eric b
11/03/2009
, au niveau du “lobby”, est que tout se passe et se “résout” maintenant sur le plus court des court-termes avec en fond un déni de plus en plus hallucinant du réel…
Là comme ailleurs : auto-primes des banquiers 2 jours avant la faillite, politiques environnementales à reculons, etc…
Langue de bois et contradictions partout, à chaque minute…
Ce qui se passe en ce moment ressemble tout à la fois à la politique de la terre brulée et au sauve-qui-peut général…
Fin du Titanic ?... Après moi le déluge ?...
Les hommes (et les grandes structures) de pouvoir DOIVENT retrouver le sens des proportions…
Celui de la nature, avec ses divines harmonies et son temps long…
Père Iclès
11/03/2009
Ce que je trouve passionnant c’est que Freeman, rompant l’omerta qui est d’usage dans son milieu, semble en fait en appeler à l’opinion publique, c’est à dire dérive l’attaque du lobby vers la totalité de la population US qui s’est pour ainsi dire exprimée à travers la volonté de son président de nommer Freeman à ce poste.
Il est évident que ce qu’il a voulu provoquer c’est l’émergence d’un sentiment “anti-lobby” qui est d’ailleurs sans doute déjà présent de façon diffuse depuis quelques années.
Les néoconservateurs et d’une façon générale les républicains ne vont pas manquer de tenter d’évaluer jusqu’à quel point leur soutien au lobby est bénéfique pour leur carrière et ce sera peut-être l’occasion d’observer quelques retournements de vestes.
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