Morbihan
07/02/2012
... Roger GARAUDY (les mythes fondateurs de la politique israélienne).
Rassurez-vous: je n’ai rien d’un antisémite, plusieurs de mes amis les plus proches sont de confession juive.
Pour autant, le comportement d’Israël depuis 1967 m’incommode moi qui, à cette époque, ai tenté, sans succès (j’étais Goy), de m’installer dans ce pays dont la jeunesse, l’audace et la fragilité apparente me faisaient rêver.
Mais, lorsque je vois voter en France des lois iniques, interdisant tout débat sur l’histoire - comme si les politiques voulaient interdire que l’on recentre l’histoire sur la réalité, plutôt que sur la vérité du vainqueur. Merci MM. Fabius et GAYOT. Merci ces politiques qui refont l’histoire de l’Arménie, oubliant la Vendée, voire l’Algérie…
Je m’égare… Revenons à l’essentiel: qui détient les ficelles du pouvoir de la communication? Trouvons la réponse à cette question, et nous aurons sacrément avancé.
PEB
07/02/2012
La guerre d’Israël contre l’Iran est un blasphème à soi tout seul contre la prophétie juive authentique. On lit, en effet dans l’Ecriture:
“La première année du règne de Cyrus sur la Perse, l’Eternel réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse, afin que s’accomplisse la parole qu’il avait prononcée par Jérémie, et celui-ci fit faire de vive voix, et même par écrit, la proclamation que voici dans tout son royaume: «Voici ce que dit Cyrus, roi de Perse: L’Eternel, le Dieu du ciel, m’a donné tous les royaumes de la terre et m’a désigné pour lui construire un temple à Jérusalem, en Juda. Qui parmi vous fait partie de son peuple? Que l’Eternel, son Dieu, soit avec lui et qu’il y monte!» (2 Chroniques 36, 22-23)”
Autant l’Irak est la terre maudite de l’exil à Babylone (Babylone la belle, toi qui vas être ravagée, heureux qui te paiera de retour pour le mal que tu nous as fait ! Heureux qui saisira tes enfants et les écrasera contre le roc ! Psaume 137, 8-9), autant la Perse et donc l’Iran est le lieu d’où vient la Rédemption de tout le peuple et la restauration et du Temple et de la Loi (Torah) gardés en trophée au temple de Babel (Esdras 5, 14).
Pour ces raisons, des rabbins ultra-orthodoxes anti-sioniste (seul un messie de droit divin pourra rétablir la Royauté en Israël) font le voyage jusqu’à Téhéran à l’invitation des autorités!
Du point de vue perse, les Juifs étaient des ennemis de leurs ennemis mésopotamiens. Par ailleurs, la religion zoroastrienne se rapprochait de la foi juive par le culte d’une divinité lumineuse unifiée Ahoura-Mazda. L’angélologie est un héritage perse présent dans la dogmatique judéo-chrétienne ainsi que la doctrine du Paradis et du péché originel.
La volonté d’anéantir l’Iran tire son origine dans la fête de Pourim qui célèbre les aventures d’Esther (du livre sacré éponyme).
La Perse est donc l’objet d’un amour-haine impitoyable pour les Juifs.
A propos des Palestiniens, les Chrétiens de Bethléem sont les authentiques israélites selon la chair comme selon la Foi (théologalement, l’Eglise est, selon la doctrine catholique, le nouveau Peuple de Dieu, vrai Israël et plein héritier des promesses) car ils descendent en ligne directe des bergers qui entonnèrent avec les anges l’hymne des Cieux durant la sainte nuit de la Nativité.
Notons que la politique d’éradication des Palestiniens chrétiens par le dilemme de la valise ou du cercueil a pour but, pour les uns d’établir l’Oumma et pour les autres de saper en action la réserve théologique sur la légitimité historique de cette minorité doublement persécutée.
Les Séfarades sont, vraisemblablement, des descendants de tribus berbères “prosélytes” et convertis au Judaïsme à l’aube de l’empire romain. Les Ashkénazes sont sans doute issus de l’empire caucasien judaïsant des Khazars.
Les autres juifs, ceux de la tradition du Premier Temple tels que les Indiens ou les Falashas Éthiopiens posent des problèmes religieux épineux au Grand Rabbinat Israélien. Ces judéo-palestiniens se voient obligés de toute force à embrasser les dogmes pharisiens établis lors du synode de Jamnia après la chute du Temple en 70 sous peine de se voir traités en Samaritains (cf. Esdras 4). Le Sionisme qui est une démarque conquérante du talmudisme est allergique à toute tradition alternative remontant à une antiquité plus haute que le retour d’exil.
La thèse sioniste est, ainsi, si bien justifiée et étayée qu’elle mérite un soutien paranoïaque de la part de ses sectateurs en manque de légitimité sereine.
Daniel
08/02/2012
Il a bon dos, le sionisme !
L’ignominie est constituée dès les notions de peuple élu et de terre promise énoncées.
Est venu s’y ajouter “Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes” du coran ; qu’ils s’entretuent, mais nous fichent la paix !
georges dubuis
08/02/2012
Rassurez-vous: je n’ai rien d’un antisémite, plusieurs de mes amis les plus proches sont de confession juive.
Moa, je suis carrément anticesmythes.
” Voulez vous être témoin de Jéhovah, non, je n’ai rien vu de l’accident, juste le carnage incarné”
Arrou Mia
09/02/2012
@ Daniel
Les lecteurs éclairés de ce site se doivent de savoir qu’entre eux se sont immiscés des tas de soutien à Israël.
D’abord toute l’Internationale socialiste depuis même avant 1948.
la France de Guy Mollet a fourni l’arme atomique et il semble que c’est Israël qui continue JUSQU’À CE JOUR à imposer ses vues au CEA et selon certains c’est la France donc vos impôts qui continue à lui fournir de l’uranium enrichi.
Sans même parler de toutes mes mesures récentes d’élargissement de la coopération Union Européenne Israël qui consiste à fournir de l’aide à la recherche scientifique. Entendre par aide délivrance à sens unique de tous les résultats des laboratoires du CNRS biologie, informatique, neurosciences susceptibles d’intéresser le donneur d’ordres.
Continuer à imaginer que ce conflit est d’essence religieuse est une pure insulte à l’intelligence.
Pas plus athées que les Ben Gourioun, Meir, Sharon, Olmert et Cie.
Si religion il y a , elle est du côté des évangélistes chrétiens, des millions aux Usa.
Dans ce cadre, le entre eux implique beaucoup, beaucoup de monde.
Daniel
10/02/2012
> imaginer que ce conflit est d’essence religieuse est une pure insulte à l’intelligence
Qu’est-ce qu’une religion ?
Un lien avec Dieu, étymologiquement.
Ce lien, en tant qu’opinion, peut être responsable d’une bagarre entre tenants de religions différentes, sans plus.
Certaines religions ont été inventées pour solidifier la société (paganisme, religion des ancêtres, shintoïsme, animisme), l’hindouisme pour faire admettre calmement aux Dravidiens la présence des Aryens, mais le judaïsme a servi, dès le départ, à définir des autres, que, par hypothèse, on peut haïr, envahir et massacrer.
Mais c’est aussi un mèmeplexe : un complexe de mèmes qui tient des gens et leur fait éventuellement commettre des ignominies.
Il est d’autant plus efficace qu’il se reproduit mieux (d’où l’interdiction de se convertir chez les musulmans, l’obligation de couper le prépuce chez les juifs, la nourriture halal ou casher ainsi que le ghetto (réclamé par les rabbins aux autorités italiennes afin de garder “leurs” jeunes hommes - toute autorité religieuse vit aux dépens de celui qui la considère comme telle - à l’abri de la tentation des belles italiennes) pour les isoler des autres et la femme à la maison pour lui donner envie d’avoir des enfants… et n’a finalement plus rien à voir avec une libre opinion religieuse, ce qui explique les guerres et qu’un athée puisse se battre pour Israël.
En fait, la religion agit comme la part non régalienne (donc superflue) de l’état, un parasite de l’humanité la compartimentant pour la faire s’entretuer, pour le bénéfice provisoire des parasites, polytocards, ponctionnaires ou religieux.
Alors oui, ce conflit est d’essence religieuse, étatique, donc le reflet de la préhistoire qui est encore en nous.
> Si religion il y a , elle est du côté des évangélistes chrétiens
Le christianisme est ignominieux à proportion qu’il est proche de l’ancien testament…
Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un bon côté ; même un antichrétien comme Louis Rougier pensait que si Héron d’Alexandrie n’avait pas inventé la machine à vapeur, ce n’était qu’à cause du faible coût du travail des esclaves, alors que le christianisme avait, lui, suffisamment fait progresser moralement la société pour que ça en vaille la peine pour Denis Papin et Carnot.
Une autre religion, celle des Incas, s’est approché de cette ignominie (lisez le livre d’Esther !) en prétendant qu’il fallait tuer un homme chaque soir pour que le soleil se lève le lendemain, merveilleux soutien à l’impérialisme !
Arrou Mia
11/02/2012
@ Daniel
il serait sans doute vain de rappeler qu’en 1929 les Usa n’étaient pas socialistes avec leur taux de chômage à 40%
que sous Bush et Obama ils ne le sont pas davantage
les réflexes idéologiques quels qu’ils soient introduisent une vision astigmate du réel social
Daniel
12/02/2012
> il serait sans doute vain de rappeler qu’en 1929 les Usa n’étaient pas socialistes avec leur taux de chômage à 40% et que sous Bush et Obama ils ne le sont pas davantage
Ce serait surtout faux.
Le socialisme, ce n’est pas comme le Port salut, ce n’est pas toujours marqué dessus !
Les USA actuels croulent en effet sous le socialisme, à peine moins que nous (et aussi l’impérialisme).
En effet, dès qu’on impose à des citoyens des dépenses auxquelles ils n’ont pas expressément consenti, on est en socialisme ; cela se traduit par une monnaie unique imposée, des taxes (Pierre-Joseph Proudhon disait qu’à partir de 7% d’imposition, on quittait le socialisme pour entrer dans la tyrannie ; que dirait-il des USA ?!), de l’interventionnisme de l’état, une absence de referendum d’initiative populaire mais des élections aux mains de lobbies où les élus ne représentent pas le peuple…
Quant à 1929, voici les explications libérales, prenant en compte le fait que l’état “tripatouille” la monnaie, donc empêche l’équilibre, donc déclenche des crises qui ne sont que retour brusque à cet équilibre :
Les auteurs libéraux s’accordent pour rendre l’État responsable de la crise, mais avancent des causes précises différentes : pour Milton Friedman c’est la politique déflationniste qui est coupable, pour Ludwig von Mises et Murray Rothbard c’est la politique inflationniste, pour Jude Wanniski, c’est la loi protectionniste sur les tarifs douaniers qui est à blâmer.
Les historiens, souvent apologistes des pouvoirs en place et ignorants en matière d’économie, expliquent la plupart du temps la Grande Dépression par un soit-disant “refus d’intervenir” du Président Hoover, ou par une simple “surproduction”, voire par le laissez-faire ou le marché libre.
En réalité, la cause profonde de la crise de 1929 est bien l’interventionnisme étatique :
1 une expansion inflationniste : le tout jeune système de réserve fédérale (banque centrale des États-Unis) favorise l’expansion de la masse monétaire pour accompagner la croissance économique ;
2 les États-Unis accordent des prêts à bas taux d’intérêt aux pays européens (et notamment à la Grande-Bretagne qui s’efforce sans succès de maintenir la parité de sa monnaie en équivalent or) pour favoriser les exportations américaines, ce qui accroît encore l’inflation.
Comme toujours dans la plupart des “bulles”, l’inflation du crédit engendre une fausse prospérité, et se traduit par des cours de Bourse déconnectés de la réalité économique, jusqu’au retour au réel par un krach qui peut se produire lors d’un “jeudi noir” comme celui du 24 octobre 1929 (en quelques heures l’indice Dow Jones perd 22,6 %). Sans banque centrale pratiquant impunément l’argent facile et l’inflation pour complaire à une clientèle politique, la Grande Dépression n’aurait pas eu lieu - ce qui ne signifie pas non plus que sur un marché complètement libre il n’y aurait jamais de cycles d’expansion-récession, mais ces cycles naturels n’auraient pas l’amplification causée par l’interventionnisme étatique.
Les efforts des politiciens de l’époque, Herbert Clark Hoover, puis Franklin Delano Roosevelt, malgré la légende du “New Deal”, n’ont en rien réglé la crise, qui ne prendra fin qu’avec la Seconde Guerre mondiale. La crise aura ensuite été l’occasion pour Keynes d’exposer ses théories et ses “solutions” à base de manipulations monétaires, aujourd’hui bien dépassées et réfutées par Milton Friedman ou Friedrich Hayek. (...)
Vincent .
13/02/2012
Comme écrit avec tellement de conviction…
Vous oubliez de dire que la réserve fédérale est une banque privée et non pas une banque centrale comme on l’entendait encore en France, avant la loi de 1973 privatisant la monnaie.
Pour le reste, il faut probablement une dose de mauvaise foi gargantuesque pour oser écrire que les USA de 1929 étaient socialistes. M’enfin ...
Quand on présente le wiki libéral comme source d’informations, il est judicieux de s’attendre à tout et n’importe quoi.
L’expansion de la masse monétaire des USA avait surtout ( et a toujours ), pour but de satisfaire à l’expansion de l’empire des USA et pour payer les guerres qu’ils ont menés ( contre l’Espagne, en Amérique du Sud, en Europe, etc…)
En fait, l’expansion de la masse monétaire aux USA est lié à la privatisation de la monnaie. Avant cela, ils géraient très bien leurs affaires. Il en est de même en France et en Europe avec l’Euro. L’inflation n’a jamais été aussi importante depuis la privatisation de la monnaie.
Tenter de nous faire croire que ce sont des lignes de crédits destinées à accompagner la croissance économique interne des USA qui fut la cause de l’inflation, c’est vraiment prendre les lecteurs pour ce qu’ils ne sont pas. Enfin je dis ça, je ne dis rien ...
Daniel
14/02/2012
> la réserve fédérale est une banque privée et non pas une banque centrale comme on l’entendait encore en France, avant la loi de 1973 privatisant la monnaie.
Ça ne change que marginalement ; la dette est surtout due au déficit, inhérent au socialisme - même si la finance internationale pousse d’autant plus au déficit qu’elle en récupère les intérêts, raison pour laquelle les électeurs de gauche sont les idiots utiles de la finance internationale.
> il faut probablement une dose de mauvaise foi gargantuesque pour oser écrire que les USA de 1929 étaient socialistes.
Je ne dis pas qu’ils étaient socialistes, juste que la décision ayant mené à la crise était étatique.
À ce sujet, P. J. Proudhon disait qu’à plus de 7 % d’impôts, on quittait le socialisme pour entrer dans la tyrannie ; nous sommes donc TOUS en socialisme !
> L’expansion de la masse monétaire des USA avait surtout ( et a toujours ), pour but de satisfaire à l’expansion de l’empire des USA et pour payer les guerres qu’ils ont menés ( contre l’Espagne, en Amérique du Sud, en Europe, etc…)
Tout à fait.
> l’expansion de la masse monétaire (...) est lié à la privatisation de la monnaie.
NON.
C’est lié à la fin de la référence à un métal, l’or ou l’argent.
Et ceci est une décision étatique, prise par un état qui n’est que l’instrument de la ploutocrassie.
Lutter contre l’état est le SEUL moyen de lutter contre les oligarques !
Vincent .
14/02/2012
Vous n’avez pas défini ce qu’est l’état. Pourtant, vous l’accusez de tous les maux ... L’état est constitué d’hommes. Donnez-nous donc des noms ...
1) Qui, selon vous, est responsables de la crise de 29 aux USA ...?
Vous prétendez que l’expansion monétaire des USA est due à la fin de l’étalon or.
Je ne partage absolument pas ce point de vue. Ma vision est autre.
La fin de l’étalon or est d’abord, et avant toutes autres choses, une conséquence ( et non une cause ) de l’expansion monétaire des USA.
Après la guerre civile, les USA étaient déjà fortement endettés par les guerres qu’ils ont menées pour étendre leur empire. Ils ont donc fait tourner la planche à billets à plein régime.
Quand ils ont ouverts de lignes de crédits au Nations d’Europe après la seconde guerre mondiale, ils ont prêté de l’argent qu’ils n’avaient pas. Ils ont crée de l’argent à partir de rien ( c.a.d, sans posséder l’équivalent en or , ce qui revenait à mettre les Nations et les peuples d’Europe en servage.)
La fin de l’étalon or n’est que l’officialisation de ce servage et de l’ escroquerie monumentale qu’était devenu le dollar depuis sa privatisation.
Bien sûr, la fin de l’étalon or accélérera la croissance de la masse monétaire et de l’inflation qui en découlera. Mais avant tout cela, il y a la privatisation de la monnaie américaine via la FED , en 1913.
Les financiers “américains” avaient déjà essayé de nous la faire dès la fin de la guerre avec la monnaie impériale qu’ils destinaient au peuple français via l’AMGOT. ( cela revenait à sortir du servage imposé précédemment par l’Allemagne pour tomber sous le servage des USA… C’est du pareil au même. ).
De Gaulle et le gouvernement provisoire de la république française se sont opposés à cette mise en servage une première fois. Cela vaudra à De Gaulle les foudres des banquiers internationaux et plusieurs attentats.
Encore aujourd’hui, ils n’ont pas digéré la résistance gaullienne et ils ne se privent pas de ternir l’image de De Gaulle par l’intermédiaire d’Hollywood. ( A.Dujardin, acteur français, se prête à cette comédie grotesque et humiliante. )
” Lutter contre l’état est le SEUL moyen de lutter contre les oligarques ! “
Simplement grotesque… L’état n’est qu’un outil.
” Ça ne change que marginalement ; la dette est surtout due au déficit, inhérent au socialisme - même si la finance internationale pousse d’autant plus au déficit qu’elle en récupère les intérêts, raison pour laquelle les électeurs de gauche sont les idiots utiles de la finance internationale. “
Les idiots utiles de la fiance internationale se trouvent autant à gauche que chez les libéraux de votre genre. A vous deux, vous constituez l’Alpha et l’Oméga, les deux faces d’une même pièce.
Notre endettement, à plus de 90 % , ce sont les intérêts de la dette privée.
Victor Franco
15/02/2012
Je ne suis pas sur de comprendre pourquoi vous n’utilisez pas le mot Israel pour nommé ce que vous appelez l’entité sioniste ?
La seule fois ou vous utilisez le mot Israel c’est pour dire que ce n’est pas un pays mais une armée.
Que doit-on en conclure ? Qu’ Israel n’est pas un pays (légitime) ?
Daniel
15/02/2012
> Vous n’avez pas défini ce qu’est l’état. Pourtant, vous l’accusez de tous les maux ... L’état est constitué d’hommes. Donnez-nous donc des noms ...
Disons que c’est la collusion de tous ceux qui, polytocards, ponctionnaires et électeurs, s’imaginent pouvoir vivre aux dépens des autres grâce à cet intermédiaire, ne voyant pas qu’il ne crée pas de richesse, mais au contraire en détruit en tendance autant qu’il impose :
http://www.quebecoislibre.org/04/040221-11.htm
> La fin de l’étalon or est d’abord, et avant toutes autres choses, une conséquence (et non une cause) de l’expansion monétaire des USA.
Bien sûr, mais il y a une boucle de rétroaction : l’état US ayant déjà trop dépensé se met dans la main de la bancaille (1913), puis, ayant encore plus dépensé, quitte l’étalon or, ce que Ron Paul considére, comme tout bon libertarien, comme un aveu de faillite.
> Quand ils ont ouverts de lignes de crédits au Nations d’Europe après la seconde guerre mondiale, ils ont prêté de l’argent qu’ils n’avaient pas. Ils ont crée de l’argent à partir de rien ( c.a.d, sans posséder l’équivalent en or , ce qui revenait à mettre les Nations et les peuples d’Europe en servage.)
Parce que les gouvernements (et non les peuples) l’ont accepté !
Dans le contexte de la guerre froide, difficile de faire autrement. L’erreur était d’entrer en guerre en 1939 (guerre décidée d’ailleurs par le gouvernement sans passer bien sûr par le peuple par un referendum, ni même par ses “représentants”, les députés).
> La fin de l’étalon or n’est que (...) l’ escroquerie monumentale qu’était devenu le dollar depuis sa privatisation.
Pas depuis sa privatisation, mais depuis le surcroît de dépenses dû à la guerre civile (qui a entraîné la privatisation).
> Bien sûr, la fin de l’étalon or accélérera la croissance de la masse monétaire et de l’inflation qui en découlera. Mais avant tout cela, il y a la privatisation de la monnaie américaine via la FED , en 1913.
Mais avant la privatisation de la monnaie, il y a la volonté étatique US de dépenser au-delà de ses recettes !
Il n’y a pas d’un côté la racaille financière internationale et de l’autre un état blanc comme neige, mais un conglomérat putride d’une finance qui veut de la dette et un état contrôlé par des politiciens aux mains de cette même finance qui emprunte.
C’est pour ça qu’il faut le moins d’état possible, car nous ne pourrons pas renverser le système qui contrôle tous les médias - mais dont on peut espérer qu’il va s’écrouler sous ses propres contradictions, un peu comme l’URSS.
> De Gaulle et le gouvernement provisoire de la république française se sont opposés à cette mise en servage une première fois. Cela vaudra à De Gaulle les foudres des banquiers internationaux et plusieurs attentats.
Et au général Leclerc de se faire tuer, probablement…
> Encore aujourd’hui, ils n’ont pas digéré la résistance gaullienne et ils ne se privent pas de ternir l’image de De Gaulle par l’intermédiaire d’Hollywood. (A.Dujardin, acteur français, se prête à cette comédie grotesque et humiliante.)
Et l’histrion en chef de nous envoyer casser la Lybie pour le plus grand bien d’Israël…
> L’état n’est qu’un outil.
Quel aveu !
Chacun veut mettre l’état à son service, les polytocards trop contents de se faire de la clientèle dépensent en nous endettant et on se retrouve dans la situation de la Grèce !
Non, l’état est une protection contre l’étranger éventuellement agressif et une instance de contrôle à l’intérieur ; rien de plus, d’où sa légitimité uniquement régalienne (diplomatie, armée, flicaille et jugeaille).
> Les idiots utiles de la finance internationale se trouvent autant à gauche que chez les libéraux de votre genre.
Pouvez-vous m’expliquer en quoi ?
Les libéraux “dans mon genre”, les minarchistes, veulent zéro dette et une monnaie non manipulable ; nous ne POUVONS simplement pas être responsable de la dette !
Veuillez noter qu’un “libéral” comme Giscard est tout sauf un libéral (mais avancé sur le chemin de la déchéance, ça oui), lui qui a fait tomber la France dans le socialisme suivant ses propres critères.
> Notre endettement, à plus de 90 % , ce sont les intérêts de la dette privée.
Peu importe le pourcentage, l’endettement résulte de la dépense supérieure aux recettes, donc de la volonté étatique, poussée par les électeurs qui veulent instrumentaliser l’état au nom de leurs lubies diverses (vol des riches pour la CGT, puissance de la France pour J.-P. Baquiast, avoir de l’argent quand on n’est pas capable de retenir un homme pour les féministes…).
Il n’y a AUCUNE raison d’avoir quelque dette que ce soit dans un pays qui n’est pas en guerre, n’a pas à remettre à niveau une partie du pays comme l’Allemagne ou se remettre d’un tsunami comme le Japon ; la dette c’est vivre aux crochets de ses enfants, alors qu’on n’entend parler que de de développement durable et d’emprunter la Terre à ses enfants !
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier