur, ça évite le vertige de contempler ses certitudes si mal imbriquées.
Eric Basillais
29/03/2016
A lire cet article de Ph. Grasset, comme celui de Bricmont ( https://francais.rt.com/opinions/18102-contre-amour) à propos des suites psychologiques et géopolitiques des attentats derniers de Bruxelles, ce qui me frappe particulièrement est l'usage du NOUS de culpabilité .
Globalement, NOUS avons des responsabilités partagées avec les tactiques de guerre géopolitiques (G4G)... etc.
Sauf que factuellement cela est faux. Les gouvernants prennent les décisiosn qu'ils veulent sans les mandants. S'il fallait réagir sainement, ce serait de comprendre que, en tant que populmation civile, NOUS sommes toujours succeptible d'être utilisés mais certainement pas de décider. NOUS n'avons donc aucun compte à rendre au sujet des bras de fer géopolitiques.
NOUS ne devrions même pas défiler à cette occasion, pour la simple raison que les défilés sont devenus socialement inopérants ( voir les reculs sociaux) et procèdent désortmais d'une forme de procession 'laïque', ( adjectif cachant une autre vérité-de-situation par conséquent).
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