Christian Feugnet
24/12/2018
On est vraiment sur la nef des fous . C'est à la fois rationnel et délirant , comme ce magnifique théoreme de Godel sur le non contradiction .
Quelque peu dérangé lui aussi fin de sa vie , il construisait des univers paralléles , auquels je m'interesse modérement , de peur de contamination , mais il me semble bien que çà rentre dans la catégorie . ,
Laurent Caillette
25/12/2018
J'aimerais bien remettre la main sur cette étude concernant la présidentielle de 2016. Je l'ai vue mentionnée quelque part il y a longtemps. Elle cherchait à identifier le déclencheur du vote Trump. Des Noirs ont voté Trump, des démocrates ont voté Trump, des riches et des pauvres ont voté Trump. Elle identifiait un seul discriminant statistiqument valable. C'était la présence dans la famille d'un militaire décédé sur un théâtre d'opérations extérieures.
Trump est un génie. Je prédis solennellement sa réélection.
Laurent Caillette
26/12/2018
Un article récent de Badia Benjelloun en référence un autre où il est fait mention de l'étude que je recherchais :
Une étude publiée à l’été 2017, intitulée « Les guerres de Bush et Obama ont-elles coûté la Maison Blanche à Clinton ? » avait été menée par Francis Shen, enseignant en droit à l’Université du Minnesota, et Dougas Krine, un professeur en sciences politiques de l’Université de Boston. Elle aurait montré que les électeurs étaient scindés en deux groupes. Dans celui qui a préféré Trump, les familles ayant eu un soldat victime de guerre étaient surreprésentées. Seule cette caractéristique, utilisée comme une des variables du modèle statistique, a distingué les deux groupes.
L'étude en question : Battlefield Casualties and Ballot Box Defeat: Did the Bush-Obama Wars Cost Clinton the White House?
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