MHB
20/12/2005
Dans cet article vous y voyez la victoire d un “grand” parti continental fonde sur l anti-americanisme et l anti-capitalisme”.
Vous y voyez aussi “une puissance hegemonique (qui donne) a ses adversaires la clef d une nresistance”.
“Cette clef (se nommerait) democratie”.
Eb fait je deviens de plus en plus persuade que la puissance hegemonique en question confond depuis quelques annees democratie et liberte.
Avec l exemple bolivien la “democratie” en l espece ne serait rien de plus qu une strategie electorale.
Ainsi dans votre deuxieme paragraphe une phrase me laisse ... reveur et dubitatif: “designation du president par l assemblee parlementaire si aucun candidat ne depasse 50% des votes”.
Pour ces elections boliviennes il y avait 7 candidats. Il n est pas interdit de penser que la majorite conservatrice de l assemblee parlementaire en place avait estime que Morales n avait aucune chance d obtenir la majorite absolue avec plus de 50% des voix.
Qu en conclure ?
Mon humble opinion est que les conservateurs boliviens sont decidement moins fins que ceux qui entourent Chirac et les socialistes francais plus betes que les indiens du Lac Titicaca.
C est vraiment pas la peine d avoir recupere un philosophe dans la jungle bolivienne (il y a x annees) qui a confondu a une certaine periode de sa vie liberte et guerilla au lieu de se pencher sur les beaux calculs electoraux que nous offre la democratie.
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