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Merci beaucoup pour cette perspective intellectuelle très intéressante.

En pensant au Satyricon (de Pétrone, mais je ne connais que le film de Fellini), il faudrait se demander en quoi la micro-société des classes dirigeantes qui n'existent que dans les civilisations complexes étendues ne favorise pas l'apparition d'une sexualité particulière,ou au moins d'une vision de la vie exclusivement matérialiste. 

Le relâchement des moeurs a souvent été évoqué par les témoins ou les historiens de l'effondrement de civilisations du passé.  On en peut pas s'empêcher de penser à ce qui dans l'Antiquité orientale a du inspirer le passage biblique de "Sodome et Gomorrhe" (cité ici), mais il serait plus intéressant de regarder ce qu'il en a été pour des civilisations plus lointaines (les Mayas par exemple, à propos desquels il ne nous rest pas grand-chose d'utilisable historiquement).

Ce qui paraît particulièrement intéressant ici est la mention des traditions judéo-chrétiennes et cette espèce de transmutation politique et quasi religieuse qui s'opèrerait au sein de ces réseaux d'influence homosexuels, soudain invetis d'une mission (au sens religieux du terme).

Puisqu'il en est question, il me semble quand même important de signaler que Wilhelm Reich, traqué à la fois par les communistes, les nazis, et finalement liquidé par les libéraux américanistes, a longuement décrit dans "Psychologie de masse du fascisme" le contexte homosexuel dans lequel s'est développé le nazisme, celui-ci étant en outre une perversion complète d'un profond désir de restauration de l'amour naturel.
Nos contemporains, en particulier dans les pays francophones, sont "scotchés" à la narrative soixante-huitarde, selon laquelle WR siginifie libération de toutes les pulsions, ce qui est tout à fait faux.
WR n'a jamais "prôné" quelque chose d'équivalent aux slogans soixante-huitards.

On trouve sur le site http://www.franceinfo.fr/emission/le-livre-du-jour/2015-2016/christian-combaz-les-ames-douces-28-10-2015-05-16une interview de Christian Combaz  résumé du site : "On ne devient pas homosexuel; on l’est dès l’instant de sa conception. C’est ce que semblent démontrer les dernières découvertes de la génétique. Dans son nouveau livre, l’essayiste, romancier et éditorialiste du Figaro Christian Combaz a mené l’enquête. Un document qui remet en cause les préjugés et la morale.
 L'homosexualité semble vouloir se mêler aux affaires humaines de manière intime et ambiguë : d'une part elle constitue l'un des vecteurs les plus terrifiants de persécution depuis le début de l'ère chrétienne, d'autre part, elle a permis l'éveil d'une conscience qui n'est plus uniquement orientée vers la guerre et la défense du territoire pour les hommes (ou vers la procréation et les soins du foyers chez les femmes). Il s'agit de comprendre pourquoi la nature, qui ne fait jamais rien gratuitement, maintient dans l'histoire humaine un taux incompressible d'homosexuels que que soit le milieu ou la culture…"
Ainsi donc, l'homosexualité est génétique. Je n'ai pas lu le livre mais j'aimerai bien connaître le détail de ce taux incompressible. Sur lequel rien d'autre ne ferait pression sinon la génétique ?
Alors pourquoi cette extension du domaine de l' "expérience homosexuelle"... qui s'accorde très bien et qui est un des signes du confusionnisme actuel ?




 

Merci pour cette analyse qui nous amène à penser à Gainsbourg et son Nazi rock

Si l'homosexualité était biologique ce serait une affaire d'hormones (les hormones sexuelles qui réveillent la libido de l'homo ne reconnaitraient  que celles (hypothétiques bien entendu) émises par un autre male, un peu le cadenas et la clé. Or les gays utilisent les mêmes rituels amoureux - brillamment copiés - sur le couple hétérosexuel. Ce mime s'accompli avec le mariage!!!
Les critères physiques choix du partenaire (beau physique  et belle gueule)  sont les critères du couple homme/femme pour sélectionner  les meilleures individus pour la pérennité de l'espèce alors que côté reproduction le couple homo c'est… le cul-de-sac….