jean pierre SIMON
08/05/2012
Moscovici a quand meme fait un gros lapsus dimanche
en disant que la france allait se retirer de l’OTAN
Christian Merlinki
08/05/2012
Le Système peut être rassuré, le nouveau est bien un ancien du sérail.
Le nouveau président de la France François Hollande est prêt à retirer les troupes françaises d’Afghanistan un an avant la date prévue. Dans le même temps, aussi paradoxal que cela peut paraître, il est prêt à s’impliquer dans un autre conflit - en Syrie.
S’exprimant à la station de radio Europe-1, Hollande a déclaré: « Si cette opération est approuvée par l’ONU, nous allons y prendre part ».
Crapaud Rouge
08/05/2012
Vous allez chercher midi à quatorze heure ! Quand on est “de droite”, on souhaite un président “de droite”, et l’on voit forcément d’un mauvais il n’importe quel président réputé être “de gauche”, exception faite pour un DSK à cause de son passage au FMI. Critiques et méfiance adressées à Hollande ne méritent donc pas d’être analysées, leurs auteurs étant tout bêtement dans leur rôle : ils s’adressent à un auditoire “de droite” qui n’a pas envie d’entendre des éloges sur un président “de gauche”.
Notons que l’élection de Hollande n’a pas paniqué “les marchés” qui avaient, paraît-il, “anticipé” sa victoire. Il se pourrait même qu’elle les ait “rassurés”, car le nouveau président sera sûrement d’un style moins agité que Sarko.
Arrou Mia
08/05/2012
Son souffle est court, il n’accompagne pas ses mots ni ses phrases jusqu’au bout et sa voix s’y brise, (son père ORl ne lui a pas enseigné la phoniatrie) comme si l’élan donné par la conviction lui manquait.
Vous remarquerez qu’il y a bien un réel dysfonctionnement des cordes vocales qui livrent par saccades ce qui devait être vibrant et ample comme idée.
En dehors de sa longue tirade face au sortant déjà collé aux cordes (du ring), il a été poussé par les hommes de sa campagne, sans trop vouloir croire à sa victoire, par défaut, acquise à reculons devant l’ampleur du désastre du monde. DSK lui-même a préféré déclarer forfait avant même de se lancer, la tâche est rude: le troisième et les quatrièmes tours seront très rudes comme épreuves.
Avoir été chef d’un parti avec autant de parties doit laisser des traces dans le maniement de la dérobade et du compromis, pas de l’audace.
Ptet, l’habit fera le moine et la tonsure!
Michel DELARCHE
08/05/2012
... @Merlinski:
les choses étant ce qu’elles sont, comme disait l’autre, quelle est la probabilité aujourd’hui que le conseil de sécurité de l’ONU émette un vote en faveur d’une action militaire directe en Syrie ?
Poser la question en ces termes c’est y répondre clairement (quoique fort diplomatiquement), et cela semble montrer que le corrézien “totalement inexpérimenté en politique étrangère” qu’on nous dépeint à l’envi, n’est pas aussi complètement idiot qu’il en a l’air…
GEO
08/05/2012
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Les cadres supérieurs ont les mêmes craintes que les ouvriers. La société française se réunifie par le bas, avec un bloc de 99% de la population face au 1% de plus riches, exactement comme à la veille de la Révolution française. Ces 99% partagent le même intérêt objectif : contrôler la globalisation, réorienter l’économie vers la production. Ce sera aux élites de mettre en oeuvre les réformes nécessaires. Une démocratie fonctionne quand une partie des élites prend le parti du peuple. C’est ce qui pourrait se produire. D’où l’espoir que je place dans l’“hollandisme révolutionnaire”...
Marianne: Drôle de concept…
- Les élites à convertir, ce ne sont pas les amis de Sarkozy qui préparent la fusion UMP-FN sous l’égide du système bancaire, mais les élites de gauche, les surdiplômés que l’on accuse d’avoir mis la main sur le PS et de l’avoir coupé du monde populaire. Or le score de Montebourg à la primaire prouve qu’il est possible de les ramener à la raison. Au-delà de la plaisanterie, parler d’“hollandisme révolutionnaire”, c’est une façon de dire : le PS, organisation “normale”, structurée par un minimum de discipline, est seul en mesure de reprendre en main la globalisation et l’Europe passées sous le contrôle des oligarchies financières.
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...)
Hollande commencera dans la modération - son entourage est très modéré - mais il sera conduit à se radicaliser. S’il veut gouverner, ce sera un mars 1983 [quand Mitterrand prit le tournant de la rigueur, NDLR] à l’envers. Un peu comme Roosevelt, homme de gauche très modéré au départ, avec des conceptions très vagues en économie qui, sous l’effet de la crise de 1929, a fini par prendre des mesures radicales (hausse des impôts, contrôle des banques, relance budgétaire). Pour Hollande ce sera le New Deal ou la “papandréouisation”.
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Commentaire: Cet article est je crois déjà référencé sur De Defensa, j’insiste sur un point:
Les gens même qui ont voté Hollande ne s’intéressent guère à son programme, mais à la possibilité de réactions neuves aux circonstances. C’est vrai pour l’ensemble de sa politique possible, tant le face à face avec la crise embrasse d’emblée exrérieur et intérieur.
Franck du Faubourg
08/05/2012
http://rt.com/news/hollande-fiscal-pact-merkel-736/
la video est en fin de texte..
GEO
08/05/2012
Publié 30 avril sur son site, précisons que l’auteur s’exprime au nom de la NAR (nouvelle action royaliste).
http://www.bertrand-renouvin.fr/?p=3460#more-3460
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En appelant à voter pour François Hollande, nous disons simplement que les Français ont la possibilité davoir à nouveau un président de la République, après cinq années dautocratie. Comme le candidat socialiste est décidé à renégocier le nouveau traité européen, ce qui est effectivement dans ses attributions, comme il est décidé à retirer nos troupes dAfghanistan, ce quil est en droit de faire puisquil est chef des armées, nous avons été amenés à juger favorablement les conditions de cette éventuelle prise de fonctions. Rien de plus, rien de moins.
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Ce qu’on pourrait appeler le « choix rationnel » de françois Hollande, pas très différent de l’antisarkosisme spontané de beaucoup d’électeurs dont ce paragraphe est peut-être la version raisonnée.
pierre
16/05/2012
Panetta steps into F-22 fighter controversy, orders new flight restrictions on prized fighter
WASHINGTON Facing a mysterious safety problem with the Air Forces most-prized stealth fighter, Defense Secretary Leon Panetta on Tuesday ordered new flight restrictions on the F-22 and summoned help from Navy and NASA experts.
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