Yodalfo M.C.
28/01/2013
L’article souligne bien que le Mexique ne pose aucun défi aux USA comme grande puissance; ce qui permet aux rouages de la Bureaucratie de s’enrayer entre eux, et à Obama de ne jamais l’évoquer.
restent pourtant d’autres arguments. J’en vois trois:
1) Qui cela intéresse-t-il, aux USA, 60 000 tués, pauvres péones du Tiers-Monde? En effet: personne, et sûrement pas les tenant du Darwinisme social.
2) C’est une guerre de narco-trafic. Qui sont les Américains qui touchent sur la “culbute” des prix de la drogue à l’intérieur du territoire? En effet, on n’en sait rien: on n’arrête que des convoyeurs et des dealers de quartier, aucun policier, aucun fonctionnaire, en connaissez-vous? En 20 ans de résidence en Colombie, cette question, je l’ai vue obséder, puis, de guerre lasse, faire éclater de rire les Colombiens…
3) Enfin il y a un excellent argument psychologique.
Plus les pauvres seront des “barbares”, plus les USA pourront se représenter eux-mêmes comme le pays des “Braves”, “We, the People”, et Obama raviver la flamme gazeuse du “rêve Américain”.
Paul Béland
28/01/2013
Quand même le Times en parle…
Hashem Sherif
30/01/2013
Très simple pour déplacer la France. Aucune puissance ne menace la présence des États-Unis au Mexique
“The War On Mali: Who Are the Major Actors?” with Michel Chossudovsky. The French intervention in Mali within the broad historical context of post World War II geopolitics; who is really re-colonizing the African continent; the history, economy, and natural resources of Mali; covert war; al Qaeda in the Islamic Magreb; the Tuareg; the 1982 Canadian Study of Mali; IMF and World Bank reforms; the hostage crisis in Algeria.
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