Jean-Paul de Beauchêne
20/08/2006
Nous en aviona parlé à Bruxelles dans le temps. J’avais écrit à qui de droit que le JSF était l’avion de la Revolution in military affairs (RMA): les pilotes de la Super-Nation port-industrielle dans les F22, loin du front, avec tous les senseurs et le C3, les pilotes des nations industrielles européennes au contact dans des JSF économiques pauvres en senseurs et guidés par les F22. Sous la pression des européens la définition du JSF a progressivement gagné (un peu) en autonomie. On semble, d’après votre article, à revenir à la vision initiale…
Cordialement
PHR
23/08/2006
JE ne crois pas un instant au facteur tehcnique dans les relations entre nos vieux pays. Ceci dit, s’il appartient à l’actualité, pourriez-vous nous expliquer ce qu’est, à l(origien, le “JSF” dont vous assurez un feuilleton serré pour les béotiens, et le sens de l’évolution dont vous semblez vous gausser avec aise. D’avance merci de ce memo. Même si je vous le dis, comme je le pense, cela ne vaudra pas un bon cigare.
MHB
24/08/2006
Malgre mon ignorance de la substantifique moelle de l armement aeronautique j ai toujours constate une certaine ambivalence chez les pilotes americains concernant le JSF ... allant meme jusqu a la triste constation - pour eux - qu il etait mal parti ainsi que leur corporation.
La RMA, si chere aux nanocrates du Pentagone, en a fait un UAV et voila nos pilotes confirmes dans leur role de bras casses.
A la lumiere du role subalterne qu ils sont appeles a jouer dans le futur de l aeronautique militaire ils sont consternes de ne pas avoir le support de leurs collegues de l OTAN qui eux, prudents, savent tres bien que l ITAR est un barrage de taille pour qu ils puissent jouir entierement des capacites operationnelles du F-35 dans quelque forme que ce soit.
Alors ?
Et bien Aviation Week vient de demander l abolition .... de l ITAR.
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