Jean-Paul Baquiast
30/12/2009
Je répète ici, excusez moi, le post que j’avais proposé en réaction à un autre de vos articles. Il s’impose encore plus particulièrement, me semble-t-il
Un 11 septembre avorté
Les mauvaises langues, dont nous ne sommes pas, verraient dans l’étrange scénario de l’attentat manqué du 27 décembre sur l’avion des Northwest Airlines une répétition (elle-même manquée) des attentats du 11 septembre. Mais les auteurs n’en seraient pas ceux que l’on désigne.
Dans les deux cas, les services de renseignements américains avaient été prévenus d’un risque sérieux d’attentat. Dans les deux cas, ils n’ont rien fait pour l’empêcher. Si l’attentat avait réussi, ce qu’il a failli faire à une seule petite seconde près, il aurait plongé le brave « Occident » dans la terreur et le chaos que l’on devine. On peut imaginer les mesures de guerre que Barack Obama aurait alors déclenché : envahir le Nigéria aux riches ressources pétrolières…ou le Yemen aux vastes étendues sableuses mais néanmoins stratégiques ?
Mais l’attentat n’a pas réussi, de la faute (si l’on peut dire) d’un brave citoyen néerlandais qui s’est précipité, tout seul, pour éteindre le début d’incendie. C’était le couac inattendu dans un scénario qui pouvait se dérouler sans heurts. Honneur à lui, mais il ne doit pas être en odeur de sainteté au sein de certaines officines américanistes…
Mais encore une fois, ce qui précède n’est que le fruit des supputations de mauvaises langues dont nous ne sommes pas. Al Quaïda est sans doute encore le grand coupable.
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