Exocet
30/05/2009
Sacré bouttre en train que ce Général Pétraeus,aprés la rentabilité en trompe l’oeil du “surge” ,voila le “consensus” (mou) du “purge (means avec paradigme machinale) Il est vrai que le consensus mollasson des droits de l’homme (et de la femme ) exportables àux prédispositions distordus ont finis par accoucher de réelles violations pardon conventions de Genéve et ne pouvant qu’aboutir à une impasse amnésique d’une telle ampleur (c’est un lieu commun de le dire!)..Enfin si cela permet à Obama de purger le circuit d’alimentation de l’amnésie générale sans faire de trop grosses vagues( beh des fois vaut presque mieux laver son linge sale en famille..) La reine nous pardonnera si sa culpabilité n’est pas retenue,consensus oblige et Obama va pas trop appuyer sur la pédale wah wah.. distorsion oblige et puis le discours du Caire à venir comme une presque Rupture avec l’aire Bush, ses crasses en pesanteur comme un vieux cauchemard débile et anémique ...
Allez une bonne motorway tentaculaire pour brancher la masse sur la pesanteur , and keep in touch !!..http://www.youtube.com/watch?v=cVLfKbZ_syw&feature=related
Dedef
01/06/2009
son mouvement de purge des séquelles de lépoque Obama. “
Vous êtes sur de la rédaction? N’est ce pas un peu tôt ? Bush III fera plutôt ça.
Et aussi merveilleux que soit Obama, je prends les paris:
Les prisons à la Guantanamo ne disparaitront pas, même si Guantanamo est officiellement fermé - c’est à peu prés ce que dit Petraeus -
Le Patriot Act restera discrètement en vigueur.
Il restera de 10 à 30 000 soldats US en Irak, sous une étiquette ou une autre - pourquoi pas à l’Ambassade - car le pétrole irakien ne sera jamais abandonné.
Le pipe line par l’Ouest étant bloqué depuis la défaite US en Géorgie, il passera par le Sud, et le Pakistan a deux chances sur trois d’être détruit au passage. C’est un deal qui peut convenir à l’Iran et à l’Inde, si une zone d’influence locale leur est offerte, et mème aux pachtouns Afghans, moyennant finances et libre passage de l’opium vers la Russie et les autres “Stans”.
Les seul, mais importants, problèmes sont qu’aucun des présidents locaux ne peut survivre longtemps si les Russes et les Chinois décident ensemble de s’en séparer, que le problème logistique avec l’Afghanistan est presque insoluble, et que le dollar pourrait bien exploser en vol sans préavis.
Dans ce cas tout le reste deviendra accessoire, sauf le pétrole immédiatement disponible toujours vendu en dollars de façon certaine (Irak).
Quand à Israel il pourrait bien apprendre à vivre sur son seul budget, sans amis hors d’Europe,
Philippe Grasset
01/06/2009
La rédaction n’est jamais sûr de rien, y compris de la rédaction. Donc, tous nos remerciements à Dedef pour son oeil attentif de lecteur, et réparation faite ce jour (1er juin 2009) à 09H45: époque Bush-Cheney vient prendre la place d’administration Obama, sans surprise; cela, accompagné de nos excuses pour ce qu’on pourrait juger être, plutôt qu’une coquille, un lapsus certainement révélateur, mais de quoi? Nous ne sommes sûrs de rien.
Puisque nous y sommes, une ou deux remarques sur ce message auquel nous répondons. Obama n’est pas merveilleux, il est Obama et il a fait ce qu’il a fait (Russie, Israël, Iran), qui n’est pas rien par rapport à ce qui a précédé. A côté de cela, des réserves de taille existent et subsistent, et nous le disons suffisamment. Le tout fait qu’il est intéressant de suivre le bonhomme, avec toutes les nuances qu’il faut en bandoulière, notamment par rapport à ceux qui étaient sûrs que rien ne changerait avec lui.
Nous ne disons pas une seconde que l’Amérique est devenue vertueuse par la grâce de la déclaration de Petraeus. Nous rapportons ce que Petraeus a dit, et nous jugeons fermement, pour une fois sûrs de nous, que c’est un fait politique important, quelles que soient les arrière-pensées du sémillant général. Quant au reste de ce qui nous est dit dans le message, c’est de la prévision spéculative et nous avons trop peu d’assurance sur l’avenir pour nous risquer sur ce terrain d’une façon si précise, sur des sujets si précis. Nous n’aurions jamais songé à écrire, le 4 novembre 2008, que les relations USA-Israël seraient où elles en sont le 1er juin 2009.
Merci pour votre attention. PhG
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