Bruno Hanzen
04/02/2008
Tout cela me rappelle furieusement la Campagne de France en mai 1940: l’état-major général français contrôlait tout, mais sur base d’information dépassées. Du côté allemand, par contre, on avait de l’initiative sur le champ de bataille. On connaît la suite.
Un adage sur les systèles dit que tout système tend à occuper l’entièreté de l’espace disponible. Le corollaire est qu’il s’étouffe lui-même. Il semblerait qu’on en soit là.
Thierry
07/03/2008
Bonjour,
c’est aussi à rapprocher de ce que Pierre Boulle décrivait à propos des services de l’armée britannique dans son roman “Le pont de la rivière Kwaï” : (de mémoire et sans respecter le texte qui est beaucoup plus mordant et ironique)
des informations tellement secrètes qu’elles ne pouvaient plus être mise à la dispostion des utilisateurs et qu’elles servaient au mieux à illustrer les “mémoires” des anciens cadres militaires!
cordialement
Thierry
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