Forum

en rappelant les circonstances à cet égard qui ont conduit Poutine à se demander s’il n’y avait pas des dirigeants russes (!!!) qui ont “de la bouillie à la place du cerveau”...  

>>qui ont conduit Poutine à se demander s’il n’y avait pas des dirigeants russes qui ont “de la bouillie à la place du cerveau”

Il fallait lire "dirigeants américains"

Dedefensa nous parlait l'autre jour de Stonewall Jackson et du fog of war lien

Les Russes dominent donc l’art de la guerre de la communication à la manière de Stonewall Jackson, aussi bien que l’art de la guerre tout court. Ils maintiennent avec constance le fameux fog of war, à leur avantage également dans ce cas de la communication, laissant tout le monde dans l’incertitude inquiète quant à leurs intentions, avec en plus la préoccupation plus qu’inquiète de l’expérience répétée chaque jour que les Russes, une fois l’intervention décidée en un point, frappent vite et dur.

Tom Engelhardt parle cette semaine lien du fog of Intelligence qui coule jusqu'au fog of leadership pour s'échouer dans un trou noir : the giant fog machine

The phrase “the fog of war” stands in for the inability of commanders to truly grasp what’s happening in the chaos that is any battlefield.  Perhaps it’s time to introduce a companion phrase: the fog of intelligence.  It hardly matters whether those 1,500 CENTCOM analysts (and all those at other commands or at the 17 major intelligence outfits) produce superlative “intelligence” that then descends into the fog of leadership, or whether any bureaucratic conglomeration of “analysts,” drowning in secret information and the protocols that go with it, is going to add up to a giant fog machine.
 

... Jusqu'à l'ivresse et au-delà, et rectification faite subito presto, passant des “dirigeants russes” aux “dirigeants US”.

Que les lecteurs qui avaient aimablement rectifié d'eux-mêmes nous pardonnent : sans doute le fog of war nous fait-il prendre un peu vite de la bouillie pour des lanternes.

dde.org