Ezo Gelin
08/06/2010
La nomination d’un chef du renseignement n’est pas une chose à mépriser a priori, mais la portée pratique du choix d’une ènième personne pour remplir cette fonction a plutôt valeur de symbole ou d’avertissement. Il serait étonnant qu’un cadre de cet acabit ait le pouvoir d’infléchir rapidement une politique avec la seule force de son hasardeuse conviction en bandoulière.
Bien qu’important, le choix d’une nouvelle tête ne doit donc pas être surestimé et les couineries d’Israël doivent être accueillies avec méfiance, comme tout ce qui sort de ce grotesque Etaticule.
Il faudrait des années pour débarrasser l’Etat turc de tous ses parasites, y compris et surtout dans les services. Non seulement les agents sionistes doivent y pulluler, mais plus encore, ceux des Turcs encore animés d’un sentiment patriotique doivent être sérieusement infectés par l’Otanite ingurgitée depuis des décennies.
Cela dit, il est possible qu’il y ait eu une couille dans le potage de yoghourt lors de l’arraisonnement (absence de rraisonnement semble-t-il) de la flotille de la liberté.
Cette opération n’a pas été décidée la veille de l’appareillage si l’on en croit une analyse de Voltairenet :
http://www.voltairenet.org/article165659.html.
Les couards armés ( http://warincontext.org/2010/06/06/all-i-saw-in-israel-was-cowards-with-guns/ ) tombés sur le paletot des pacifistes doivent avoir flingué quelqu’un ou quelques uns au(x)quel(s) tenait la Turquie. Dans ce cas on pourrait imaginer que la fuite sur sa (leur) présence à bord avait les services turcs comme origine.
D’où la reprise en main de la barbouzerie.
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