Stephane
18/12/2007
Beau texte. Du DeDefensa classique. Rien a redire. C’est nickel et sans bavures. Une remarque pour appuyer le propos: 911 a ete, dans le jargon des agences de securite US, une PsyOp, une operation psychologique, dont la reussite a permis le culminement du virtualisme occidental. DeDefensa qui parle d’ere psycho politique pourrait se fendre d’un beau texte sur le role de 911 dans l’explosion jubilatoire du virtualisme. Il ne sera meme point necessaire dans ce cas de parler de l’aspect sulfureux de 911. Il ne faut pas non plus trop en demander.
Ocb
18/12/2007
pfff mais on s’en fout au final du 9/11. Le seul interet de l’evennement sont ses effets.
Et ce que ce soit une operation Americaine comme le pretendent les complotistes ou un simple couac de la part des americains.
Personnellement je les crois beaucoup trop bêtes pour reussir un aussi jolie coup.
Onegus
21/12/2007
9/11 est la clef, bien évidemment. Tout a été fait pour qu’on se foute du 11 septembre. Et ça a marché. Le mensonge fondateur de la “guerre à la terreur” est devenu un mythe quasi religieux, intouchable, qui a fait entrer l’Occident dans une ère réellement orwellienne… Exposer le “coup” du 11 septembre est à la fois un devoir moral absolu et une mission quasi impossible hors de la sphère du net, toute sortie d’un acteur de media traditionnel entraînant son excommunication instantanée. D’où ce phénomène d’auto-censure des professionnels de l’information, qui pour beaucoup savent mais que la peur fait taire. Pour le reste, tous les services de renseignement savent que le 11 septembre est une manipulation orchestrée en grande partie par leurs homologues US civils et militaires, quand aux dirigeants politiques, la plupart préfèrent sans doute ne pas savoir…
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