Abdel Barek abdelsam@hotmail.com
17/03/2023
Bruno Bertez émet l hypothèse que les malheurs du Credi Suisse sont des moyens de retorsions de la oart des États-Unis contre la Suisse et par ricochet contre l Arabie. Avec comle ligne de mire la Deutsche Bank si le voisin Olaf n obéit pas pour fournir rapidement des armes a Kiev.
Pour son hypothèse, il s appuie sur l action de la SEC , gendarme boursier américain et la déclaration de l ambassabeur américain à Berne suite au blocage suisse pour l exportation d armes vers l Ukraine
"La crise a été déclenchée par la SEC américaine quand elle a forcé le CS à avouer publiquement des failles dans leurs comptes."
https://brunobertez.com/2023/03/16/editorial-le-credit-suisse-est-un-coup-de-semonce-aux-allemands-regardez-ce-qui-va-arriver-a-votre-deutsche-bank-si-vous-ne-marchez-pas-droit/
Sebastien Antoine sebastvend3@gmail.com
07/04/2023
"Il n’est nullement question de conclure que je veuille, à près de quinze ans de distance, tresser des couronnes à un Sarko qui est certainement un facteur essentiel dans le processus de désintégration des psychologies et des esprits des directions politiques. Ceux d’hier (2008) ne valaient guère mieux que ceux d’aujourd’hui, mais au moins ils acceptaient de s’occuper de certaines réalités pressantes, et la machinerie où ils se trouvaient permettait encore quelques évolutions qui donnaient l’apparence d’une vérité-de-situation. Aujourd’hui, plus rien (...)."
Ca me fait penser à ce texte de 2002 d'Alain Lipietz : (http://lipietz.net/Quinze-ans-apres)
"Les années 80 se sont achevées avec le naufrage du socialisme réellement existant, avec l’usure de la sociale-démocratie. Et puis, le débat s’est éteint, comme s’éteignait la dissidence japonaise et son “ toyotisme ”, comme se noyaient les exceptions allemandes et italiennes dans “l’eurosclérose” post-Acte Unique et post-Maastrichtienne. Les idéologies de “ la fin du travail ” et de “ la fin de la valeur-travail ” avaient rendu dérisoires les débats sur l’implication négociée des travailleurs. Vinrent alors les années glorieuses de la majorité plurielle et des 35 heures ! Allaient-elles relancer le débat ? Tout s’y prêtait : la négociation des 35 heures permettait et même exigeait un compromis de type “ kalmarien ”. Une relance de la productivité, fondée sur la qualification, explicitement repartagée sous forme de temps libre, avec réduction de la hiérarchie des salaires ? Eh bien non. Dans l’indifférence générale, le patronat français s’adapta aux 35 heures par un surplus de néo-taylorisme flexible".
On peut compléter ce texte en disant que 5 ans après les 35h, Sarko est arrivé avec son slogan "travailler plus pour gagner plus". De fait, il aura été le dernier à se faire élire sur cette question centrale du travail, même sous la forme d'un slogan vidé de son sens, reflétant l'ironie et l'incompréhension du patronat.
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