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Die Welt sort un interview de Thomas Strobl lien,google, un expert de la CDU dans les affaires de surveillance.Ce député nous montre bien ce que peuvent être les dérives de l’espionnage .

Ba-Ba 1 : il faut être paranoïaque, on ne peut faire confiance à personne, même à nos entreprises, alors vous pensez, les entreprises étrangères ...
Ba-Ba 2 : il faut être autonome, la on doit dire que ça ne va pas fort, s’il n’y avait pas la NSA il y aurait eu des attentats chez nous.

Question : Merkel dit que l’on ne doit pas espionner ses amis ... Abhören unter Freunden geht gar nicht
Réponse : cétait une phrase purement contextuelle ... Frau Merkel hat diesen Satz in einem bestimmten Zusammenhang gesagt

Solution : Nommer un monsieur sécurité au Bundestag avec des pouvoirs étendus
Problème : il faudra bien sûr que ce monsieur sécurité ne soit pas controllé par la Neue Stasi Amerika

Remarque : on évitera peut être de nommer Thomas Strobl à ce poste, la presse l’avait accusé à l’époque d’avoir inventé le concept de culpabilité par association Sippenhaft, il avait lancé un projet ferroviaire: Stuttgart 21, un des opposants, Walter Sittler, ne lui plaisait pas, il l’accusa d’avoir un père Nazi lien, lien.

On comprend bien que ce n’est pas simple et Thomas Strobl nous mets en garde contre toute solution rapide Ich warne vor Schnellschüssen et il n’a sans doute pas tort : à qui profite le crime ? qui est la victime ?