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Article : Le président-Trump face au triomphe du candidat-Trump

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Trés vite , sans conteste .

Christian Feugnet

  10/11/2016

Avec quel ordre de priorité , vous apportez des éléments de poids .Il me semble qu'il en manque un : le Trésor .
Vous avez certainement raison quand à ces 'amis' Républicains . Cependant , connaissant leur vénalité , eux et ses ennemis , je crois que les uns et les autres seraient beaucoup plus accomodants , si Trump possédait les cordons de la bourse , en plus de donner des moyens à ses secrétaires .
A cet égard , Poutine m'apparait de meilleure inspiration que Gorbatchev , puisqu'il confie la monnaie au Trésor et non , à la banque centrale Russe ( pieuse filiale du Systéme ) . Bien sur pour Poutine c'est facile ; Gazprom fournit les liquidités . Ce ne devrait pâs étre un probléme insurmontable à cet excellent homme d'affaires qu'est Trump , de trouver un équivalent , question oie aux oeufs d'or , aux USA .

Espérons que Trump vous lira

Jean-paul Baquiast

  10/11/2016

Même s'il ne le fait pas, espérons qu'il recrutera des conseillers raisonnant comme vous. Excellent article, as usual

Qui a gagné, qui risque de perdre.

Marc Gébelin

  10/11/2016

Je partage l'analyse. Tout va se jouer dans la vitesse et le style Patton, c'est-à-dire celui qui gagne aujourd’hui. Tout va dépendre aussi des "reins" et du "cœur" de Trump, ce que généralement l'Eternel sonde quand il s'intéresse à ses apôtres.
Le côté un peu Elvis Presley, James Dean relooké, homme à femmes (c'est un compliment de ma part quand on n’a pas beaucoup de tendresse pour le féminisme dévastateur qui a tout fait pour l'abattre), sera-t-il contenu par ce que l'homme a découvert de sa responsabilité au fur et à mesure de la campagne?
Il aime son pays. Il veut "America great again"... Il l'a dit, conscient que les foules qui l'acclamaient étaient sa matière première et allaient devenir son pain quotidien, à condition que dans son "America great again" il n'oublie pas les "Americans" devenus tout "small" et que Sanders a accroché lui aussi.
Un Trump milliardaire peut-il avoir un peu de Sanders?

Comment passer de businessman à homme d'état? Il n'y a pas de recette mais l'épaisseur des dossiers et la terrible nécessité de choisir de bons conseillers, fera que la transition sera brutale car le management d'un empire immobilier ce n'est pas diriger un état, et ça il ne l'a pas appris dans les universités ou les cénacles Skulls and Bones. Un businessman peut-il être aussi malin, aussi fin qu'un praticien de la politique naviguant dans les concepts de gouvernance ou de géopolitique plus que dans les pourcentages, les bénéfices ou les dividendes? Je n'en sais rien mais mesure la tâche qui est devant lui avec les requins qui déjà l'entourent dans les profondeurs.

A défaut donc de lui apporter de l'aide visible faisons comme Israël Shamir: prions pour Trump, prions pour le peuple américain qui est peut-être sans qu'il le sache en train de faire de la métahistoire. Car on peut être sûr qu'il y en a d'autres qui prient mais que c'est pas le même dieu. Ceux de "Eyes wide Shut" par exemple, ou les généraux primitifs du pentagone comme ce Mark Milley je crois avec sa trogne d'abruti au vocabulaire limité, menaçant la Russie l'autre jour dans un discours de beauf. Ce genre de types bien plus qu'anti-communiste comme cela se laissait entendre il y a quarante ans, sont tous des gens qui vont finir par devoir admettre qu'ils sont anti-tout-ce-qui-n'est-pas eux, définition par excellence du pervers ou plutôt de la perverse puisque c'est une femme dans ce cas qui mène le bal de la haine… Si la Clinton n'est pas emprisonnée (et même si elle l'est), ses réseaux vont se mettre en branle, les provocations fuser de toutes parts… Cette femme immonde et déshumanisée qui osa, parlant du cadavre de Kahdafi, dire:  "We came, we saw, he died!" suivi d'un éclat de rire qui reste dans la mémoire de tous les hommes qui sont encore humains comme celui d'un démon.
Trump n'a pas vaincu la Cliton mais une incarnation du démon. Pour le circonvenir il faudra du CARACTERE, celui qu'il possède sans doute déjà mais surtout celui que le peuple américain lui a insufflé pendant la campagne. Il lui faudra aussi de vrais amis pour l'épauler, pas "des amis qui se soucient peu de vous ou qui vous haïssent" selon la belle formule de Chamfort, mais des "qui vous aiment".
 

The BIG EXIT : Système on t'attend !

perceval78

  10/11/2016

Ton âme s’agitera comme une région pendant un tremblement de terre

Carl Bildt passe deux jours a Santa Monica pour étudier la situation avec le Board de la Rand.
Le système s'étant méga Trumpé, serait il capable de s'auto mutilé via un #Calexit ?
Emmanuel Todd nous le dit bien (à partir de 41 min) Trump n'aurait pas du gagner (car les anglais ne craquent jamais et subissent toujours) on est sorti du modèle, terra incognita ...

De
 vagues bruissements pour se faire peur ?

Nos amis Anglais qui n'en peuvent plus d'avoir été démocratiques aimeraient se sentir moins seul : un Calexit ! un Calexit !

Surtout que les Russes que l'on sait sournois ont peut être caché des armes de destruction massive.

La stratégie francaise a fini par payer, faire croire que l'on subissait, que l'on faiblissait, alors qu'on tenait, les anglo saxons ont craqué comme du bois mort… Waterloo enfin vengé ...

Tandis que les yeux fixés sur la montre j’attends la minute prescrite pour l’assaut
Appolinaire. Section d' Assaut
 

Michel Donceel

  10/11/2016

"Eyes Wide Shut" !
Excellent pour qualifier les réactions actuelles de la "Gauche" -mis à part, semble-t-il, Mélenchon - à l'élection de celui qu'ils s'obstinent à voir comme une incarnation du Grand Kapital et du Mal tout-en-un, et ce en continuant par ailleurs à ressasser jusqu'à la nausée les habituels slogans de l'Extrême-Droite Globaliste ( et son idéologie  post-humaniste, comme la sauce sur le Poisson )
On dirait que le mot d'ordre collectif est "Maintenez la cohésion de la fourmilière, coûte que coûte ! ".
Ce qui restait encore de décence dans le rapport au concret s'est définitivement éparpillé comme feuilles mortes dans le vent de novembre.
On en vient même à voir un de nos belges quotidiens, jadis connu pour sa relative honnêteté et son conservatisme, affirmer que "Les pauvres n'ont pas voté Trump"...
Preuves à l'appui, on suppose…

 

Gilliatt et la pieuvre

Dont Acte

  11/11/2016

Inventons un indice pour mesurer la marge de manœuvre qu’aura Trump pour provoquer un réel changement : dans sa proche administration, le nombre d’anciens de Goldman Sachs. Sera-t-il encadré par la cohorte de kapos estampillés GS comme l’a été Obama ? Déjà, Steven Mnuchin est favori pour la position de secrétaire au Trésor, alors…
Trump serait-il devenu président parce qu’adoubé sur le tard par le Système en échange des compromissions d’usage ?
 

Ron Paul donne son point de vue.

Jack V.

  11/11/2016

https://www.youtube.com/watch?time_continue=10&v=gWrVJHtejkQ