Jean-Claude HENRY
08/01/2011
Le PNB américain est inférieur de 30 % aux chiffres officiels !
voir http://www.leap2020.eu/Le-PNB-reel-US-est-inferieur-aux-chiffres-officiels_a573
Il y a plusieurs années, l’économiste et démographe Emmanuel Todd écrivait dans “Après l’Empire” que les statistiques américaines n’avaient rien à envier à celles de feue l’URSS.
Vincent .
08/01/2011
A mon sens, une autre illustration de l’inhumanité de la psychologie des décideurs, ce sont les lois sur l’euthanasie pour lesquelles certains ricains, mais aussi des pays dEurope, n’ont pas hésité pas à brandir l’argument économique de ce qu’ils nomment le cout de “lacharnement” thérapeutique, pour légaliser la mise à mort.
Le système dans sa folie a produit une bureaucratie, une organisation, une dialectique, pour mettre à mort celles et ceux qui, à leur yeux, ne sont qu’un cout pour le système.
Quand on en arrive à légiférer pour mettre à mort des innocents sans que la population ne s’offusque, il y a fort à craindre pour la suite.
Parmi les pays en Europe qui ont déjà légaliser la mise à mort, on retrouve, entres autres, les Pays bas, la Belgique, la Suisse, le Grand-Duché du Luxebourg.
En France, les propositions de lois pour la mise à mort et les allusions à ce sujet reviennent périodiquement dans les médias, tels des marronniers, comme pour préparer les esprits et faire fléchir les bastions de résistance qui s’oppose farouchement depuis près de 10 ans à la mise en place de législation autorisant le meurtre.
Si vous ne l’avez pas encore fait, je vous invite à signer une pétition contre l’euthanasie et à vous organisez contre cette dérive digne d’un système totalitaire.
http://www.google.fr/search?hl=fr&source=hp&q=non+%C3%A0+l%27euthanasie&btnG=Recherche+Google
Francis Lambert
08/01/2011
There is a fascinating disconnect between the “law and order” society ceaselessly depicted on TV and the realities of the American financial system, which is now totally dependent on lies, fraud, embezzlement and misrepresentation of risk. (...)
Bernie Madoff’s Ponzi Scheme was systemically ignored despite its blatant transparency and warnings submitted to authorities. Even a financial neophyte could see that Madoff’s options bets were an order of magnitude too small to generate the vast profits he was claiming. (...)
Americans love to see street criminals and petty gangsters brough to “justice,” but we turn a blind eye to organized financial crime. Why is this so? (...)
Bringing “law and order” to Wall Street and the banking/mortgage sectors would mean indicting your pals and contributors, and bringing down the entire house of cards which has enriched and empowered you. (...)
The Power Elites of the U.S. are now dependent on an organized financial crime syndicate.
http://www.oftwominds.com/blogjan11/financial-crime01-11.html
Francis Lambert
08/01/2011
Etude de législations comparées du Senat Français 2004
http://www.senat.fr/lc/lc139/lc139.pdf
La Revue de la Médecine Générale n° 230 février 2006.
DANS LA PRATIQUE, NOUS RETIENDRONS
Concerne
Patient majeur ou mineur émancipé, conscient et capable.
Patient irréversiblement inconscient ayant rédigé préalablement une déclaration anticipée.
Conditions de labsence dinfraction
Affection incurable grave (maladie ou accident)
Souffrances physiques ou psychiques, insupportables, constantes et inapaisables.
Demande volontaire et répétée sans pression extérieure.
Procédure à suivre
Informer le patient de son état de santé et des possibilités thérapeutiques et palliatives
Sassurer de la volonté ferme et réitérée du patient (demande écrite, entretiens répétés
)
Consulter au moins un autre médecin indépendant (si le décès nest pas prévu à brève
échéance, un deuxième médecin est requis et un délai dun mois après la demande écrite
doit être respecté).
Sentretenir avec léquipe soignante si elle existe, avec les proches si telle est la volonté
du patient.
Sassurer que le patient a pu sentretenir avec les personnes souhaitées par lui.
Adresser à la Commission fédérale de contrôle et dévaluation, sous pli recommandé, la
déclaration de leuthanasie endéans les 4 jours qui suivent le décès.
Remarques
Aucun médecin nest tenu de pratiquer une euthanasie mais dans ce cas, il doit en informer le patient.
Au point de vue légal, leuthanasie est considérée comme une mort naturelle (déclaration de décès, assurances,
).
Aucune personne nest tenue de participer à une euthanasie.
http://www.ssmg.be/new/files/RMG230_60-63.pdf
Ilker de Paris
09/01/2011
Effectivement, l’utilitarisme l’emporte, ce qui est utile à la marche du système ont le droit de vivre les autres, les “inutiles” ont, de fait, de moins en moins de place.
L’économie implique une organisation (du travail, des employés etc) une économie totalitaire exige une organisation également totalitaire, c’est ce que nous vivons je pense : par le biais d’une économie hyper-organisée (pour des raisons de rendement maximum, d’un Système - système-en(ou pour)-soi)-, on crée un monde où la diversité, le non immédiatement utilitaire est vécu par le système comme gênant et donc à changer ou à exclure - c’est l’esprit, tous pareil, “blonds aux yeux bleus”..
Il y a ici un paradoxe, le monde qui a vaincu le Mal nazi, a créé un système qui, dans les affirmations, était une assurance à la non réapparition de ce Mal (“plus jamais ça”), mais qui dans les faits progresse dans le même sens que ce qu’il dit (encore) combattre - d’où le brouillage, la désorientation des repères idéologiques actuels.
La raisons profonde d’une telle situation vient peut-être de ce que nous n’avons plus confiance en l’‘être” (à la liberté humaine) et nous nous enfermons alors dans l’‘avoir”.
Un remarquable article du philosophe Egard Morin sur le site du “le Monde” met en perspective les dommages et les dangers du Système actuel (sans en donner les raisons) qui régit notre monde et nous concerne tous :
Edgar Morin : “Les nuits sont enceintes”
En 2010, la planète a continué sa course folle propulsée par le moteur aux trois visages mondialisation-occidentalisation-développement qu’alimentent science, technique, profit sans contrôle ni régulation.
L’unification techno-économique du globe se poursuit, sous l’égide d’un capitalisme financier effréné, mais elle continue à susciter en réaction des “refermetures” ethniques, nationales, religieuses, qui entraînent dislocations et conflits. Libertés et tolérances régressent, fanatismes et manichéismes progressent. La pauvreté se convertit non seulement en aisance de classe moyenne pour une partie des populations du globe, mais surtout en immenses misères reléguées en énormes bidonvilles.
L’occidentalisation du monde s’est accompagnée du déclin désormais visible de l’Occident. Trois énormes nations ont monté en puissance ; en 2010, la plus ancienne, la plus peuplée, la plus économiquement croissante, la plus exportatrice intimide les Etats d’Occident, d’Orient, du Sud au point de susciter leur crainte d’assister à la remise d’un prix Nobel à un dissident chinois emprisonné.
En 2010 également, pour une première fois, trois pays du Sud se sont concertés à l’encontre de toute influence occidentale : Turquie, Brésil et Iran ont créé ce sans précédent. La course à la croissance inhibée en Occident par la crise économique se poursuit en accéléré en Asie et au Brésil.
La mondialisation, loin de revigorer un humanisme planétaire, favorise au contraire le cosmopolitisme abstrait du business et les retours aux particularismes clos et aux nationalismes abstraits dans le sens où ils s’abstraient du destin collectif de l’humanité.
Le développement n’est pas seulement une formule standard d’occidentalisation qui ignore les singularités, solidarités, savoirs et arts de vivre des civilisations traditionnelles, mais son déchaînement techno-économique provoque une dégradation de la biosphère qui menace en retour l’humanité.
L’Occident en crise s’exporte comme solution, laquelle apporte, à terme, sa propre crise. Malheureusement, la crise du développement, la crise de la mondialisation, la crise de l’occidentalisation sont invisibles aux politiques. Ceux-ci ont mis la politique à la remorque des économistes, et continuent à voir dans la croissance la solution à tous les problèmes sociaux. La plupart des Etats obéissent aux injonctions du Fonds monétaire international (FMI), qui a d’abord partout prôné la rigueur au détriment des populations ; quelques-uns s’essaient aux incertitudes de la relance
Mais partout le pouvoir de décision est celui des marchés, c’est-à-dire de la spéculation, c’est-à-dire du capitalisme financier. Presque partout les banques, dont les spéculations ont contribué à la crise, sont sauvées et conservées. Le marché a pris la forme et la force aveugle du destin auquel on ne peut qu’obéir. La carence de la pensée partout enseignée, qui sépare et compartimente les savoirs sans pouvoir les réunir pour affronter les problèmes globaux et fondamentaux, se fait sentir plus qu’ailleurs en politique. D’où un aveuglement généralisé d’autant plus que l’on croit pouvoir disposer des avantages d’une “société de la connaissance”.
Le test décisif de l’état de régression de la planète en 2010 est l’échec de la personne la plus consciente de la complexité planétaire, la plus consciente de tous les périls que court l’humanité : Barack Obama. Sa première et modeste initiative pour amorcer une issue au problème israélo-palestinien, la demande du gel de la colonisation en Cisjordanie, s’est vu rejeter par le gouvernement Nétanyahou. La pression aux Etats-Unis des forces conservatrices, des évangélistes et d’une partie de la communauté juiver paralyse tout moyen de pression sur Israël, ne serait-ce que la suspension de l’aide technique et économique. La dégradation de la situation en Afghanistan l’empêche de trouver une solution pacifique au conflit, alors qu’il est patent qu’il n’y a pas de solution militaire. L’Irak s’est effectivement démocratisé, mais en même temps s’est à demi décomposé et subit l’effet de forces centrifuges. Obama résiste encore aux énormes pressions conjuguées d’Israël et des chefs d’Etat arabes du Moyen-Orient pour intervenir militairement en Iran. Mais la situation est devenue désespérée pour le peuple palestinien.
Tandis qu’Etats-Unis et Russie établissent en 2010 un accord pour la réduction des armes nucléaires, le souhait de dénucléarisation généralisée, unique voie de salut planétaire, perd toute consistance dans l’arrogance nucléaire de la Corée du Nord et l’élaboration probable de l’arme nucléaire en Iran. Si tout continue l’arme nucléaire sera miniaturisée, généralisée et privatisée.
Tout favorise les montées aux extrêmes y compris en Europe. L’Europe n’est pas seulement inachevée, mais ce qui semblait irréversible, comme la monnaie unique, est menacé. L’Europe, dont on pouvait espérer une renaissance de créativité, se montre stérile, passive, poussive, incapable de la moindre initiative pour le conflit israélo-palestinien comme pour le salut de la planète. Pire : des partis xénophobes et racistes qui prônent la désintégration de l’Union européenne sont en activité. Ils demeurent minoritaires, comme le fut pendant dix ans le parti nazi en Allemagne que nul dans le pays le plus cultivé d’Europe, dans le pays à la plus forte social-démocratie et au plus fort Parti communiste, n’avait imaginé qu’il puisse accéder légalement au pouvoir.
La marche vers les désastres va s’accentuer dans la décennie qui vient. A l’aveuglement de l’homo sapiens, dont la rationalité manque de complexité, se joint l’aveuglement de l’homo demens possédé par ses fureurs et ses haines.
La mort de la pieuvre totalitaire a été suivie par le formidable déchaînement de celle du fanatisme religieux et celle du capitalisme financier. Partout, les forces de dislocation et de décomposition progressent. Toutefois, les décompositions sont nécessaires aux nouvelles compositions, et un peu partout celles-ci surgissent à la base des sociétés. Partout, les forces de résistance, de régénération, d’invention, de création se multiplient, mais dispersées, sans liaison, sans organisation, sans centres, sans tête. Par contre, ce qui est administrativement organisé, hiérarchisé, centralisé est sclérosé, aveugle, souvent répressif.
L’année 2010 a fait surgir en Internet de nouvelles possibilités de résistance et de régénération. Certes, on avait vu au cours des années précédentes que le rôle d’Internet devenait de plus en plus puissant et diversifié. On avait vu qu’il devenait une force de documentation et d’information sans égale ; on avait vu qu’il amplifiait son rôle privilégié pour toutes les communications, y compris celles effectuées pour les spéculations du capitalisme financier et les communications cryptées intermafieuses ou interterroristes.
C’est en 2010 que s’est accrue sa force de démocratisation culturelle qui permet le téléchargement gratuit des musiques, romans, poésies, ce qui a conduit des Etats, dont le nôtre, à vouloir supprimer la gratuité du téléchargement, pour protéger, non seulement les droits d’auteur, mais aussi les bénéfices commerciaux des exploitants des droits d’auteur.
C’est également en 2010 que s’est manifestée une grande force de résistance informatrice et démocratisante, comme en Chine, et durant la tragique répression qui a accompagné l’élection truquée du président en Iran. Enfin, la déferlante WikiLeaks, force libertaire ou libertarienne capable de briser les secrets d’Etat de la plus grande puissance mondiale, a déclenché une guerre planétaire d’un type nouveau, guerre entre, d’une part, la liberté informationnelle sans entraves et, d’autre part, non seulement les Etats-Unis, dont les secrets ont été violés, mais un grand nombre d’Etats qui ont pourchassé les sites informants, et enfin les banques qui ont bloqué les comptes de WikiLeaks. Dans cette guerre, WikiLeaks a trouvé des alliés multiples chez certains médias de l’écrit ou de l’écran, et chez d’innombrables internautes du monde entier.
Ce qui est remarquable est que les Etats ne se préoccupent nullement de maîtriser ou au moins contrôler “le marché”, c’est-à-dire la spéculation et le capitalisme financier, mais par contre s’efforcent de juguler les forces démocratisantes et libertaires qui font la vertu d’Internet. La course a commencé entre le désespérant probable et l’improbable porteur d’espoir. Ils sont du reste inséparables : “Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve” (Friedrich Hölderlin), et l’espérance se nourrit de ce qui conduit à la désespérance.
Il y eut même, en 1940-1941, le salut à partir du désastre ; des têtes de génie sont apparues dans les désastres des nations. Churchill et de Gaulle en 1940, Staline qui, paranoïaque jusqu’aux désastres de l’Armée rouge et de l’arrivée de troupes allemandes aux portes de Moscou, devint en automne 1941 le chef lucide qui nomma Joukov pour la première contre-offensive qui libéra Moscou. C’est avec l’énergie du désespoir que les peuples de Grande-Bretagne et d’Union soviétique trouvèrent l’énergie de l’espoir. Quelles têtes pourraient surgir dans les désastres planétaires pour le salut de l’humanité ? Obama avait tout pour être une de ces têtes, mais répétons-le : les forces régressives aux Etats-Unis et dans le monde furent trop puissantes et brisèrent sa volonté en 2010.
Mais le probable n’est pas certain et souvent c’est l’inattendu qui advient. Nous pouvons appliquer à l’année 2011 le proverbe turc : “Les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra.”
Laurent Caillette
09/01/2011
Revoyons le modèle économique “idéal”. Dans les tours de verre et d’acier de quelques centres d’affaires des métropoles occidentales, une poignée de décideurs supervisent les commandes à de lointaines usines, dans le cadre d’une amélioration permanente qui inclut également la délocalisation de ces centres de décision.
La seule incertitude réside donc dans la capacité des laissés-pour-compte à endosser la culpabilité de leur situation. Pour l’instant, ça fonctionne à merveille. Le plus bel exemple : les suicides de salariés sur leur lieu de travail. Si le virtualisme est la drogue de nos élites politiques, il est tout autant le ciment de notre paix sociale.
Francis Lambert
09/01/2011
2011-01-09 les propos de Mervyn King, le gouverneur de la Banque dAngleterre, Paul Jorion
http://www.pauljorion.com/blog/?p=19899
Dans “La face cachée, révélée”, je reviendrai sur les propos de Mervyn King, en mars 2008, rapportés dans un câble diplomatique américain divulgué par WikiLeaks.
La câble révèle quil ne sagissait pas dincompétence au sommet mais de tromperie : le choix de linvestisseur contre le contribuable a été fait délibérément. Les autorités en place ont pris le parti de la petite coterie auquel elles appartiennent, contre lintérêt général. Les lobbys ont eu raison du sens de lÉtat.
Bilbo
11/01/2011
Bonjour,
le 9 novembre 2006, Nicolas Sarkozy avait résumé parfaitement la position du système dont il est un digne représentant :
“Je suis un libéral au sens où je crois à la liberté. Mais je suis également un humaniste au sens où je crois que la production de richesse doit avoir un sens. Que la morale ça compte. Que la spiritualité ça existe. Que lhomme a une destinée. Et quon ne fait pas nimporte quoi avec lhomme qui nest pas une marchandise comme les autres (tonnerre dapplaudissements)”.
http://www.marianne2.fr/Sarkozy-l-homme-n-est-pas-une-marchandise-comme-les-autres_a242.html
Pas une marchandise comme les autres, mais une marchandise quand même…
Une marchandise qui a le pouvoir de consommer d’autres marchandises et qui doit donc être protégée un minimum, mais sans oublier que “la production de richesse doit avoir un sens”...
georges dubuis
13/01/2011
Non, les juifs me font rire dans leur prétention d’avoir créer dieu et l’argent quand à sa version étatique,en tous les cas et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils assument et assurent.
Ce sionisme, héritage déchet, d’une idée d’état fort, européen, ils l’ont parfaitement intégré dans cet hybride monstrueux admiré de tous, la fameuse bête féconde, version vertueuse cette fois, mais peut être vous ne voulez pas la voire, as it is, la cosmétologie de ce monde fonctionne très bien.
Je note que vous étiez à 2 doigts d’employer le mot ANTISÉMITE, comment faites vous pour ne pas le dire ?
Le mot vous fait il peur où est il trop utilisé, trop grossier ?
Ce monde est très drôle à condition de ne pas s’en sentir responsable et Dieudonné le met parfaitement SUR scène, now.
Mr Lambert vous êtes encore un esthète, ce n’est pas moi qu’il faut regarder, c’est le monde, je ne suis rien et je le sais, moi, soyons tout.
La révolution du rire est en marche, do notice, please et faites passer le message. Avez vous ri à la 51ene minute de cette conférence d’Attila où non ?
georges dubuis
13/01/2011
Je n’ai pas lu ce livre, mais je savais bien avant le traité non/oui que l’euro et l’europe serait la vache à lait de la finance, il suffit de voir que le col de lait, crème, n’existe plus dans le lait dit entier où cru, c’est le miracle des petits pains et de l’argent quand l’eau vaut plus cher que le lait à la sortie du pis/machine.
georges dubuis
21/01/2011
Crétin où chrétien c’est la même racine, celui qui croit à tout et à chaque signe. Les élections où érections sont un gigantesque pari entre l’état “loyale” et le marché, la prochaine est déjà jouée un soulèvement massif au 1er tour pour la Farce Nationale toujours pur et la Finance Magique Internationale pleine de surprises. DSK/ MARINE un jeu de poker menteur où l’on mise pour voir. Ils sont sionistes tous les 2,les proprios de la terre sainte assurent et gardent LE dépôt originel de nos croyances, la bible atomique garde le jackpot fabuleux. GAME OVER !
pierre vaudan
21/01/2011
Un article du journal Al Akhbar fait le tour de la question du TSL.
Comme l’a déjà dénoncé George Corm (http://www.iloubnan.info/politique/interview/id/48016/titre/Le-Tribunal-spécial,-un-instrument-pour-susciter-les-tensions-à-l-intérieur-du-Liban ), il est clair que ce Tribunal est un jouet dans les mains des Américains qui courrent toujours après leur “nouveau Moyen-Orient”, au risque de déclencher une nouvelle guerre.
AL AKHBAR du 21/1/2011 (P.4)
Les calculs américains sapent les initiatives françaises
Un haut responsable français affirme que si linitiative syro-saoudienne a été écartée, cest quil y a sûrement un « plan B ». Tous les indices montrent cependant que linitiative lancée par le Président français Nicolas Sarkozy pour former un groupe de contact autour du Liban a été étouffée dans luf.
Un expert à Paris très proche du dossier libanais signale que linitiative française, qui tente de ressusciter linitiative syro-saoudienne, est rejetée par les Syriens et nintéresse pas les Américains. La réponse saoudienne se fait toujours attendre. Les Français, qui étudiaient les moyens de contenir les effets de lacte daccusation, sont sans doute très inquiets de ce qui pourrait se produire sur le terrain et ont été surpris par les développements qui on eu lieu ces deux dernières semaines, ajoute lexpert.
Lun des scénarios qui ont été proposés pour traiter la crise libanaise est la « lockerbisation » du dossier, affirme lexpert. Autrement dit, comme dans laffaire Lokerby, les accusations toucheraient trois ou quatre individus sans arriver aux « têtes pensantes ». La proposition, qui a également été présentée aux parties libanaises par le président Sleiman, a été rejetée par le Hezbollah.
Un responsable sécuritaire qui a travaillé au Moyen-Orient estime que le dossier libanais est sorti de son cadre libanais, et que les « trois demandes » (retrait des commissions rogatoires syriennes, délimitation des frontières, retrait des armes des camps palestiniens) sont désormais dépassées. Ceux qui continuent de discuter de ces demandes « risibles » selon lui, ne sont pas bien informés de ce qui se passe. Le responsable sécuritaire et lexpert précités saccordent pour dire que « tous les points libanais ont été dépassés » et que lon est désormais « dans un cadre régional large ».
Lexpert explique que le TSL est beaucoup plus important que lacte daccusation. Ce qui confirme lavis de certains observateurs : Lacte daccusation nest que le prélude de ce qui pourrait se passer dans le Tribunal. Un diplomate arabe à Paris signale que les Syriens ont informés les Français que si dans lacte daccusation, il y a la moindre possibilité daccuser la Syrie à nouveau, cela signifierait que des « parties internationales veulent garder une épée de Damoclès au dessus de la tête de la Syrie et de ses alliés au Liban ». Par conséquent, ajoute le diplomate, il ne faut pas sétonner de voir la Syrie et le Hezbollah prendre des positions « maximalistes ». Il explique que le TSL peut élargir le champ des accusations pour atteindre « des niveaux plus hauts de la pyramide de responsabilité», et qualifier le réseau d « organisme terroriste qui menace la paix mondiale ». Cela pourrait entraîner la prise de « mesures internationales » au niveau du Conseil de sécurité. Doù la difficulté de « travailler sur les répercussions de lacte daccusation », selon des observateurs , parce quon nen est plus à lacte daccusation.
Il ne faut pas croire quil y a eu un « changement soudain » dans la position américaine, estiment des observateurs : Les Etats-Unis nont jamais dit quils voulaient parer aux répercussions de lacte daccusation. Washington attendait la parution de lacte daccusation et chargeait de hauts responsables, comme Jeffrey Feltman, de ce dossier, précise lexpert précité. Puis la secrétaire dEtat Hillary Clinton est entrée en scène. Après la remise de lacte daccusation, cest le président Obama lui-même qui a rejoint la bataille. Le « plan B » évoqué par certains est donc le seul plan préparé par les Américains. Tout ce qui précédait nétait quatermoiements et temps perdu.
Des observateurs estiment que si lon voulait vraiment traiter la crise on aurait pu agir au niveau de linitiative syro-saoudienne. Lattitude américaine à légard de linitiative révèle les véritables intentions américaines. Lexpert affirme que « la moitié des Français concernés par le dossier libanais ne voient pas ce qui se passe du côté américain et ne voient pas les intentions américaines cachées ». Doù linitiative du Président Sarkozy, mort-née parce quelle na pas été adoptée par deux acteurs principaux : Damas et Washington. Toujours selon le même expert, lobjectif ultime des Américains est la « restructuration de la région ». Le TSL nest quun simple élément dans « un jeu de mécano qui ne dit pas son nom ». Lexpert ajoute quil faut sattendre à une « grande vague de violence dans la région ». Les parties naccepteraient pas de se plier sans résistance au grand forcing auquel se livrent les Etats-Unis pour contourner les obstacles qui sérigent devant eux dans la région : en Palestine, au Liban, en Irak et en Iran.
Un expert français qui a travaillé pendant des années sur le dossier libanais affirme à cet égard que « le TSL ne peut pas se débarrasser du Hezbollah. Seule une guerre régionale peut se venir à bout de la structure militaire du parti ». Il ne sétonnerait pas de voir Israël entraîner Obama dans le conflit. Obama serait ainsi effectivement un «homme de guerre », pour « gagner lestime des Américains ». Nombre de responsables américains qui travaillent sur le dossier estiment en outre que le TSL peut être utilisé comme un moyen de pression contre lIran : soit par le démantèlement du Hezbollah, soit par la rupture de lalliance syro-iranienne, qui est le premier pas vers la redéfinition de la carte régionale. Ainsi, les deux principaux alliés arabes de Washington, lEgypte et lArabie Saoudite, retrouveraient un certain poids régional.
georges dubuis
27/01/2011
Quand j’entends les tunisiens où les égyptiens parler j’entends systématiquement “si dieu le veut, grâce à dieu,dieu est avec nous” il est loin d’être mort ce NON de dieu et l’occident semble redouter cette résurrection LA, elle qui l’attend encore à Jérusalem et sa bible atomique(j’adore Dr Follamour).Cette appellation non contrôlée, non titrisée,surprenante, la boîte de pandore qui apparemment était bien fermée par un état laïc et policier. Une certaine religion serait donc imperméable à la pénétration de l’état et de la divine finance excepté par le jackpot providentiel et naturel du pétrole.
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