perceval78
22/12/2014
Se pourrait il qu’il y ait de la haute trahison dans l’air, même le grand Edward Lucas qu’on ne peut soupçonner de complaisance envers l’ignoble Poutine ne peut s’empêcher de faire de la pub pour son ami Peter Hitchens alias @ClarkeMicah (personnage de Conan Doyle)
Edward Lucas @edwardlucas · Dec 21
my friend @ClarkeMicah says we’ve got it wrong. Putin is not Sauron and we’re the warmongers
Que dit Peter Hitchens : il n’y a pas de diable Poutine, il y a des fauteurs de guerre aux mains rouges de sang versé
lien
il est temps de se ressaisir Edward, Clarke Micah en sait plus que toi sur la mort du duc de Monmouth, elle fut affreuse et douloureuse .
« Au premier coup, le bourreau ne fit au duc qu’une blessure, Mommouth se débattit, leva la tête et regarda John Ketch avec reproche. Ce dernier le frappa trois coups successivement, sans que la tête fût séparée du corps qui s’agitait convulsivement. Dans la foule massée sur Towerhill, des hurlements s’élevèrent. Ketch jura et jeta la hache, « Le cur me manque » dit-il, le shérif lui hurla de reprendre la hache. Il reprit donc l’arme et deux coups furent nécessaires ainsi que son couteau pour séparer la tête du corps. »
marc gébelin
23/12/2014
La poésie de Perceval est sympathique, nous met dans une ambiance surréaliste… Toutefois, ce voyage de Friedmann ne pourrait-il pas être un “coup” de plus… Aller provoquer Poutine chez lui, le pousser à l’erreur… ” Dis, camarade, au cas tu le saurais pas, au cas tu n’aurais pas le désir de le crier toi-même sur les toits, je le fais à ta place… comme ça si tu veux te venger, vas-y, dégaine “...
Peut-on créditer les Yankees d’une telle machiavélique intelligence? Je crois que oui malgré leur idiotie de base, leur inculture cosmique, leur haine rentrée de tout ce qui n’est pas eux. Toutes les provocations depuis février 2014 n’ayant pas fonctionné, ils en inventent une autre encore plus intrépide… On est bien dans l’il du cyclone. J’ai le sentiment que tout est calculé au millimètre.
Ilker de Paris
26/08/2015
En février 2015, le même Georges Friedman a tenu une conférence au “Chicago Council” là encore d’une étonnante clarté (calculée ?).
Lors de cette conférence Friedman parle de la Russie évidemment, de l’Allemagne, de l’importance pour les États-Unis d’empêcher toute alliance entre ces deux pays, de l’Europe, de l’extrémisme islamique, que Friedman ne classe pas parmi les menaces existentielle pour les États-Unis, de la politique de “diviser pour mieux régner” etc
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