Francis Lambert
27/12/2010
a third representative American optimist who died this year, at age 91, is a Connecticut man who was not a player in great events and whom Id never heard of until I read his Times obituary: Robbins Barstow, an amateur filmmaker who for decades recorded his familys doings in home movies of such novelty and quality that one of them, the 30-minute Disneyland Dream, was admitted to the National Film Registry of the Library of Congress two years ago. (...)
How many middle-class Americans now believe that the sky is the limit if they work hard enough? How many trust capitalism to give them a fair shake? Middle-class income started to flatten in the 1970s and has stagnated ever since. (...)
Its a measure of how rapidly our economic order has shifted that nearly a quarter of the 400 wealthiest people in America on this years Forbes list make their fortunes from financial services, more than three times as many as in the first Forbes 400 in 1982. (...) In 2010, our system incentivizes high-stakes gambling this business of securitizing things that didnt even exist in the first place, as Calvin Trillin memorably wrote last year rather than the rebooting and rebuilding of America. (...)
America cant move forward until we once again believe, as they did, that everyone can enter Frontierland if they try hard enough, and that no one will be denied a dream because a private party has rented out Tomorrowland.
http://www.nytimes.com/2010/12/26/opinion/26rich.html?_r=1&ref=frankrich
La video en anglais (35’)
In July 1956, the five-member Barstow family of Wethersfield, Connecticut, won a free trip to newly-opened Disneyland in Anaheim, California.
http://video.google.com/videoplay?docid=6953440508958798968#
Jean-Claude HENRY
30/12/2010
Le commentaire sur votre site au sujet de la modélisation climatique me convient parfaitement :
“Il semble donc que la Terre dispose de boucles de rétroaction négatives très puissantes alors que les modèles utilisés par le GIEC introduisent tous des boucles de rétroaction positives. Si c’est bien des rétroactions négatives qui doivent être considérées l’effet induit devrait contrer l’effet direct et la température devrait s’élever de moins d’un degré pour un doublement du CO2.” L’hypothèse de base du GIEC est que la rétraction est positive, ce qui signifie inévitablement que la température ne peut que s’emballer, ce qui serait une première depuis quelques milliards d’années. En revanche, les arguments en faveur de boucles de rétroaction positives sont nombreux.
On peut ajouter que la notion même de réchauffement global est discutable. On parle d’une élévation de 0,6 à 0,75° C en 150 ans, valeur qui est inférieure à la marge d’erreur des mesures ! Pour montrer la gravité du péril, Marcel Leroux faisait remarquer que 0,6° C correspond à la différence moyenne de température entre Nice et Marseille.
On constate que la plupart des relevés de température sont effectués sur terre, alors que la mer représente 70 % de la surface du globe. D’autre part, la majorité des stations météorologiques ne sont pas conformes. Les stations des USA représentent 20 % des stations mondiales et certaines sont très anciennes. Initialement construites à la campagne, elles ont été pour la plupart rattrapées par la ville. Or, les critères de conformité d’un relevé de température sont très stricts. On classe ainsi les stations en 5 catégories, selon l’importance de l’erreur de mesure qui, dans ce cas, est toujours en excès. Classe 1 = mesures exactes et classe 2 = mesures acceptables. Classe 3 = erreur de 1° C. Classe 4 = erreur de 2° C et classe 5 = erreur de 5° C ! Une étude récente montre que seules 13 % des stations américaines sont de classe 1 ou 2, ce qui signifie que 87 % des stations américaines sont incapables d’évaluer des variations de température inférieures à 1° C, variation que le GIEC prétend démontrée .
Si les stations placées en ville montre effectivement un accroissement de température, manifestement par effet d’ilot urbain, les plus anciennes, et qui sont conformes, montrent une quasi stagnation des températures depuis 150 ans et surtout une tendance à la baisse depuis 5 à 6 ans, baisse que le GIEC n’a pas vue.
Laurent Demaret
30/12/2010
@Ilker de Paris
J’avais en mémoire une interview d’Ahmadinedjad sur France 2 où il ne contredisait pas le journaliste qui l’accusait d’avoir prononcé la fameuse phrase et que j’ai voulu retrouver pour vous montrer qu’il n’était pas innocent dans sa diabolisation puisqu’il endossait cette traduction grossière en se contentant de rappeler que l’URSS avait bien disparue. http://www.youtube.com/watch?v=4OYoM1sF4g4 à 2 ’ et 30 “.
Sauf qu’en la réécoutant sur YouTube j’ai pu constater qu’en fait sa réponse avait été coupée au montage pour n’en garder que la fin.
Encore un avantage de l’internet on peut revenir autant de fois qu’on veut pour bien saisir les plus petits détails et ainsi découvrir le minutieux travail de nos journalistes. Ceux là même qui se gaussaient des soviétiques qui effaçaient des photos les images des gouvernants déchus au bon vieux temps de la Pravda…
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