Ravaillac
21/06/2008
Nous y sommes. Là, devant le vide sidéral de la pensée postmoderne. Là, à Bruxelles où les chefs d’Etat et de… courent dune réunion à lautre et zappent en quelques minutes du Zimbabwe au Non irlandais, des poulets US (sous embargo !) à lélargissement à la Croatie Et si on leur faisait le coup dHenri IV ? On ne dirait plus rien dautre dans la presse main stream pendant au moins quatre jours ! On ne saurait même plus ce qui se passe dans les ports de pèche. « Pas le temps à Bruxelles ». « Pas le temps ». Même les journalistes : « pas le temps. » Ils doivent rendre compte « de tout », sans rien oublier. Alors DeDefensa ? Existentiel. Rien de moins. Comme le pétrole. On ne peut pas sen passer. Faites comme moi alors ! Donnez un peu de pognon avant que le ciel nous tombe sur la tête et que Grasset & Co. nait « plus le temps » Ravaillac
Stephane
22/06/2008
DeDefensa: “Vous savez aussi que nous navons pas de propriétaires-protecteurs pour nous couvrir dargent et que nous ne marchons pas droit, que nous avons donc besoin dun soutien qui ne peut venir de nos lecteurs.”
Un lapsus..? “qui ne peut venir de nos lecteurs.”
:-)
dedefensa.org
22/06/2008
Effectivement, lapsus, et révélateur de rien. Faute corrigée, merci.
Ilker
23/06/2008
C’est là où nous ne pensons pas par confor(misme)t, peur ou aveuglement que le mal, s’il s’y loge, fait naître les catastrophes humaines.
C’est vrai que notre époque moderne, à mille lieues d’une réelle liberté (“liberté” tant vantée comme vertu par ailleurs), se refuse à penser le mal (déstructuration, destruction) qu’elle engendre.
C’est à ce titre que le travail “révélant” de Dedefensa.org est, à mon sens, précieux. Bonne continuation.
Emmanuel
27/06/2008
Au menu désormais : Pâtée pour chat ou jeûne.
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier