Stephane Eybert
06/05/2010
Ou l’on retrouve cette bonne vieille idee tres chretiene qui est la propriete salvifique de nos malheurs. La douleur comme element indispensable de la guerison. Vive le dolorisme et la mortification de notre corps social !
Il faut souffrir pour être beau et l’ultra liberalisme sera notre guide dans cette voie vers l’extase democratique. Souffrons donc qu’il nous sauve !
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