perceval78
24/10/2016
Traduction de : le futur est presque derrière nous
Gérard Araud @GerardAraud Oct 22
Nostalgia for the far-right, utopia for the far-left, dreaming of a world which has never been or never will be, contemptuous of the reality.
Donc il avait deux testaments, l'ancien ou on aimait pas ce que Bibi Fricotin appelle contemptuously les belles tantes
et le nouveau ou on aimait pas le free trade
Le nouveau utopique n'avait rien à voir avec l'ancien nostalgique, mais pour une raison qu'on ignore totalement ceux qui se revendiquaient du nouveau ne lisaient que l'ancien. Pendant ce temps là les forces de l'extrème centre au service du Mordor, qui connaissaient le nouveau bien plus qu'on l'imagine s'acharnaient à combattre son #enseignement.
Gérard Araud @GerardAraud Oct 21
Gérard Araud Retweeted Carl Bildt
Free Trade Agreements may be the first victims offered to populism. What will follow?
Jean-Luc (Aetius) que nous aimons beaucoup se battait corps et âme contre le mordor, mais il n'était pas aidé par les forces de la nostalgie qui pour tout dire avaient un coté très granitique. Aetius savait cependant qu'il pouvait compter sur elles (les forces) car elles étaient composées de braves (entre les braves) et au moment du combat final les forces armoricaines (brest), à gauche, flanqué des forces wisigothiques (bordeaux), à droite, encadreraient les forces de l'extrème centre (les Alains) dont on avait besoin mais dont on savait qu'elles ne seraient jamais fiables ...
* théorie du fer à cheval mise en application au conseil de sécurité
Christian Feugnet
24/10/2016
J'acquiesce et ajoute un trait quelque peu cynique .
Ce jeu ( Kriegspiel atomique) n'a aucun attrait . Il se joue en quelques coup trés rapides , méme pas de suspens .
Du coup celui de Mélenchon , non plus . On y retrouve l'inspiration "sans-culotte" à la souveraineté populaire , gros enjeu riche en émotions , sauf que celui de la souveraineté , tout cours ( Europe , monnaie ,...) , n'y soit inclus . Nos "sans-culotte" n'ont pas de pantalons , c'est surement tendance mais pas drole , non plus .
Christian Feugnet
24/10/2016
Et celui des sans culottes , en particulier . On a un progrés de la gauche : elle est devenue "démocratique" . Elle ne cherche plus à couper des tétes . C'était absurde , sans adversaires , on ne peut plus jouer . Elle a oublié , ce faisant le plaisir , à le faire perdre .
Lucien Butte
24/10/2016
Prendre un responsable politique à témoin, lui glisser quelques conseils, pourquoi pas ?
Mais à condition que ce responsable soit sincère dans son combat et soucieux de l'avenir du peuple français. Et ne croyez pas que sous prétexte que sa bobine ne me revienne pas je parte à la chasse au Mélénchon. Non, non, pour moi il n'est qu'un leurre à l'identique de ce qu'il nous est donné de voir dans notre paysage politique.
Un alter-ego de Marine qui a jugé bon d'intituler son parti "Front de gauche" histoire de bien marquer son identité et ainsi de livrer un face à face des plus stériles avec le parti familial du clan Le Pen.
Il n'est pas à une pirouette prêt notre Jean-Luc, n'a-t-il pas dit en 1991, alors qu'il est sénateur socialiste de l'Essonne, que "le seul parti qui réhabilite la politique c'est le FN".
Sur la question européenne maintenant, ou notre homme parait se cambrer et proclame une autre "Europe".
Plouf, là aussi l'argument tombe à l'eau. Cette Europe que nous avons aujourd'hui, il a fait tout son possible pour qu'elle advienne, prétendant même le 9 juin 1992 au sénat que "Maastricht est un compromis de gauche". Oui, je sais, ce n'est pas facile, mais vous êtes prié de ne pas rire.
Nous remarquerons au passage que son intervention fait suite au "Non" des danois lors de leur référendum. Que ces braves danois aient malgré tout eu droit à l'UE ne semble pas beaucoup alarmer notre Mélenchon pour qui aller contre la volonté des peuples est un acte qui va de soi.
Toujours taquin JLM nous gratifie en 1992 d'un "Maastricht c'est le contrepoids politique à la libre circulation des capitaux et des marchandises". Et alors là, de deux choses l'une, soit il n'a pas lu les traités, soit il est là pour jouer sa partition et attirer le chaland dans ce vaste traquenard qu'est notre politique barnumisée.
Et que dire de l'estampille "gauche radicale" ? Se rappelle-t-on que notre homme est resté 32 ans au parti socialiste ? Le PS serait-il un parti radical ?
Peut-être que cette radicalité apparaît avec son soutient à Syriza, parti lui aussi classé comme radical par la presse système. Tellement radical Syriza qu'il suit à la lettre les directives de l'UE alors même que sont privatisés les trésors de la Grèce et que le peuple crie misère.
Mais de ça aussi, le Mélénchon "gauche radicale" s'en accomode très bien.
Autant d'arguments qui démontrent la vacuité de JLM et de son parti. Ils ne sont là que pour tromper les français.
Rappelons-nous les déclarations de 2012 qui affirmaient, avant le deuxième tour, que le "Front de gauche" forcerait Hollande à pratiquer une politique de gauche… Pas plus loin que la fin du premier tour ou JLM déclara qu'il fallait voter pour Hollande sans rien négocier en contre-partie. Et vogue la galère !
Enfin bref, les lecteurs de De defansa le savent bien, peut-on véritablement croire à la sincérité d'un chef politique qui bénéficie de l'attention des médias dès la création de son parti ?
En conclusion, est-il judicieux d'écrire un article s'adressant à cette imposture ? N'est-ce pas lui donner quelques substances, et pérenniser ce théatre d'ombres ?
Boyan Drenec
27/10/2016
Pour autant que je puisse en juger, il y a l'UPR de François Asselineau — qui bataille fermement pour rassembler les 500 signatures autorisant sa candidature aux élections présidentielles françaises de 2017.
Le programme de ce parti, établi très clairement dès sa fondation en 2007, annonce sans ambiguïté son intention de faire sortir la France du TUE (via l'article 50, comme le Brexit le fera) de l'euro, ainsi que de l'OTAN.
Contrastant nettement avec les positions floues et fluctuantes de Jean-Luc Mélenchon, Monsieur Asselineau a des idées et des principes clairement énoncés.
http://www.upr.fr
Embe
31/10/2016
Passent encore les vaticinations pompeuses et incompréhensibles du roi de Corbénic (c'est dans les Yvelines), qui a bien vieilli depuis le début de la quête… Mais ! On le connaît, il a ses éclairs de lucidité - et ses sources sont souvent pertinentes.
Passent le mensonge éhonté, au vent à nous - las, on s'y est habitué, on dira que c'est de l'ignorance -, la prose alambiquée, l'humour frelaté, qui autorisent surtout à ne pas dire d'où l'on parle, et le fond de la pensée. Pas difficile à déchiffrer.
Quitte à chercher jusqu'à Maastricht - vingt-cinq ans ! - pour trouver de quoi mettre en doute la sincérité d'un homme, hors de tout contexte ou de la moindre mise en perspective, vous pourriez rappeler que bien avant ce parti dont vous semblez si proche, il y eut un Front populaire auquel doit beaucoup un certain petit confort moral infatué... Neuf ans avant 2001 ! Faut-il n'avoir rien vu de l'accélération de l'histoire à laquelle nous assistons éberlués, et n'avoir pas compris une ligne de l'énorme travail effectué ici par monsieur Grasset ! Tristesse, relire ici à chaque ligne, mot pour mot, l'ordure déversée par le MMS toutes ces années sur l'homme que vous vous plaisez tant à conspuer. "Arguments", "vacuité"... Bah, ici la paille est droite, et la poutre bien pliée. Tout ceci n'a qu'un but : défendre le statu-quo, qui fait l'affaire des qui-vous-savez. C'est dans le faits une position de neutralité. Et pour rassurer celui-là qui semble regretter les têtes tombées, d'Eldridge Cleaver : "I don't care what kind of people they are. For all that I'm concerned they can not be neutral. They can only be part of the problem or part of the solution. For all that I'm concerned, the neutrals, they're part of the problem."
Quand au deuxième de la grande école, sans lui faire de procès, on se demanderait bien pourquoi jamais son lointain passé ne résonne, mais on sait : lui au moins n'est en position de pas grand chose, et ne dérange personne.
On s'interroge : pourquoi le pied-nickelé, qui a mille tribunes installées ou l'on peut apprécier sa verve - et juger de ses… idées ? -, pourquoi l'honneur d'une colonne ici, dans ces lieux éclairés ? Comme c'est l'usage, ceux qui regardent la caravane passer se déplacent en meute, et l'on entend aboyer.
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