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Article : Lettre sur une “ornière existentielle”

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petit erratum

Christian Steiner

  18/12/2010

Dans le quatrième paragraphe avant la fin, qui commence par « Ce chaos, ce court-circuit qui disjoncte (…) », une partie de la phrase a sauté. Il faut y lire :

« (...) est dans ce cas le signal et le moyen que trouve le corps pour signifier qu’il faut lâcher prise – oublier un moment tous les problèmes, toutes les tentatives d’actions «classiques» (…) »

(La phrase complète est donc :

« Ce chaos, ce court-circuit qui disjoncte cette partie des émotions, de la pensée, de l’activité qui surchauffe, qui bloque, qui est en excès, est dans ce cas le signal et le moyen que trouve le corps pour signifier qu’il faut lâcher prise – oublier un moment tous les problèmes, toutes les tentatives d’actions «classiques» menées jusqu’ici et qui n’ont abouti qu’à renforcer le blocage fondamental, oublier tout ça, oublier son ego, s’oublier, se décentrer, lâcher toutes les tensions… ce qui a pour effet – pas automatiquement cependant : il faut vraiment être humble et silencieux et à l’écoute (mais aussi l’épuisement total ne laisse guère d’autre choix) –, de permettre d’ouvrir un nouveau possible… »

Correction faite...

Philippe Grasset

  18/12/2010

La phrase est rétablie dans sa justesse originelle… J’ai trop fait confiance à l’aveugle “copié-collé” de l’ultime mise en ligne. Toutes mes excuses. PhG