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Article : La question de Sarkozy

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Que de belles contributions Dedefensa engendre ...

Pascal B.

  09/06/2011

A la lecture de ce billet pénétrant, on ressent fort en soi la pertinence fécondante de dedefensa !

Il n'y aurais rien à faire?

Fabrice

  09/06/2011

Donc il n’existerait pas d’âme Française et cette nation n’aurait pas lieu d’être?

Etat d'esprit

Pierre Robes-roule

  09/06/2011

Longtemps, être français était un état d’esprit.
On a enlevé l’esprit. Pour l’Etat c’est en cours. Donc ?

C'est grossier et pitoyable.

Vincent .

  10/06/2011

A la lecture de ce billet, on sent bien le carcan idéologique qui maintient la pensée de l’auteur. Les plus célèbres clichés gauchistes et anti-France du moment sont glissés dans le texte. L’anti-catholicisme primaire s’étend sous la plume d’une frêle créature.

C’est grossier et pitoyable. C’est typique en PACA.

Ne soyez pas injustes !

Thierry AUBER

  10/06/2011

Je trouve certains commentaires bien sévères sur ce billet qui, s’il dresse un sombre constat de l’état de notre pays, montre que son auteur n’est pas sans talent.
Car enfin le fait que N. Sarkozy ait pu être élu à la plus haute fonction, témoigne bien d’un grand désarroi et d’un triste état d’esprit de nos compatriotes (et aussi accessoirement que le terrain avait été bien déblayé par une classe dominante qui a bien fait son travail de pré-sélection…).

La France vit donc aujourd’hui une période de « basses eaux » pour reprendre une expression de Philippe Grasset, période que malheureusement elle a déjà connue plusieurs fois au cours de son Histoire, jusqu’à ne plus être qu’une petite chose avec Bourges pour capitale par exemple. Au cours de cette période, son plus « grand homme » était un boutiquier aventurier doublé d’un faux monnayeur, cela n’a pourtant pas empêché quelques années plus tard l’avènement de Louis XI qui a été un très grand roi, avec une conscience aigüe de ses devoirs et responsabilités (je m’égare un peu, mais c’est l’exemple qui me vient à l’esprit ;) ).

Dénoncer cette médiocrité, ce n’est pas dénigrer la France, mais faire un constat froid et lucide sur sa dérive actuelle. Peut-être a t-elle d’ailleurs besoin de boire périodiquement le calice jusqu’à la lie, pour enfin sortir de sa torpeur, réagir et voire, retrouver son génie ?

Le dégout et la colère comme moteurs de l’Histoire, après tout pourquoi pas ?

LA NATION VA T ELLE NAÎTRE ? par défaut

georges dubuis

  14/06/2011

@ Thierry AUBER

Vincent .

  17/06/2011

Qui est-vous pour ordonner de la sorte ?

” La France vit donc aujourd’hui une période de « basses eaux » d’après vous. Faire un tel constat ne démontre aucun talent puisque tout le monde est capable de la faire.

Et si des crétins cessaient de se gargariser d’euphémismes et de médiocrités, la France n’en serait probablement pas à ce niveau d’égout. Admirer la bêtise ne mène qu’à la bêtise.

” La problématique de la double nature christologique débattue par la scolastique transposée dans la double corporalité du Roi a échoué ici dans cet aveu sarkozien qui interpellant ses concitoyens sur qui ils sont dit qu’il l’ignore lui-même à jamais. “
??? Oups !
et
” Couronnée fille aînée de l’Église, son passé chrétien ne la distingue pas au sein de l’Europe. “
Qui est-elle pour croire cela cette Badia Benjelloun ?
et “Son détachement de l’ensemble continental romain germanique, elle le doit à sa géographie qui l’enserre dans un écrin limité de plicatures alpines.”

Plicature, le Mont-Blanc ?

L’auteur crache ouvertement sur le passé et la géographie de la France. Elle serait copine avec E.Benbassa ( propagandiste anti-France toujours prompte à provoquer la colère chez les immigrés en occultant le sieur Crémieux et ses copains rapatriés ) que ça ne m’étonnerait pas.

Concernant le moteur de l’histoire, il est aussi composé de dégout et de colère. Le dégout est le dernier niveau d’alerte, la colère initie le processus de nettoyage.  Quand un corps est ravagé par la vermine, le corps s’échauffe pour se protéger. La fièvre est dans l’ordre naturel des choses. Le feu est purificateur.

Je vous interdis de m’ordonner quoi que ce soit monsieur.