Francis Lambert
05/09/2009
Comme une allégorie ... l’héritage de la Maison Blanche est salement toxique :
“When First Lady Michelle Obama planted an organic vegetable garden on the White House lawn in March 2009, she hoped to both set an example of healthy eating and to grow tasty edibles for her daughters and husband. But Michelle’s organic dream has been dashed by a nasty toxic legacy lurking in the soils of 1600 Pennsylvania Avenue. It turns out that a previous Presidential gardening team had used sewage sludge for fertilizer.”
Bouquet final ... une recommandation gouvernementale aux agriculteurs de plusieurs dizaines d’années.
“Several major food producers, including H.J. Heinz and Del Monte, won’t accept produce grown in sludge. That’s despite decades of U.S. government efforts to encourage farmers to use solid sewage wastes in lieu of traditional fertilizer products.”
http://mrssatan.blogspot.com/2009/07/michelle-obamas-toxic-white-house.html
Exocet
05/09/2009
Vu qu’il n’y a absolument rien à tirer de ces deux là (Républicains Vs Démocrates feignant de se contre dire par voie de Consentement) Obama pourrait les porter à l’écran…Un peu de condensation que diable!!
nb/bravo les gars pour vos deux magnifiques articles en une seule journée,c’est pas tous les jours que cela vaille la peine de se damner.
Tino
06/09/2009
Cela fait très longtemps que vous appliquez toute votre finesse et toute votre capacité d’analyse à BHO ; et vous en concluez toujours que c’est une énigme. J’apprécie votre intelligence et votre travail mais il est des fois où trop de subtilité empêche de voir l’essentiel, et au sujet de BHO voici mon opinion :
Ce type est nul sur toute la ligne, il n’a pas d’idée, pas d’opinion, pas de programme, rien ! Vous cherchez à deviner ses intentions mais sa tête est vide !
C’est le néant, ça ne m’étonne pas qu’il ai l’air mystérieux puisqu’il agit au hasard, au jour le jour, poussé ici ou là par ses conseillers…
Jean-Paul Baquiast
07/09/2009
Excellent article, comme d’habitude.
Je pense personnellement que si Obama n’est pas absolument nul, comme le dit un lecteur, il se révèle au niveau de ceux qui ont financé son élection: brillant mais dépendant de ses sponsors des divers CMI. Or ceux-ci sont actuellement dans l’impasse et ne savent plus quelles instructions donner à leur “pupett”.
Au delà de celà, je pense qu’un réflexe qui n’a rien d’étonnant joue actuellement contre Obama. Tous les Blancs qui, dans le mond entier et pas seulement aux USA, s’étaient “agacés” de voir un Noir célébré comme le Messie, se rassurent: ” Vous voyez bien que ces Noirs, dès qu’il s’agit de choses sérieuses, ne valent pas grand chose”.
marc gébelin
08/09/2009
Il entend quoi le Français dans baracobama ? baraque, taudis, caserne? ou baraqué, costaud? ou encore baraka? Il sonne pacoraban cet obama, ray ban au rabais, sarkosi de chicago… tandis qu’entre Méditerranée et Jourdain, sévit Ehoud, son frère de lait, ce gros para du mapai qui se déguisa en femme pour aller à Beyrouth assassiner des Palestiniens, d’où son aura. Que va faire l’amerlo? se déguiser en homme pour bouffer du méchant-taliban? ôter le voile très macho sous lequel pousse le pavot afghan? défendre les Noirs parce que sorti d’un ventre afro ou parce qu’ affublé d’un nom pas yankee pour un sou, plutôt bamboula plein de a, banania, bamako, ananas, adis abeba, qui plait aux médias et aux papas du CNRS. Un de ces doctes récemment, sur une radio d’Etat, faisait mine de voir dans ce candidat une percée tardive de la Civilisation, le symbole soft d’une revanche des esclaves, un spartacus en costard. Obama fera-t-il du Liberia le 52e Etat étatsunien? Rétablira-t-il, lui le démocrate, les white collars paupérisés par la clique buschisto-newborn-sionisto-protestante? Va-t-il raser le Bronx gratis? ressusciter Lincoln? aider au métissage afro-latino-wasp, faire des Usa un pays chocolat? nous gâter soudain d’un unilatéral et abyssal désarmement? revoir le dossier du 9/11, nous expliquer l’anthrax? mettre le holà aux fanas de Round-up du Corn Belt, refroidir le climat? C’est ce que croient les gros Allemands qui aiment far west et saucisses. Ce 24 juillet ils étaient des milliers à Berlin pour écouter le discours du fier à bras. Nous Français, sommes tous américains depuis qu’un Corse l’a dit, mais les présidents américains c’est plutôt du genre “Ich bin ein Berliner”. Les Allemands, quand ils ne rêvent pas d’über alles et de drang nach Osten, ils font des machines-outils et couchent avec le grand frère anglo-saxon. C’est une manie des Germains cette aimantation vers l’ouest quand on leur barre l’est. En 1998, Schröder voulait fondre sa bourse de Francfort avec celle de Blair à Londres, il y a soixante huit ans, Hitler rêvait d’un condominium anglo-allemand. L’Allemand, c’est simple, quand c’est pas le far east c’est le far west. La France, c’est plus son plat. Nietzsche était seul à aimer le sud, ça l’a rendu fou. Wagner c’était le nord. Comme ne disait pas Husserl, l’âme allemande est crucifiée sur le corps du monde.
Obama la sienne, où? sur celui de John Brown, de Thoreau, d’Emerson ou de Disney? Cet homme à l’il limpide et fin qu’on nous présente comme la Jeanne d’Arc de l’Iowa, va-t-il, une fois à la Blanche Maison, mettre un terme à la politique spectacle que les Usa nous servent depuis Reagan? Va-t-il vaincre la grande dépression qui pointe à l’horizon? Ce French basher, aurait-il le chic de nous racheter Sarko? Va-t-il redonner à la politique de son pays cette aura de liberté, de générosité, de sens de l’entraide que chaque américain, cet enrichi du coin de la rue, possède depuis toujours? Evitons d’être de benêts Berlinois. Le Spectacle va continuer, le grand rêve américain est mort, le spectre de la Grande Crise est là. Le 9/11 et la guerre d’Irak qui devaient la conjurer, n’ont fait que l’accroître. Le Dasein, le Là-Etre que les Américains cherchaient depuis des lustres avec Carl Schmidt n’existe toujours pas. L’Heidegger en jupon est oubliée. “Après l’Empire” commence. Que ce soit un Noir presque blanc qui préside à sa déchéance est certes un symbole fort mais pas celui mentionné dans l’apocalypse. Un Cain, Mac de son prénom -vieillard haineux que les Vietnamiens hélas, malgré l’efficacité prouvée des méthodes communistes, n’ont pas réussi à rééduquer (demandez à Glucksman et à Bernard Henri pour les détails)-, serait meilleur pour la mise au tombeau. C’est comme chez nous la Royal, j’espère qu’elle se félicite, avec tous ces cactus du pouvoir d’achat, de pas être à la place de Sarkosy qui naquit bonzai. Obama c’est pas un Rose Welt, pas un lutteur King Kong non plus. Plutôt un pantin aux dents blanches que les tireurs de ficelles de l’establishment militaro-industriel auront beau jeu de manipuler dès qu’il posera son derrière dans le bureau ovale. Français, pas de banco sur Barack! Obama n’est pas le Big bang qu’on dit. L’ambassade israélienne lui trouvera bien une Monica en caraco pour un stage sans tâche et, si nécessaire, la CIA un assassin compatissant pour l’immortaliser. In God we trust.
Rakk
10/09/2009
Une nouvelle crise financière mondiale est inévitable, car la nature humaine en engendre en permanence, a estimé mercredi dans une interview à la BBC Alan Greenspan, ancien président de la Réserve fédérale américaine (Fed).
M.Greenspan est persuadé qu’avant la crise, “les banquiers savaient bien qu’ils sous-estimaient le risque et qu’il y aurait une correction à un moment ou à un autre”, mais qu’“un nombre trop important d’entre eux ont pensé qu’ils seraient capables de repérer le déclenchement de la crise à temps pour s’en sortir”.
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