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Je suis d’accord avec la conclusion : « En résumé, on peut considérer que les mass media sont les véritables « terroristes », par l’irrationalité créée dans le traitement de l’information. Le publicitaire de la terreur l’a créé à grande échelle, tandis que son complice criminel en est incapable »,
mais certaines phrases qui précédent, comme par exemple la phrase suivante : « L’appellation “terroriste”, employée par ces derniers pour désigner les attaques otaniennes, est réfutable car au vu des moyens à disposition de leurs ennemis, cette peur est rationnelle » me semble illogique. Ne le serait-elle pas davantage si vous écriviez: « L’appellation “terroriste”, employée par ces derniers pour désigner les attaques otaniennes, est irréfutable car au vu des moyens à disposition de leurs ennemis, cette peur est rationnelle », ou alors je ne sais plus qui sont « ces derniers » de votre phrase !
Le terroristes sont bien les otaniens qui par leurs drones engendrent une terreur diffuse dans l’ensemble de la population car personne ne peut savoir où et quand ils frapperont, et cela de façon répétée et non pas unique comme c’est le cas des attentats perpétrés en occident.

Afin de compléter, si vous permettez cette remarque, je crois que votre prémisse est à moitié vraie et à moitié fausse.

” L’emploi abusif par les autorités politiques et médiatiques du qualificatif « terroriste » lui a conféré une puissance magique. “

Car la répétition tue la force de l’impact psychologique. Par habitude, puis lassitude.

Et la lassitude est déjà en nous, simple public, spectateurs du terrorisme très terrifiant de chaque broutille justifiant une nouvelle loi répressive.

Le terrorisme étant l’incarnation du Mal, de même que le nazisme et la pédophilie, et toute mesure d’appréciation ayant été balayée il en va de même de tout ce qui est actuellement interdit et surtout en passe de l’être. Il y a équivalence stricte et absolu parfait. Le terrorisme est le Mal et le Mal est le terrorisme.

Le Mal coupable/terrorisme allant du non-port du gilet jaune à vélo jusqu’à l’excès de vitesse de 1km/h, du téléchargement de musique à la consommation d’alcool, de la fessée à la “discrimination” en passant par l’absence de crédit auprès d’un organisme financier et la pensée non-conventionnelle. Tout ce qui fait la vie est encadré, surveillé, policé et interdit sous peine d’amende tant il est vrai qu’on combat le terrorisme/Mal par le procès verbal à 17€.

Or donc, le pouvoir magique du mot “terroriste” ne terrifie-t-il plus tant que ça, anéanti en substance il ne subsiste que par sa forme. De nos jours le terrorisme c’est jeter une pile usagée dans la poubelle normale.