Thierry Videlaine
21/12/2014
Ce monsieur ne semble pas réaliser ce qu’il écrit.
François Jéru
21/12/2014
intégral et en langue française
Laurent Demaret
21/12/2014
Ah, le internet, la mise en commun ...
http://www.voltairenet.org/article186243.html
Viva Cuba, libre.
PS : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anglicisme
“On parle dans certains cas de calque, c’est-à-dire d’une traduction mot à mot d’une tournure ou d’un sens n’existant pas dans la langue d’origine : réaliser au sens de « prendre conscience » ...”
Jean-Paul Baquiast
21/12/2014
A Jéru, vous m’en demandez trop. Voyez cependant http://french.ruvr.ru/2014_12_21/Grande-conference-de-presse-de-Poutine-les-principaux-points-7475/7
A Videlaine: argumentez svp, je pourrai vous répondre
Aruna Baoro
21/12/2014
C’est dommage qu’il y ait eu un bug sur le Saker français, l’article de Baquiast a été le plus vilipendé de l’année. D’ailleurs il est possible que l’article ait fait augmenter brutalement le trafic et entraîné le bug du site. (C’est de l’humour… mais j’ai encore un doute)
Jean-Paul Baquiast
22/12/2014
A Aruna Baoro
Je pense que les nombreuses (n’exagérons pas quand même le nombre) réactions à la version de mon article publiée sur le site du Saker.fr montrent que le sujet est aujourd’hui d’actualité. Par ailleurs ces réactions ne sont pas toutes défavorables, au contraire.
Cependant, sur le fond, je ne souhaite pour ma part qu’être remis dans une perspective optimiste. C’est pourquoi je lis tous les jours Dedefensa, et les références qu’il cite, lesquelles montrent qu’en fait l’Empire n’est pas si assuré d’un bel avenir qu’il le dit.
Cependant, n’est pas Dedefensa qui veut. J’ai du ainsi constater que ceux ayant critiqué mon article l’ont fait sur le ton de l’imprécation, sans apporter d’éléments de discussion sérieux. Comme vous-même venez de le faire d’ailleurs.
Alexis Toulet
22/12/2014
1. Trompettes triomphales d’un côté, sang-froid de l’autre
Non seulement la puissance américaine, mais encore tout un commentariat - pour ne pas parler du lumpencommentariat - opine que les difficultés du rouble sont le signe non seulement de l’efficacité des instruments de guerre économique mis en oeuvre par les Etats-Unis, mais encore de l’écroulement des rêves de puissance du président Poutine, prélude peut-être à l’effondrement de l’économie russe, en tout cas à la défaite de Moscou punissant justement les écarts de conduite commis en Ukraine. Et pour qui se prenait la Russie à ne pas capituler sur la défense de ses intérêts, quand l’Hégémon lui-même a parlé ?
On pourra lire un exemple remarquable de ce genre d’analyse sous la plume d’Ambrose Evans-Pritchard, toujours aussi bien informé, mais dont la sérénité d’analyse habituelle semble comme obscurcie par les circonstances politiques de l’affrontement. Voir “La semaine où le barrage a cédé en Russie, mettant fin aux rêves de Poutine” http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11305146/The-week-the-dam-broke-in-Russia-and-ended-Putins-dreams.html
Certes, un taux de change qui perd brutalement 30 ou 40%, c’est impressionnant. Et la réaction annoncée par Poutine peut apparaître modérée, donc insuffisante devant la gravité de l’heure : augmentation du taux directeur de la banque centrale, préservation des réserves de change, appel à rapatrier leurs bénéfices adressé aux Russes les plus riches. Mais où sont les contrôle des changes, répudiation des dettes aux institutions appliquant les sanctions financières illégales, passage au rouble voire à l’or pour le commerce de matières premières, chasse aux sorcières contre les plus libéraux du gouvernement ? Pourquoi tant de sang-froid, enfin ?
Peut-être tout d’abord parce que c’est dans la manière du président russe.
Parce que cela s’accorde bien avec un affrontement que la direction russe estime devoir être de longue haleine.
Parce que c’est cohérent avec la politique suivie jusqu’ici dans la crise ukrainienne, de ne rien céder aux intérêts fondamentaux de la Russie mais de ne jamais aller trop loin, bien au contraire de choisir semble-t-il systématiquement la réaction minimale compatible avec la défense des intérêts russes. Ceci afin sans doute de donner une chance, voire plusieurs, aux plus modérés d’ “en face”, également afin d’apparaître comme celui qui est en permanence prêt à l’accalmie et au compromis et ne réagit que contraint et forcé car il reçoit rebuffade sur rebuffade. Et le public visé est le Monde, car le soutien des puissances non occidentales, qui n’ont guère d’intérêt dans le fond de la querelle ukrainienne, n’est probablement accordé à la Russie qu’autant qu’elle se montre le plus responsable des adversaires, celui qui recherche la stabilité qui a les suffrages de toutes les puissances émergentes car elle est une condition de leurs progrès. Stabilité qui au contraire n’intéresse guère Washington… et pour précisément la même raison. Et Moscou a intérêt à ce que le contraste entre elle et Washington sur ce point soit aussi criant que possible.
Et enfin pour une raison toute simple : c’est que la situation de l’économie russe n’est pas si grave que cela !
2. L’économie russe, le gros dos et la robustesse sous l’orage
La vulnérabilité principale de l’économie russe est celle de la dette extérieure libellée en dollar et en euro des entreprises russes - de l’ordre de 700 milliards de dollars. Plus précisément du refinancement progressif de la partie de cette dette qui arrive à échéance. Sachant que ce refinancement est bloqué par les sanctions américaines qui reviennent à interdire à toutes les banques dans le monde entier d’y participer, sous peine de voir attaquées leurs activités aux Etats-Unis. Tel est l’instrument de guerre économique décrit notamment par Evans-Pritchard dans le texte cité plus haut, celui qui doit permettre dans les mots de l’un de ses créateurs de “mettre des pays entiers à genoux, sans tirer un seul coup de feu”.
Il est permis de faire l’hypothèse que la Russie sera dans l’obligation de mobiliser ses réserves pour pallier aux banques internationales refusant de refinancer les dettes en dollar et euro. Ce qui reviendrait à utiliser ces réserves pour financer l’économie du pays. Ce qui est possible y compris à long terme étant donné que la Russie continuera à moyen / long terme à avoir une balance des paiements excédentaires du fait de ses exportations de pétrole et gaz et du fait de la remontée du prix du pétrole à court / moyen terme. Une condition : que tous les capitaux ne sortent pas du pays, d’où la nécessité soit d’établir des contrôles de capitaux ce que refusait Poutine dans son discours la semaine dernière - c’est que le président russe est un libéral, il ne faut pas l’oublier - soit de stabiliser la monnaie… d’où la remontée brutale des taux d’intérêt, évidemment.
La Federal Bank avait appliqué une stratégie similaire en 1980/81 sous la direction de Paul Volcker - les taux grimpant jusqu’à 20% ! - aboutissant effectivement à maîtriser les attentes d’inflation, l’inflation elle-même et à faire remonter - grandement - la valeur du dollar. Au prix d’une récession assez prononcée en 1982, qui n’empêcha pas le Great Communicator, alias président Reagan, de célébrer dès ce moment le grand “retour de l’Amérique” (qui en réalité n’était bien sûr jamais partie !) dans un contexte d’exacerbation de la fierté nationale et du danger posé par un ennemi extérieur diabolisé (l’Union soviétique en l’occurrence).
Toute ressemblance avec la stratégique de communication déjà bien affirmée et promise à être encore développée dans les mois à venir par un certain ancien agent du KGB nommé Vladimir… ne devrait pas surprendre outre mesure. L’Union soviétique moderne ayant pour capitale… eh oui, Washington !
La Russie peut adopter cette stratégie puisque à la différence des pays occidentaux, notamment - surtout - les Etats-Unis, sa dette publique est très faible - 15% du PIB, à comparer à 80% en Allemagne, 90 à 100% en France et au Royaume-Unie, 130% aux Etats-Unis, 140% en Italie… - si bien que le fort renchérissement du coût du refinancement de cette dette du fait de l’augmentation brutale des taux d’intérêt ne menace pas la solvabilité de l’Etat.
Le gouvernement russe semble d’ailleurs de plus envisager une baisse des dépenses publiques de façon à limiter le passage dans le rouge des finances publiques… pendant qu’en Occident les finances publiques sont entre le rouge et l’écarlate suivant les pays, et ce depuis de nombreuses années. A côté de Vladimir Poutine, Angela Merkel apparaît bien comme une irresponsable dépensière…
3. Quelques chiffres, un petit scénario Khodorkovski et un minuscule détail pékinois
- La remontée des taux d’intérêt permet de lutter contre la chute de la monnaie sans perdre les réserves. Il faut noter aussi qu’un taux d’intérêt élevé récompense petit à petit ceux qui laissent longtemps leurs fonds en roubles, tandis que dépenser les réserves récompenserait rapidement ceux qui se séparent de fonds en roubles…
- Le total des remboursements prévus en 2015 d’entreprises et banques russes en direction de l’étranger est de 125 milliards de dollars. Une partie en sera probablement prise en charge par la Banque centrale russe, achetant des obligations des banques et entreprises les plus vulnérables. Ce qui certes diminuera les 416 milliards de dollars auxquelles sont rendues les réserves en devise étrangère, après les 80 milliards brûlés en vain pour défendre la monnaie jusqu’à mi-décembre et aboutissant en fait dans les poches de spéculateurs.
- Certes le niveau des réserves diminuera à court terme, mais elles seront renflouées à court / moyen terme lors de la remontée du prix du pétrole - et sans oublier que le prix du gaz, étant fixé dans des contrats pluriannuels, ne diminue pas lui ! Remontée qui ne peut pas tarder des années… il est d’ailleurs à remarquer que le prix moyen du pétrole en 2014 restera au-dessus de 100 $ car la baisse est arrivée surtout en fin d’année. Le prix moyen du pétrole en 2015 lui… n’est pas prévisible :)
- A noter également qu’une partie de la dette extérieure des entreprises et banques russes est due à des institutions étrangères… dans les mains de riches Russes. Montages fiscaux et autres délices… D’où l’appel de Poutine à un rapatriement des fonds à l’étranger et la mise en place d’une amnistie totale à cet effet. Si cet appel réussit même en partie, surtout aux prix bradés auxquels se retrouvera l’économie russe du point de vue d’un détenteur de dollars et d’euros… la dette extérieure des entreprises russes diminuera mécaniquement, diminuant la charge de cette dette.
- Y aura t il réticence de la part de trop d’oligarques à choisir la voix de la Mère Patrie quant à leur conscience, et la voie de la Mère Patrie pour ce qui est de leurs capitaux ? Peut-être… mais dans ce cas, il est permis d’imaginer un scénario Khodorkovski - bis. Car lorsque l’oligarque du même nom s’est brutalement trouvé embastillé c’était bien à cause de menues peccadilles consistant à planifier la prise de contrôle des ressources en pétrole russes par des intérêts étrangers, et le coup porté à un seul d’entre eux a bien suffi à enseigner aux autres oligarques la règle définie par le Kremlin “enrichissez-vous, mais ne vous mêlez de rien de stratégique ni de politique”.
Si le rapatriement des capitaux russes placés en dollars et en euros à l’étranger devenait indispensable à l’économie russe - ce qui n’est probablement pas le cas du moins pas encore - il n’y a guère de raison de douter que Vladimir Poutine saurait définir une nouvelle règle pour les 110 personnes qui possèdent 35% du patrimoine russe, par exemple “enrichissez-vous, mais en Russie s’il vous plaît”. Et surtout à trouver des arguments convaincants pour les éventuels sceptiques.
- Naturellement la position de la Chine doit être citée, exprimée par son ministre des affaires étrangères Wang Li, comme nous le signalait Philippe Grasset pas plus tard qu’aujourd’hui. Car s’il y a bien des raisons de s’attendre à ce que la “capacité” et la “sagesse” de la Russie - dixit Monsieur Li - soient largement suffisantes à résister à la tempête financière pourtant la plus puissante que puisse déclencher Washington, Pékin tient à lever tout doute résiduel qui pourrait subsister : la Chine aidera la Russie si besoin est.
C’est que la Chine aussi est puissance indépendante, et de calibre économique et de solidité politique suffisante pour se moquer éperdument de tout interdit américain sur le refinancement des entreprises et banques russes, qui fait si peur aux Européens prompts à payer des milliards pour le pardon de toute faute passée - voir la lamentable affaire BNP.
Refinancer une banque ou une entreprise russe, c’est en réalité une opération rentable ! C’est bien pourquoi la Russie n’avait aucun problème sur ce plan avant que la politique de Washington ne s’en mêle. Alors si la Chine participe à l’avenir à ce refinancement, l’opération ne lui coûtera rien et aura de nombreux avantages :
- Solidifier la relation avec Moscou qui deviendrait son obligée
- Envoyer un message fort à Washington comme quoi la politique financière chinoise n’est pas décidée par l’Amérique
- Affermir la Russie et l’encourager dans sa politique, non seulement d’aider la Chine de plusieurs manières - gaz à prix d’ami, défense antiaérienne dernier cri - mais aussi de jouer le rôle d’un éclaireur avancé contre le système monétaire et financier dominant - privilège exorbitant du dollar, rôle central du FMI contrôlé par les Occidentaux au premier chef Washington. Troupe de cavalerie légère qui harcèle l’adversaire et fixe son attention en permettant au gros des troupes d’avancer discrètement.
Pékin l’a affirmé publiquement, “fort et clair” : la cavalerie légère est vaillante, mais elle n’est pas seule. Les gros sont là, et ne permettront pas qu’elle soit mise en difficulté.
D.M.
23/12/2014
Bien sûr que l’Empire triomphe.
Où est l’opposition? Existe t-il une opposition organisée? J’entends: opérationnelle?
Si l’opposition, c’est d’allumer son ordinateur pour lire un texte, même un texte sur un site de haute qualité comme dedefensa, même un texte qui exprime des vérités, doit-on croire sur cette base - dérisoire - que l’Empire recule? Au contraire: quel aveu d’impuissance. Y a t-il plus grande impuissance, si nous ne pouvons rien faire d’autre?
Oui, l’infrastructure du bloc BAO se fissure. Oui la civilisation s’écroule. Mais qui conteste l’hégémonie de l’Empire? Le rapport de force entre l’Empire et l’Homme devient au contraire chaque jour plus grand. Ce n’est pas la situation de l’Empire qui se dégrade, c’est la nôtre. A tous.
Au reste, n’est-ce pas la ligne éditoriale de dedefensa? N’est-il pas entendu que rien ne peut détruire l’Empire, que lui-même, par quelque retournement de sa force, par le processus que l’on prétend être, ici, “dde”?
Chacun voudrait voir la Russie triompher, mais le pourra t-elle? Les sanctions économiques se feront bientôt durement sentir; le peuple russe va souffrir.
Ce n’est pas parce que tout s’écroule autour de nous, ce n’est pas parce qu’un pays est ruiné que ses milieux dirigeants ont un pouvoir moins grand; souvent, c’est tout le contraire!
Hier était préférable à aujourd’hui, et aujourd’hui est préférable à demain. Oui, c’est le triomphe de l’Empire…
dominique
23/12/2014
Merci de remettre les choses à leur place.
M. Baquiat qui se flatte d’être attaqué sur le Saker, preuve selon lui de sa qualité sur le modèle (en tout petit) de l’Occident qui prétend que la découverte de ses turpitudes est le signe de son excellence, est un genre de “BHL de la dissidence”. Il tient sa “renommée” des mêmes causes à mon sens: réseaux et plagiat. Il s’inspire, pour ne pas dire copie, de ce qui se dit dans la dissidence et il nous fait un article “percutant” avec tous les ingrédients appropriés à sa renommée…
Il n’a rien à voir avec le Saker et P. Grasset qui pensent par eux-mêmes mais il se colle à eux car il a bien repéré leur excellence, (tout comme BHL sait qui sont les leaders) et il se colle à eux sans doute grâce à ses relations pour essayer de leur “voler” un peu de leur prestige…
Et si on dit ce que je viens de dire, en somme qu’il est un arriviste de bas étage, il répond que ce n’est pas un argument, comme les gens de mauvaise fois rétorquent à ceux qui dénoncent une croyance, que ce n’est pas un argument, évidemment puisqu’une croyance comme je l’ai lu qque par (moi, je cite mes sources!) ne se démonte pas avec des arguments, elle se donne à voir.
Et ce n’est pas étonnant qu’il suscite la colère tout comme BHL la suscite, c’est le sentiment que génère généralement les faux-culs chez leurs concitoyens furieux qu’on essaie de les entuber.
marc gébelin
23/12/2014
Monsieur Videlaine ne comprend pas. Ça peut arriver, rien de grave. Philippe Grasset lui comprend et nous informe froidement, tient ses émotions en réserve. On len remercie. Le moral des armées est capital. Mr. Baquiast nous communique une angoisse toute maternelle. « Maternelle » dans le sens où les pauvres consommateurs que nous sommes de denrées et de pensées main stream, ont peur de manquer du nécessaire. Javais déjà plusieurs fois remarqué ce « défaitisme » dans ses articles par ailleurs très clairs et convaincants. Mais peut-être a-t-il raison.
Mr Toulet nous réconforte avec des chiffres, un raisonnement plutôt bien mené pour moi qui ne suis pas spécialiste des choses économiques je crois avoir compris que tout nest pas perdu mais
Dautres, ou dAutres encore, entre les lignes, sefforcent de rassembler les énergies du désespoir et comme nous sommes sevrés despérance depuis déjà pas mal de temps, cela devrait être faisable. Enfin, chers “dedefensistes”, cest pas le moment de flancher, sursum corda, que diable !
Pour finir mon petit billet, jose me montrer « métahistorique ». Prions la métahistoire qui nous tient pour peu de choses, nous les hommes. Nos destins à tous, sont dans des mains inconnues.
Prions, cest tout ce qui nous reste à faire tout en sexcusant auprès des laïques endurcis, des athées conséquents.
Prions pour que Mr Poutine soit bien inspiré, quil garde son calme pour trouver la faille, les failles qui sélargissent en même temps que les menaces. Par exemple quil laisse se positionner quelques sous-marins nucléaires stratégiques et dattaque là où ils seraient utiles.
Prions pour que notre président poire fasse dans son froc à la menace dune vraie guerre celle-là, pas un exercice malien (ça devrait être facile car les poltrons sont courageux quand ils ne courent aucun risque).
Prions que la Merkel, dans son intelligence de bovin couplée à sa haine de lex DDR, finisse par être enfin contrée par des ministres plus intelligents quelle (sils existent), que le patronat allemand soit toujours désireux de faire des affaires et pas la guerre.
(Prier pour Cameron serait superflu, son entendement british est hors de portée
)
Prions pour que quelques voix dEurope centrale moins abruties que celles des Polonais ou des Baltes (qui sait!) se fassent entendre, tapent sur la table, les Hongrois par exemple, ces fascistes notoires
Bref, serrez les fesses mes frères nous entrons de façon visible dans la zone des tempêtes. Ne laissez pas trop dargent sur vos comptes en banque, le coup de Chypre pourrait bien se reproduire, mais gardez le moral. Malgré la victoire de lempire selon Mr Baquiast, les lendemains vont chanter, inscrivez-vous sans tarder à la chorale de votre quartier, apprenez des chants russes, par exemple un Noël Ukrainien
prosim tiébié Tzariou nébésnyi vladariou, vers toi notre Père montent nos prières
Olivier Riche
25/12/2014
J’apprécie votre note et j’ajouterais : gardons le lien avec la terre (un bon potager à porté de main) et ce lien spirituel (le sens de la vie).
Merci à l’équipe de Dedefensa! Souhaitant une belle santé à Philippe Grasset.
Ouaille
26/12/2014
Sur Lugan, cest étonnant comme il est vigoureux. Ses analyses raciales sur le Rwanda me semblaient enterrées depuis longtemps. Je ne le classerais pas forcément dans les souverainistes, mais dans lextrême droite colonialiste un peu rance. Par ailleurs, renseignement pris, sa participation au TIPR semble davoir été dêtre cité par la défense dun génocidaire.
Frederic Dedieu
26/12/2014
pour Lugan effectivement il est souvent classé à l’extrême droite par une partie de ses detracteurs, mais bon j’ai tendance à ne pas forcement ostracisé quelqu’un à cause d’une categorisation que la doxa mediatique souhaite faire pour vous disqualifier. Il est vraiment interessant malgré son côté un peu “rance” tres Action Française ou Versaillais. Et pour le TIPR effectivement il fut appeler par la defense mais ça lui a permis d’avoir accés à un tres grand nombre de docs…Et c’est malgré tout un africaniste reconnu.
Ouaille
26/12/2014
Je comptais arrêter là, mais j’ai vu passer ce lien peu après le message précédent : ça concerne une revue critique par Dupaquier d’une co-intervention récente de Lugan, Hogard et Lafourcade.
http://afrikarabia.com/wordpress/genocide-des-tutsi-du-rwanda-le-sottisier-des-extremistes-francais/
François Jéru
27/12/2014
En ref. 2014, le 19 décembre bernardlugan.blogspot.fr/
Pourquoi François Hollande a t-il décidé d’abandonner la Centrafrique à la Séléka ?
Laurent Demaret
02/01/2015
De la situation en Ukraine et des différents acteurs impliqués, une lecture sur le site zerohedge.com
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-31/guest-post-2014-russian-viewpoint
Heureusement M Hollande, pendant ses voeux nous a déclaré
“La France, cest une diplomatie active, qui cherche inlassablement la solution à des conflits comme en Ukraine où je me suis impliqué personnellement”.
Nul doute que la France, son président, son fringant ministre des Affaires Étrangères, sauront trouver la solution au problème que la France, son président, son fringant ministre ont (pourtant) contribué à créer au côté de leur éternel, et puissant, allié.
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