FG
01/10/2021
On pouvait trouver une forme de lucidité à la lecture de vos écrits. Je vous suis depuis 20 ans, au bas mot. Sans parler des quelques participations financières dans le passé.
Et donc. Là, ça part en bouillie. Et ça reste aveugle à l'essentiel. L'extrême-droitisation du monde, à base de mensonge et d'aveuglement aux faits. Le problème, pour PhG, ce n'est pas l'écrasement de toute vie par le système surtout quand elle est minoritaire et qu'elle se rebiffe. En témoigne l'action délethère de Trump, de ses prédécesseurs, et de ses imitateurs (Bolso, et tous les autres, en passant par Macron et ses soutiens (de LR à Bollo)).
Mais nan. Le coeur de l'analyse, c'est que les gauchos wokes lgbtqxyz ont noyauté le système et qu'ils sont à la racine de tous les problèmes, et que les meilleures analyses pour décrire ce mal absolu, elles sont du côté des fachos.
Découvrir que les hackers et l'opensource sont issus des libertariens… alors que les libertariens n'ont rien produit d'autre que des pensées frelatées sur leurs nombrils, à la Ayn Rand, ainsi que les théories économiques à l'origine du néolibéralisme, et là, on tombe sur le coeur du système, justement, le plus radioactif et mortifère.
Je n'ai pas la prétention d'étayer au-delà. Tout cela est pénible, vraiment. Je vais me contenter d'essayer de vous suivre pour les prochaines saillies relatives au CMI. Pour le reste, adieu.
Théo Ter-Abgarian
01/10/2021
"Une accélération bientôt incontrôlable de l'activité de censure, de violation des droits d'expression…"
La France macronienne met les bouchées doubles. On sent que la campagne présidentielle sera 1°/plus que nauséabonde, méphitique… 2°/que le verrouillage sera maximum.
Verrouillage :
Avec les diverses lois de restriction des opinions, la censure incroyable exercée par le CSA envers toute dissidence, l'orchestration surjouée des pseudo-indignations du camp du Bien, avec aboiements, "sursauts citoyens", pétitions de "plus jamais ça" et des "No pasaran", assez de hurlements et de remue-ménages dans le clapier bobocratique pour que les dignitaires de la droite dite et redite républicaine, pour conserver son label républicain chèrement acquis, s'obligent, la plupart du temps, à en rajouter. Et c'est ainsi que, dans ce pays, on ne peut parler de rien. ET ON NE DOIT PARLER QUE DE RIENS.
Fragrances méphitiques :
Dans une France qui se délite, se décompose du fait d'une corruption galopante, d'une avancée du deal sans précédent, d'une inertie des pouvoirs publics plus capables de rien, sinon de harceler ce qui peut être encore harcelé, dans cette France-là, se pavane Kéké 1er, en somnambule, certain d'être réélu, par les coups bas à venir, des flots de finances aux plus influents, des astuces tactiques dont les arrière-pensées sautent aux yeux des plus bigleux : comme en remettre sur l'implosion sociétale, jouer le clivage ad nauseam, la guerre des uns contre les autres. On s'attend aux tombereaux d'insultes qui vont pleuvoir sur le Français moyen, exercice obligé des ces gens-là censé apporter sur un plateau d'argent les voix des "quartiers", les 4 millions d'électeurs qu'il faudra, coûte que coûte, amener dans les isoloirs, voix décisives, pour faire la différence. Donc promettre, en subliminal, que le deal ne sera pas inquiété avec Kéké 1er, mais comme il ne peut le dire directement, il le dit de manière infâme, en ne cherchant qu'à s'opposer à Zemmour que le pire des non-dits. Kéké 1er se sent mieux dans le bassin du Congo qu'en Ile de France, nous dit-il. Mais qui lui a demandé de s'intéresser à la France ? Il déteste ce pays, le conchie tous les jours, avec des moues de morgue de babtou fragile… Et, comme c'est étrange, il demande à en être président ! Et des centaines de milliers d'ovins en stabulation comateuse (la Ve République) ne demandent pas mieux !
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