Jean-Paul de Beauchêne
31/07/2005
En complément à votre intéressante présentation, et qui me convainct au moins pour une part du phénomène, il serait intéressant d’y ajouter une étude à deux degré de la contribution à la natalité des Françaises d’origine du sud de la méditérranée (citoyennes ou étrangères résidentes) : le premier degré est la rémanence d’une fécondité importante selon les traditions du pays d’origine, et le second degré, qui rejoint votre analyse, est les conditions matérielles, psychologiques et existentielles, pour ne pas dire spirituelles, qui permettent à ces immigrées ou Françaises issues de l’immigration, de conserver cette fécondité. Je crains que la pensée unique n’interdise par voie réglementaire ce genre d’étude, qui serait certainement riche d’enseignements et qui pourrait bousculer bien des idées reçues, dans un sens comme dans l’autre.
Avec mon meilleur souvenir, depuis nos déjeuners bruxellois d’antan.
JP de Beauchêne
Mabru A
01/08/2005
Statisquement les émigrées ont moins d’enfants que les Françaises d’origines!
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