Antoine
02/06/2007
Le problème pour le clan CHENEY est l’attaque initiale. Apparemment il est bloqué au sein même de l’administration BUSH.
Mais si l’attaque initiale était menée par ISRAEL ? (Israël dispose de plus de 100 F-16i “Soufa” capables de frapper tout le territoire Iranien).
http://www.aerocontact.com/news/ac_news_art.php?ID=00351
Etant donné que AHMADINEJAD ordonnerait une riposte par missile sur le territoire sacré d’ISRAEL, Une contre-attaque US aérienne massive serait déclenchée contre l’IRAN. (vu leurs liens ineffables et indéfectibles, même le congrès serait d’accord)
Et voilà le travail, ONCLE SAM pourrait montrer comment il peut casser un pays -sans intervention de troupes au sol- comme ils l’ont déjà fait en SERBIE.
Une participation du porte avions Charles de Gaulle apportant le soutient moral de la FRANCE est même possible, M. SARKOZY étant un soutien déclaré d’ISRAEL, “dont la sécurité est non-négociable”.
(NB le Charles de Gaulle a participé ces derniers temps au bombardement de l’AFGHANISTAN en compagnie de l’USS Stennis)
Tout ceci n’est bien sûr que pure prospective, les risques d’une telle opération étant énormes. Quand prend on le plus de risques ? Quand on a plus rien à perdre. C’est le cas de BUSH et d’OLMERT (presque ‘démissionné’ en même temps qu’Amir Peretz il y a quinze jours…),
Alors QUAND ? je ferais une triangulation entre la fin du mandat de TONY BLAIR, la fin du mandat de BUSH, et la fin des législatives FRANCAISES…
L’abondance et la disponibilité des forces aériennes et navales pour cette opération ne pose pas de problème. (Avec ou sans les Français)
Alper
03/06/2007
Je suis d’accord avec le constat qu’on prend le plus de risque alors qu’on a peu à perdre, le risque pris alors n’est plus vraiment un risque dans le sens où on pourrait perdre encore quelque chose (il n y a plus grand chose à perdre), ça devient plus un espoir qu’un risque.
Maintenant il faut savoir combien les USA sont au “dos du mur”, pour entreprendre des actions suicidaires par espoir d’une sortie par le haut de sa politique et son engagement armé au M.O.
La puissance de la “dramatisation” dont parle l’article, sera un signe intéressant pour voir combien l’administration américaine se laissera aller, hors d’une politique raisonnable, se livrant alors à ses risques et périls à une possible et lourde chute, un peu comme le joueur au casino qui mise tout sur le noir pour se refaire.
Emmanuel Lézy
04/06/2007
Un article de William Thomas insiste sur trois choses:
l’immnence d’une frappe américaine en Iran (Nov. si pas de “provocation” avant)
L’impossibilité d’une victoire conventionnelle et le recours prévu aux “mini nuke” (qui sont l’enjeu commercial de cette campagne)
L’Apocalypse nucléaire qui frapperait l’ensemble de l’hémisphère Nord et qui semble faire partie de la quête désespérée des fondamentalistes de “skull and bones” d’une fin du monde “en beauté.
Le verrou Fallon pourra -t-il tenir jusqu’en novembre, Espérons le!
http://www.willthomas.net/Convergence/Weekly/US_Attack_Iran.htm
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