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1_Théorie, un peu de méthode : il ne s’agit pas ici d’afficher une quelconque croyance dans le satanisme qui conceptuellement me fait rire mais de l’aborder dans une optique purement sociologique. De rendre compte qu’il est un point de ralliement identitaire pour une partie de l’hyperclasse mondiale s’assurant ainsi les bonnes grâces du malin pour agréger encore plus de pouvoir (ou faisons semblant d’y croire). Il s’agit de l’entre-soi d’une symbolique plus ou moins cachée qu’il faut savoir décrypter mais aussi de la complicité criminelle lors d’actes répréhensibles commis en en groupe, conjuguant l’ivresse de l’impunité et la solidarité indispensable entre co-auteurs de crimes – message aux sceptiques, ce n’est pas parce que vous ignorez une information qu’elle est fausse…

2_ Pratique : vous souvenez de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Londres en 2012 où l’on voyait des lits blancs d’hôpitaux alignés, un énorme bébé auquel une infirmière faisait une injection ? Cela ne vous rappelle pas des événements plus récents ? 
Petit rappel de démonologie : afin qu’un souhait soit exaucé par le malin, la condition première de sa réussite exige que la victime soit informée du mauvais sort qui lui est destiné. Cela fait partie de cette procédure connue sous le nom de décret satanique. Macron et les ors et les pompes olympiques n’ont été qu’un rouage de ce process, il devait se faire à tout prix quel qu’en soit le retour de bâton.
Outre la déstructuration programmée des individus, des familles et finalement de la société toute entière par le levier de l’homosexualité et ses variantes (ça on savait), on a eu droit aussi à une promesse eschatologique, ce cheval blanc mécanique qui galope sur les flots : « Je vois un cheval pâle. Son cavalier s’appelle « la Mort », et le monde des morts marche derrière lui. Ils reçoivent le pouvoir sur le quart de la terre. Ainsi ils vont tuer ses habitants avec l’épée, la famine, tout ce qui apporte la mort et avec les bêtes sauvages de la terre. » Apocalypse 6:8

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