Jean-Paul Baquiast
31/05/2010
On peut s’apercevoir, en lisant cet article de mise en garde, que ceux prétendant faire activité de chroniqueur, moi le premier, nous sommes dorénavant toujours en retard sur un évènement, je dirais anthropotechnique, qui ne cesse d’accélérer son rythme.
eric b
01/06/2010
La baisse de popularité, c’est bon pour les journalistes “pravda”.
Ce qui compte, c’est comment BHO va pouvoir utiliser cette catastrophe pour faire évoluer les choses.
voir ce post ” à propos de gorby “
http://www.dedefensa.org/forum-l_homme_face_au_systeme_en_crise_13_10_2008.html
geo
01/06/2010
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Il importe de guetter linstant où, dans les catastrophes en série quils provoquent sans jamais en tirer la moindre leçon, y compris pour leurs propres avantages, lune delles sortira des effets qui permettront de mieux armer la critique impitoyable qui doit être portée contre eux et qui influencera décisivement les psychologies. Il importe den profiter, sans vergogne ni la moindre hésitation.
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Il faut admettre que cette histoire de plateforme est plus favorable à un tel projet que la catastrophe de Tchernobyl, qui na servi quà ridiculiser la compétence de la section soviétique de notre monde. Cette fois cest lAngleterre et lAmérique, mère de toutes les compétences, qui ne savent pas faire face. Si on en vient à la bombe nucléaire comme technique de réparation, un gouffre de discrédit souvrira sous les pieds des rêveurs de technique parfaite.
Seule la vilaine image de l’URSS avait permis d’esquiver ce vertige à l’époque.
Francis Lambert
02/06/2010
Golfe du Mexique : en 1979, il a fallu 9 mois pour maitriser la fuite de pétrole après lexplosion dun forage par 50 mètres de fond
http://en.wikipedia.org/wiki/Ixtoc_I_oil_spill
via http://contreinfo.info/
Ixtoc I was an exploratory oil well being drilled by the semi-submersible platform Sedco 135F in the Bay of Campeche of the Gulf of Mexico, about 100 km (62 mi) northwest of Ciudad del Carmen, Campeche in waters 50 m (160 ft) deep On 3 June 1979, the well suffered a blowout resulting in the third largest oil spill and the second largest accidental spill in history.
NB: bientôt la saison des cyclones dans le Golfe,
alors BP signifiera vraiment pour chaque américain “Bullshit Pollution”.
Et bientôt BP = ENRON = 0$ en bourse = x billions £ de charges pour ... les contribuables britanniques !
Alors qu’ils ont déjà bêtement gaspillé à toute allure leur propre cadeau pétrolier de la Mer du Nord ...
et que Brown a aussi liquidé à un prix ridicule tout l’Or du trésor ... quand tout allait bien (ils appellent ça un “Ministre des Finances” là bas),
et qu’ils ont la pire dette “Souveraine” (notée AAA par Murdoch, l’actionnaire de l’agence de Notation Standard & Poors, comme par hasard ...)
Mais bon ... il suffira au SUN (du même Murdoch) de dire que c’est la faute de l’europe, comme d’habitude.
Evidemment Obama attend que les oligarques de BP & Co (Co étant les copains du style Murdoch) se mettent le plus possible à l’abri dans des paradis (loin des Caraïbes) avant de saisir ce qui reste de ce qui fut une “société impériale globale” ... et de se retourner contre ces idiots de contribuables britanniques.
Obama et le Congrès utiliseront ils les lois anti-terroristes contre eux, par ailleurs leur ancien colonisateur (à l’exemple des Britanniques contre l’Islande alors que ce préjudice était financièrement moins grave et dans la pratique du “free trade” défendu par la City de Londres avec ses pairs banquiers Islandais) ?
Et ce n’est pas fini :
sur cette lancée les britanniques peuvent s’attendre à pire, rater la finale du mondial de football !
Lisez le SUN bon dieu !
Père Iclès
02/06/2010
Il est clair que personne ne sait comment régler le problème. Par ailleurs, si les militaires s’en occupent, ce sera à la Mac Arthur, en tentant d’utiliser le couteau suisse du militaire US qui ne sait pas résoudre un problème, en l’occurrence une bonne petite explosion atomique forcément vite improvisée, parce que l’opinion publique s’impatiente.
Si cela a lieu qui peut prédire les conséquences ?
Imaginons que l’explosion libère des milliers de tonnes de vapeurs d’hydrocarbures chargées de produits de fission radio-actifs qui s’en iraient vers la surface et peut-être l’atmosphère poser un problème autrement plus aigu et global que celui d’une fuite de pétrole. Imaginons que le nuage formé dérive vers le nord-ouest, porté par les alizés… Imaginons un Tchernobyl bis. Que ferait alors le géant US ?
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