giovanni
08/01/2005
Si Bush voulait s’en inspirer…
PAR JACQUES DE SAINT-VICTOR
[06 janvier 2005]
«Les historiens d’Alexandre ont fait plus de rois brigands que la vie de Cartouche n’a fait de voleurs.» À la fin du XVIIIe siècle, Louis-Sébastien Mercier résumait la légende noire qui n’a jamais cessé de planer au-dessus de la figure mythique d’Alexandre. Figure mythique ? Depuis plus d’un siècle, le roi de Macédoine est, à l’inverse de César ou de Napoléon, particulièrement méconnu de la culture populaire. Comme à la Renaissance, où l’influence du néostoïcisme avait éclipsé sa renommée, son nom est, aujourd’hui, confondu avec ceux d’autres grands héros de l’Antiquité qui ornent, sans qu’on y prête plus attention, les fresques de nos palais.
Avec l’ignorance, on a surtout fini par oublier que le roi solaire, célébré par Louis XIV à travers les peintures de Le Brun, a longtemps été tenu en grand mépris par une tradition érudite tenace. «Il ne fut, nous rapporte Sénèque, (...) qu’un destructeur de nations, fléau de ses amis aussi bien que de ses ennemis, car le bonheur suprême lui semblait consister à terroriser tous les mortels.» Et l’on sait ce qu’en pensait Napoléon lui-même : «Il avait, écrit-il à Sainte-Hélène, débuté avec l’âme de Trajan, il finit avec le coeur de Néron et les moeurs d’Héliogabale.»
Comme le montre, avec un bel effort de synthèse, Claude Mossé, dans l’essai qu’elle a consacré à la destinée du mythe d’Alexandre et que les éditions Payot viennent de republier, Alexandre charrie depuis l’antiquité romaine une «image duale» qui fut construite dès sa disparition. Par petites touches concises, l’auteur, en s’inspirant des travaux importants de Paul Goukowsky, parvient à nous plonger dans cette étonnante entreprise de mythification qui, autant que l’histoire proprement dite, remplit une fonction que l’historien ne peut négliger.
Alexandre disparaît en 323. Or, ce n’est qu’au Ier siècle av. J.-C., à Rome, que l’on commence à nouveau à s’intéresser au roi de Macédoine, dont les témoignages, ceux de Callisthène comme ceux de Ptolémée ou de Clitarque, ne nous sont parvenus qu’à travers des récits postérieurs. À la mort d’Alexandre, les diadoques se disputent sa dépouille pour essayer d’en tirer le meilleur profit. Il est, alors ,d’importance stratégique pour eux de «mythifier» leur défunt «compagnon».
On sait que c’est finalement Ptolémée qui s’emparera du corps lorsque le convoi funéraire passera en Egypte et il le fera ensevelir à Memphis (on le portera ensuite à Alexandrie). Par là, le maître de l’Egypte se plaça sous la protection du «dieu» Alexandre, et c’est dans ce centre de grande culture qu’allait s’édifier le culte de celui qui trancha le noeud gordien. Clitarque, qui inspira ce qu’on appelle la Vulgate (Diodore, Quinte-Curce et Justin), fut avec Ptolémée son principal hagiographe.
Mais cette geste héroïque fut rapidement contestée par certains érudits, notamment les péripatéticiens et les stoïciens, qui insistèrent sur sa brutalité, son ivrognerie, sa démesure. Comme le note Claude Mossé : «À partir de ce moment, il y aura dans la tradition concernant Alexandre deux courants résolument opposés, qu’on retrouvera tout au long des siècles.»
De fait, les trois principales religions monothéistes conserveront à l’égard du roi qui se prenait pour un dieu une étonnante ambiguïté. Ne pouvant approuver cette prétention divine, avancée notamment par Arrien, chrétiens et juifs ne peuvent manquer de se réjouir de la présumée conversion d’Alexandre à la religion du dieu unique. La chrétienté, notamment dans le Roman d’Alexandre, voit en lui le modèle du prince et du preux chevalier. Le coran se montre aussi très favorable à l’empereur qui réduit à l’obéissance des peuples impies (enfermement de Gog et Malog, probablement inspiré du pseudo-Callisthène). Il est le souverain idéal comme le définit le grand philosophe arabe al-Farabi, à la fois conquérant, philosophe et prophète.
Il n’est peut-être pas surprenant que les super-productions hollywoodiennes reviennent aujourd’hui sur Alexandre. Les esprits courts y verront un parallèle entre les conquêtes du grand roi, désireux de façonner un empire universel – «l’interlocuteur tragique d’Alexandre n’est pas la mort, disait Malraux, mais le destin du monde» –, et la croisade du président Bush au nom des valeurs démocratiques. De fait, c’est pour la première fois dans le monde unifié par Rome que la figure d’Alexandre ressurgit politiquement : lorsque Pompée triomphe en Asie, c’est d’Alexandre, nous dit Appien, qu’il se recommande.
Et l’on connaît la célèbre anecdote rapportée par Plutarque qui montre César pleurant en Espagne et confiant à ses amis étonnés : «Il est digne d’affliction de penser qu’à l’âge où je suis Alexandre avait déjà un si vaste empire et que moi je n’ai encore rien fait de grand» ! Alexandre hantera les lecteurs de Plutarque.
Mais si la tentation de comparer Alexandre et M. Bush a pu traverser le cerveau de quelques dirigeants du grand empire de notre temps, ces derniers ont dû rapidement comprendre leur méprise. Un fossé, plutôt un gouffre abyssal, existe entre la méthode d’Alexandre et celle de ses successeurs en Orient, tout au moins si l’on en juge par l’expédition américaine en Irak.
Car, derrière tous ses travers, le roi de Macédoine n’entend nullement bâtir son empire universel sur la conviction de la supériorité d’une civilisation sur l’autre. C’est par la fusion des races qu’il procède, comme il l’a prouvé à plusieurs reprises, et notamment, quoiqu’on en dise, lors des noces de Suse. Montesquieu résumait dans l’Esprit des lois : «Il respecta les traditions anciennes et tous les monuments de la gloire ou de la vanité des peuples.» Il est vrai que l’inspirateur du roi philosophe n’était pas Samuel Hutington.
Aussi, le regain d’intérêt pour Alexandre (que la production cinématographique ne manquera pas de susciter chez un public élargi) est, au fond, un bienfait pour compenser ce qui manque aujourd’hui aux principaux promoteurs de la mondialisation heureuse. Au delà de toute anachronisme, le mythe d’Alexandre est un de ceux qui nous donnent le mieux à penser la question de la diversité culturelle. Il incarne ce rêve éternel d’un pont nécessaire entre l’Orient et l’Occident.
On peut, à ce sujet, relire Ernst Jünger. Dans le Noeud gordien (1958), ce dernier estime que le fameux coup d’épée d’Alexandre ne traduit pas seulement ce triomphe de la volonté sur le fatalisme ; il exprime aussi la supériorité de la pensée. «Le glaive d’Alexandre fait lever une lumière nouvelle, la «lumière de la pensée», mais en un sens supérieur, solaire de ce mot : le doute, le pouvoir de l’esprit.» Et le grand écrivain allemand d’ajouter ce propos quasi prophétique : «Le noeud gordien, comme toutes les grandes images, a sa présence permanente. Symbole de la puissance chtonienne et de ses liens, chaque rencontre entre l’Europe et l’Asie l’expose de nouveau, et il faut sans cesse recommencer à le dénouer.» Par le pouvoir de l’esprit ?...
giovanni
12/03/2005
SI PREPARA IL BIS DELL’ 11 SETTEMBRE?
05/03/2005
Maurizio Blondet
Sempre nuovi indizi che il gruppo di potere americano sta preparando un nuovo auto-attentato da infliggere ai suoi cittadini, per persuaderli alla nuova tornata di guerre in programma.
Primo indizio: il presidente George Bush è tornato a parlare di Osama Bin Laden. Dopo averlo trascurato per anni (del resto anche Osama non ha dato molti segni di vita) Bush lo ha ricordato di punto in bianco. Mettendo le mani avanti: “bloccare Osama è la più difficile sfida dei nostri giorni.Al Qaeda progetta ancora di attaccarci sul nostro suolo”, ha detto (1). Lo ha fatto il 3 marzo scorso alla cerimonia d’insediamento di Michael Chertoff, il nuovo capo della Homeland Security, cioè della sicurezza interna. Lo stesso giorno, recatosi alla Cia a salutare il nuovo direttore Porter Goss (un membro della società segreta di Yale “Skull & Bones”, da cui sono usciti quasi tutti i capi dell’Agenzia) il presidente è tornato sul discorso: “ogni giorno raccogliamo informazioni per localizzare Bin Laden. Non dormiamo sugli allori”.
Il motivo apparente di questo improvviso ritorno d’interesse per il tenebroso saudita sarebbe un “messaggio” che Osama avrebbe mandato ad Al-Zarqawi per incitarlo a colpire i suolo americano. Né sulle modalità di trasmissione (piccioni viaggiatori?) né sul contenuto del messaggio si sa nulla: l’unica fonte al proposito è una voce anonima uscita dalla Cia - ciò che nei tempi sovietici si chiamava dizinformazija o maskirovska.
Altro indizio. Il sindaco di New York Michael Bloomberg (ebreo) ha rivelato quanto segue: la “cellula di Al Qaeda colpevole dell’attentato alla metropolitana di Madrid aveva in progetto di fare un attentato esplosivo anche alla Grand Central Station, nel cuore di Manhattan (2). La scoperta sarebbe in un dischetto di computer trovato in un appartamento di Madrid che sarebbe stato occupato da un terrorista, tale Moutaz Almallah, ritenuto ‘un membro importante di Al Qaeda’”. Inutile dire che Moutaz s’era reso uccel di bosco già nel gennaio 2002, molti mesi prima dell’attentato di Madrid. A proposito dell’attentato di Madrid, bisogna ricordare che è avvenuto l’11 marzo 2004. Come mai il dischetto con il piano del nuovo attentato a New York è apparso solo oggi, non si sa. L’Fbi ha farfugliato che la polizia spagnola s’è resa conto dell’importanza del contenuto solo nel dicembre scorso, per via “della sua natura tecnica” (“c’erano delle piante della stazione di New York”). In ogni caso, perché la storia emerge ora?
Terzo indizio. E’ il più grave, e consiste nell’insediamento di Michael Chertoff a capo della Homeland Security col grado di ministro. Ora Chertoff (figlio di un rabbino, cittadino israeliano) ha avuto strani legami con un sospetto finanziatore dell’attentato dell’11 settembre, tale Magdy Elamir. E’ una vecchia faccenda, di cui diede notizia a suo tempo - il 20 giugno 2000 - The Record, il giornale della contea di Bergen, New Jersey. Magdy Elamir era stato accusato dallo Stato del New Jersey di ammanchi e malversazioni finanziarie per 16,7 milioni di dollari. Fra cui 5,7 milioni “trasferiti a beneficiari sconosciuti”. Elamir aveva una specifica connessione con il primo attentato alle Twin Towers, avvenuto nel 1993 e anch’esso di marca “islamica”. Infatti, l’attentato era stato architettato nella moschea di Al-Salam a Jersey City, dove predicava il mullah estremista Omar Abdel-Rahman, considerato il mandante di quel primo attentato. Come ebbe a dire l’allora poliziotto Allan Duncan, “alla moschea di Al-Salam era stato permesso di continuare ad essere un centro di attività terroristiche in Usa”. Inoltre, nel 1999, Elamir con suo fratello erano stati perseguiti dall’Fbi per aver cercato di comprare armi e munizioni da un informatore dello stesso Fbi, Randy Glass, ed era per questo stato condannato a 30 mesi.
Insomma, un tipo altamente sospetto. Ma chi ha difeso il losco Elamir davanti alla corte del New Jersey nel 2000? Sì, avete indovinato, proprio lui: Michael Chertoff, il figlio del rabbino (3). Che era allora avvocato.
Ma il brillante israeliano ha fatto una rapida carriera. Nell’estate del 2001 - attenzione alla data, poche settimane prima dell’11 settembre - Chertoff riappare come vice-Attorney General della sezione penale del ministero della Giustizia. La vicenda del tentato acquisto di armi del suo ex cliente capita proprio sotto la sua giurisdizione, come ha ricordato il solito poliziotto Allan Duncan. Ebbene, che cosa fa il nuovo vice-procuratore Chertoff? Blocca di autorità i capi d’accusa contro Elamir.
Ma non si creda che Chertoff fosse salito alla carriera di pubblico accusatore per salvare Magdy Elamir. A ben altri compiti lo destina quel posto. Come si ricorderà, l’11 settembre una cameriera nota cinque ragazzoni che, sul tetto di un camion di traslochi, si fotografano a vicenda sullo sfondo delle due Torri in fiamme, facendo il segno di vittoria con le dita. La cameriera segnala la targa alla polizia di New York, che ferma i cinque. Risultano tutti israeliani, esibiscono documenti falsi, uno di loro ha 4500 dollari in contanti in una calza. Parecchi di loro ammettono di essere membri del Mossad. Consegnati alla giustizia federale, i cinque vengono.espulsi perché il loro visto (sui passaporti falsi) risulta scaduto. Restituiti ad Israele. Chi è che li espelle? Ma lui, il figlio del rabbino Chertoff! Sempre Chertoff aveva, poco prima, espulso (cioè liberato) almeno un centinaio di agenti israeliani beccati in una gigantesca retata della Dia (antidroga) e dell’Fbi, alcuni dei quali abitavano accanto ai “terroristi arabi” indiziati per l’11 settembre.
Dopo queste belle imprese, Chertoff viene elevato ancora più in alto: giudice federale d’Appello, una carriera fulminante. Ed oggi, ministro della Homeland Security, che già dal nome (“Sicurezza della Patria”) promette di essere una sorta di Gestapo o di Stasi. La posizione giusta per coprire il prossimo mega-attentato e i “terroristi musulmani” che lo compieranno. Magari con un camion di traslochi.
Ad ogni buon conto, vale l’avviso ai turisti dato dai servizi segreti italiani ed europei (che certo hanno qualche indizio di ciò che si prepara): evitate Gran Central Station, state alla larga da luoghi turistici anche medio-orientali.
Quando avverrà, non dite che non vi avevano avvertito.
di Maurizio Blondet
Note
1)Joseph Curl, “Stopping Bin Laden is ‘greatest challenge’”, Washington Times, 4 marzo 2005.
2)Ben Sills, “Al Qaida plan to bomb Grand Central station”, Guardian, 3 marzo 2005.
3)Michael Chertoff è nato nel 1953 da Livia Chertoff, israeliana e dal rabbino Ghershon, di nazionalità sconosciuta. La madre Livia è stata una hostess della El Al e partecipò nel 1945 all’operazione Tappeto Magico, il trasporto forzato di 45 mila ebrei yemeniti messi ad occupare i territori dei palestinesi: un agente del Mossad dunque anche la mamma.
giovanni
12/03/2005
FALLUJA, ARMI PROIBITE: PERCIO’ LA SGRENA DOVEVA MORIRE
07/03/2005
Maurizio Blondet
Dopo l’atroce battaglia di Falluja, l’armata americana vi è entrata con bull-dozer e autobotti. I bull-dozer hanno cominciato a scorticare il terreno tutto attorno ai crateri di esplosione delle loro bombe. Hanno asportato accuratamente 200 metri quadri di terreno attorno ad ogni cratere, caricato la terra su autocarri e l’hanno portata in località sconosciuta (1). La stessa cosa hanno fatto con alcune delle case bombardate. Hanno abbattuto gli edifici e portato via il materiale. Queste operazioni sono state compiute soprattutto nei quartieri di Julan e di Jimouriya, teatro dei più feroci scontri, ma anche a Nazal, Mualmeen, Jubail. Attenzione, solo “alcune” case sono state demolite. Quelle dove erano cadute le “bombe speciali” usate dagli americani. Le stesse che avevano formato i crateri accuratamente ripuliti.
Di che bombe si trattava? Tutti gli abitanti di Falluja che erano ancora in città durante i raid le hanno descritte così. “Facevano una colonna di fumo a forma di fungo. Poi, piccoli pezzi cadevano dall’aria, con una coda di fumo dietro ogni pezzetto”. Cadendo, questi “pezzetti” esplodevano con grandi fiammate che “bruciavano la pelle della gente, anche quando vi si gettava sopra dell’acqua. Molti hanno sofferto tanto per questo effetto, combattenti non meno che civili”.
E’ la descrizione esatta degli effetti di bombe al fosforo, molto usate dai liberatori anglo-americani contro Germania e Giappone. Ma vietate dalle convenzioni internazionali, e perciò sostituite dagli Usa con l’invenzione del Napalm, mistura gelatinosa e adesiva di celluloide sciolta in benzina che ha il “vantaggio”, come il fosforo, di appiccicarsi alla pelle mentre brucia, ed è molto più economico (brevetto Dow Chemicals). L’uso del fosforo però è più “efficiente” se lo scopo è di ridurre corpi umani a tizzoni ardenti carbonizzati, con un effetto terroristico aggiuntivo.
L’uso di queste armi è un crimine contro l’umanità. Ecco perché, dietro ai bull-dozer, il Pentagono ha inviato anche grosse autobotti: le quali hanno “lavato” con potenti getti forzati tutti i muri o quel che ne restava in piedi, evidentemente per dilavare il fosforo. E’ il tentativo di coprire il crimine, di farne sparire le tracce.
Ciò potrebbe spiegare anche parte della sciagurata avventura di Luciana Sgrena. Come si ricorderà, la giornalista stava andando a un appuntamento con alcuni profughi di Falluja quando fu, molto opportunamente per i criminali di guerra, “rapita” da “insorti”. Altrimenti avrebbe potuto raccontare di quelle bombe al fosforo, cosa che non hanno mai fatto “i grandi giornali” neocon ed ebraici, come il Corriere della Sera o il New York Times. Lo stesso discorso si può fare per la francese Aubenas di Libèration: sempre giornalisti di piccoli giornali no-global poco controllabili dalla nota lobby.
Naturalmente, la Sgrena non ha saputo nulla: ha recitato la parte che le è stata assegnata, “drammatizzando” in video, e ascoltando i suoi rapitori ripetere che in Irak “non vogliono nessuno”, nemmeno, anzi specialmente, giornalisti simpatizzanti con la guerriglia; frasi che acquistano un senso illuminante, se attribuite a “terroristi” dal Pentagono. La sua tentata uccisione dopo la “liberazione” con riscatto pagato dai contribuenti ai cosiddetti “insorti” (probabilmente la solita banda Al-Mossad, che ci ha fatto anche un guadagno) può essere interpretata forse come “una lezione” da dare agli italiani. E va ascritta anche ad errori da parte italiana. Il primo dei quali è non voler capire chi è, in Irak, il nemico principale.
di Maurizio Blondet
*La foto che accompagna l’articolo mostra un gruppo di abitanti di Falluja presso un cratere causato da una bomba sganciata durante un attacco aereo che, secondo quanto riportato dagli americani, mirava a colpire militanti coinvolti in rapimenti e attentati.
Note
1)Dahr Jamail, “Odd happenings in Falluja”, Electronic Iraq, 18 gennaio 2005.
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