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05/09/2006
Je trouve votre article comme une coïncidence, par bien des points.
Je joins ici un court résumé, en apportant également mon point de vue sur cette mécanique inéluctable qui surpasse n’importe quel président.
Car je le constate aussi, peu importe le président, ce qui compte c’est qu’il soit formaté et s’il ne l’est pas il le devient assez vite.
Pour ma part, c’est exactement cette entité greffée sur le corps (corps qui est un réseau fonctionnel) que je nomme “virus”.
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Quelques extraits de l’article :
Grâce à l’expérience acquise au bout de plusieurs générations de business antisocial et impitoyable, la politique américano-fasciste, puisqu’il faut bien prendre les devants sur la façon dont l’histoire la nommera, en arrive maintenant à un stade extrême de névrotisme.
Il est question de virus quand une entité est greffée au réseau et en prend le contrôle, afin de s’auto-détruire holistiquement.
Toute cette satisfaction acquise par une ère industrielle naissante est comme un élan qui en réclame encore.
Elle croit en sa perfection et en sa bonne étoile, et dès que quelque chose ne va pas, elle la dissimule, voir l’élimine pour pas qu’on le découvre.
On en arrive au stade où ce système traite de terroriste ceux qu’il veut détruire, voulant les détruire parce qu’ils sont nommés par eux-mêmes de terroristes.
Ce à quoi cela nous mène est passionnant, puisque dans le même temps une pensée étatique a prit corps, ce fameux virus, tellement puissante et active que peu importe qui est président de la république, peu importe encore moins leurs sbires, cette pensée est dominante et s’empare de ces hommes politiques comme de marionnettes.
Il y a des façons d’agir, des protocoles, des constantes…
Un président a toujours, culturellement, du sang sur les mains.
C’est comme hérité des ancêtres animaux.
Et les gens votent pour eux.
http://w4lk.info/article4079.html
-8119
PHR
05/09/2006
Une grande spirituelle des Etats-Unis, qui plus est, a dit, plus : observé : celui qui ne pardonne pas à son ennemi, finit par devenir comme lui.
D’aucuns disent - vous en avez fait état sur ce site - que les juifs dirigent la politique des Etats-Unis.
On voit la conclusion : faute de pardonner aux bourreaux de leurs pères, les juifs - donc les Etats-Unis, si ce sont bien eux qui les dirigent -deviennent comme les nazis.
C’est la fascination pour l’ennemi. Ou au moins le résultat de l’obsession.
Seul le pardon permet de dépasser le passé.
Ce n’est pas l’obsession mémorielle -devoir de mémoire, et autres foutaises qui préviendront le mal. Mais bien l’amour du prochain. Voire de l’ennemi.
PHR
06/09/2006
Et j’ajoute, relisant votre texte : oui, c’est bien la question des “fins dernières” qui importe. Cette question de ce qui se passe après la vie, du Paradis et de l’Enfer, reléguée par tous aujourd’hui : des Protestants se scandalisant à peu de frais au XVIème siècle des Indulgences dont ils ne voyaient pas le sens spirituel à la Révolution française - même origine - pour qui ne compte plus que le bonheur sur terre (“le bonheur est une idée neuve en Europe”, paraissait-il - Saint-Just).
N’accusons personne : qui se soucie aujourd’hui de Dieu dans ce monde occidental des dirigeants ? Bainville avait cité le psaume II en tête de ses “Conséquences politiques de la paix” : “Et nunc reges intellegite et judices erudicamini”.? “Et maintenant rois comprenez; et vous qui jugez la terre, reprenez-vous”. Est-ce que quelqu’un connaît Georges Bush et peut lui transmettre cela ? Merci d’avance.
PHR
06/09/2006
sur lesquels sûrement d’aucuns s’affligent, moi, je n’ai qu’un mot : enfin !
Enfin, nous voyons s’effondrer sur lui-même ce monde inique, tant de fois dénoncé. Enfin !
Enfin, le jeu s’ouvre. Enfin ! Que sortira-t-il de tout cela ? MAis ce que cete dictature prétend justement apporter et détruit : la liberté.
Il n’y a qu’une ligne de fracture dans le monde : elle passe entre les catholiques et le protestantisme.
Lacordaire le disait : l’Eglise a connu trois hérésies : l’arianisme, le mahométisme et le protestantisme.
Les Etats-UNis ? Henry de Montherlant en a parlé dans Le Cardinal d’Espagne d’une manière définitive : “tout ce qui vient du nouveau monde est pourri”.
Sylvio
13/09/2006
Le point de départ est donc les attentats du 11/09/01.
On peut même remonter à l’élection de Bush voir jusqu’à la fin de la 2nde guerre mondiale qui a fait
naître le complexe militaro-industriel et la dinastie Bush.
Il y’a une autre fin possible qui est causé par ce que vous avez en face de vos yeux en lisant ce message : Internet.
Internet permet aujourd’hui une véritable révolution démocratique, il constitue à lui seul une nouvelle société : la société virtuelle. Cette société, du moment qu’elle n’est pas trop contrôlé et que la liberté d’expression y existe, permet de passer outre les médias de presse pour s’informer, permet de passer outre l’espace pour se rencontrer. Sur internet, une nouvelle démocratie est en marche, deviendra-t-elle une démocratie dicatoriale ? Il faut tout faire pour empécher ça.
Je vais en revenir au point de départ de la démocratie dictatoriale, le 11 septembre 2001. Ce 11 septembre a été prévu par le PNAC (Project for a New American Century écrit à la fin des années 90 par les néos conservateurs) qui met en place les plans pour établir ce “nouvel ordre mondial” (la démocratie dictatoriale) et indique : “the process of transformation, even if it brings revolutionary change, is likely to be a long one, absent some catastrophic and catalyzing event—like a new Pearl Harbor.”. Le nouveau Pearl Harbor (on sait aujourd’hui grâce à l’administration Clinton que le Pearl Harbor a été l’oeuvre des USA) est donc arrivé en 2001 et tout s’est enchaînée rapidement.
Aujourd’hui de nombreux points (effondrement du WTC7 inexpliquable et inexpliqué / effondrements des tours en 10s qui est scientifiquement impossible hormis dans le cas d’une démolition contrôlée) athéses le fait que ces attentats étaient planifiés et nécéssitaient des moyens importants. Voir le site http://www.reopen911.info (en français) à ce sujet.
Denis
14/09/2006
Je suis admiratif à la lecture de cet article, qu’elle conviction, qu’elle fougue;
mais ne suis pas en accord avec les conclusions.
Dans la vie tout est possible ; les plus incroyables retournements peuvent se produire.
Les invraisemblances sur le 9/11 finiront par éclatées et là le retournement en laissera plus d’un sur le cul, et s’est seulement à cet instant que les US retrouveront le droit chemin.
merci de m’avoir lu
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