Jack v.
02/05/2014
C’est bien l’économie de la zone Euro qui sera victime du coup d’état organisé par les Anglo-Saxons en Ukraine. Il est plus que temps de chercher toutes les alliances possibles pour isoler l’Empire et mettre fin à ses ambitions globalistes.
Alain Vité
03/05/2014
“[...] Poutine ne serait pas là pour sortir Obama du piège mais plutôt, sil a lesprit dhumeur machiavélique, pour ly attirer.”
Jusqu’à présent, Poutine s’est montré préparé et maître de sa politique, mais en défense plutôt qu’en attaque, vis à vis des dangereux comiques que nous sommes. Vu qu’on s’en prend désormais directement à son pays, selon les mêmes méthodes sales qu’avec l’Iran mais en version hyper-accélérée, ce serait effectivement logique - la moindre des choses, même - qu’il s’en mêle pro-activement.
Possible qu’il y ait pensé dès l’été dernier, d’ailleurs, tirant les conclusions de l’affaire syrienne, et de l’état de délabrement de la maîtrise de soi occidentale.
D’une part, parce que. Non, mais sans blague.
D’autre part, justement à cause des précédents iranien, serbe, kosovar… qui donnent une idée de là où le bloc BAO veut subtilement en venir (bloc BAO et “subtilement” écrits dans la même phrase. Ce soir, on ose tout) On pourrait même supposer que la Russie a déjà plusieurs coups d’avance.
En conséquence, on peut envisager que ça ait déjà commencé avec diverses actions, pas forcément liées directement à la Russie ni forcément militaires. Par exemple, des plans concertés entre certains membres des BRICS, qui sembleraient décousus et sans rapports entre eux, en plus des actions russes qui occupent toute l’attention, et dont on ne voit pas les effets tout de suite. Par exemple, les mouvements d’or et de bonds du trésor US et certains choix économiques de ces derniers mois ont quelque chose de suspect sous ce regard, mais sans qualification suffisante dans ces domaines, difficile d’être sûr…
Ce serait drôle qu’il y ait réellement un complot, mais un vrai, un qui aille quelque part, pas un facile comme à Hollywood.
Une stratégie, on appelle ça.
Et elle aussi, elle aurait un nom profond et plein de sens, à l’Américaine, “Continuing Promise”, “Enduring Freedom”, « Provide Comfort »...
Un nom qui en jette, genre : “Quand faut y aller, faut y aller”.
Perceval78
03/05/2014
Quand on atteint le sommet du parler pour ne rien dire
Michel DELARCHE
03/05/2014
est le héros du très fameux livre “Les Raisins de la colère”, un roman de Steinbeck qui décrit la migration vers la Californie des petits paysans du Middle West ruinés par la sécheresse pendant la Grande Dépression.
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