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Je vais finir par aimer la Classe-Politique, la Justice-Française…  on les trouve toujours où on les attend… Parce qu'on attend d'eux.. RIEN.   
Le verdict de Valence n'a suscité aucune réaction. On avait osé un crime de lèse Kéké 1er (car la réalité de l'impact de la gifle, même, n'est pas prouvée).
Personne n'a été choqué de la psychiatrisation de l'acte politique, non, personne, pas les thuriféraires de Navalny, les Hollande, les Glucksmann, les Benoît Hamon, non,... Damien Tarel doit se soigner (mais il va en geôle, contrairement à l'assassin de Mme Halimi). Et, là, il y a de la place dans les prisons, il y a en a toujours pour la répression politique.
Personne n'a été choqué du fait que Damien Tarel soit interdit de -travailler à vie ! - dans la fonction publique, quand on sait le nombre de fichés S qui y sont accueillis (penser à M. Harpon, recruté en connaissance de cause).
Le procureur de Valence est dans son rôle, ils sont tous du même acabit,  du siège ou du parquet,  la racaille louis-philipparde, au service du régime, jusqu'au bout, jusqu'au bout de l'abjection.  Ils ont pour eux Mélenchon qui a atteint le sommet des hautes sphères de l'odieux. Pauvre Mélenchon, Tartarin en guimauve, tantôt flirtant sur les quais de Marseille avec Kéké 1er, avec des mines de dévotion que n'oserait une bigote (7 septembre 2018), tantôt vibrant de compassion pour  Brigitte Macron (dire : First Lady) quand celle-ci est "insultée" (c'est insulter la France !) par un ministre brésilien, tantôt surjouant l'empathie pour son président qui a failli être souffleté.
Et, maintenant, ce Mélenchon qui supplie Macon de se présenter. A-t-on jamais vu farce plus atroce que ce spectacle de Mélenchon voulant se faire passer pour l'opposant n°1,  alors, qu'à chaque occasion  ce sous-Tartarin grotesque en remet en allégeance à son suzerain.