Stéphane
07/02/2007
If war breaks out, I’m sending the F-22, Keys told Aviation Week & Space Technology last week. But not for operations in Iraq or Afghanistan. I didn’t buy the F-22 for Iraq »
Il est intéressant de noter que dans lesprit de Mr Keys, lIrak et lAfghanistan sont des « opérations », à ne pas confondre avec des « guerres ».
Dautre part, on remarquera que même dans le cas de la « guerre normale », on attend de lennemi quil nutilise pas de contre mesures et autres moyens électroniques, qui vraisemblablement contrarient le statut davion-le-plus-avancé-du-monde du F-22.
Mr Keys devrait se méfier. Lennemi à souvent tendance à montrer un total manque de fair play.
Schnetzler
08/02/2007
Je suis en parfait accord avec la remarque précédente et je vais même plus loin. Depuis plus de quinze ans, aux Etats-Unis et ailleurs, on n’imagine plus que des luttes à dix ou cent contre un, face à des adversaires incapables de riposter. Une telle attitude n’est pas du “virtualisme” mais la manifestation de l’ego démesuré des “démocraties” (détentrices de toutes les vertus), ego comparable à celui prévalant il y a un siècle.
Quant aux faiblesses avouées du F-22, elles sont hallucinantes. Il serait impuissant face à un brouillage “accidentel” ! Qu’en serait-il alors face une action ennemie spécifiquement dirigée contre lui ? Si le F-22 est inapte au combat en Irak (pour les raisons citées) alors il est encore plus inapte à des engagements dans un conflit conventionnel.
Tout cela dépasse donc de loin le principe d’un conflit C4G. Une guerre ce n’est pas un tir au pigeon. L’ennemi riposte.
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