Stephane Eybert
14/03/2016
Encore un article de Badia Benjelloun que je n'aurais pas pu lire. Au bout de quelques paragraphes, le style faisant, mon attention et mon interet tombent. Il m'est impossible de lire cette prose. Peut-etre parce que cela n'est pas vraiment une prose. On y ressent une lamentation, un desespoir, la mort. Il serait interessant de proposer un concours du texte le moins vivant possible. On y trouverait Badia Benjelloun en bonne position. Je lui enverrais alors toutes mes felicitations. Sans avoir pu la lire evidemment.
Luis Martos
16/03/2016
Eybert tu sais pas ce que tu perds !
Fatimetou Vadel
16/03/2016
Eybert!
Cherchez-vous plutôt près des 800 millions d'adultes analphabètes dans le monde..
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