Arrou Mia
24/04/2012
qu’il promet l’Hollande.
Si l’ONU le décide, mais c ki l’ONU? si ce n’est l’un des siens?
Jean-Paul Baquiast
24/04/2012
Il est curieux de ne pas entendre Hamon évoquer les pressions US concernant le BMDE. Le sujet est au moins aussi structurant que la Syrie
Laurent Demaret
24/04/2012
L’un parle au nom du parti, l’autre serait le “bras droit” du candidat Hollande.
Si c’est à cette vision de la Russie que souscrit F Hollande on aurait plutôt des raisons de craindre que d’espérer ..
http://french.ruvr.ru/2012_04_24/Russie-France/
Extraits
-La Géorgie-“Par rapport à lOTAN, je sais quavec la question de la Géorgie il y a eu là des tensions fortes. Je pense que la Russie a accepté le fait que lOTAN était là ; je ne crois pas quaujourd’hui..”
-L’OTAN-“Lorganisation militaire la France y est. Je ne sais pas comment on pourrait sen tirer aujourdhui
”
-La Russie-“Un, grande puissance dont il faut tenir compte ; deux, il faut avoir des politiques qui soient des relations diplomatiques suivies avec la Russie ; trois, il ne faut pas sempêcher dêtre exigeant avec la Russie, en particulier, sur les droits de lhomme et sur la liberté de linformation”
Aïe aïe aïe, tout ça semble loin des propos de B. Hammon et laisse plutôt l’impression de gens qui fréquentent assidument le parti des salonnards bientôt ravis d’épauler le symbole de la modernité qu’est BHO
Laurent Demaret
25/04/2012
Le lien du précédent message n’était pas le bon pour voir, traduites, les déclarations de Le Foll. C’est celui là en définitive http://french.ruvr.ru/2012_04_20/presidentielles-France-Francois-Hollande/
Comme ne l’indique pas (tout à fait) le lien il y parle aussi de l’agriculture.
Il semble bien que, quelle que soit l’issue du scrutin, on aura un atlantiste, pro-sioniste et plutôt anti-russe à la présidence de la république française ou que la politique étrangère continuera à se faire dans les beaux salons de St Germain des Prés
Jack v.
29/04/2012
J’ai découvert avec surprise qu’il existe, en matière de production d’énergie électrique, une alternative à la dangereuse filière uranium.
Fukushima et le risque de prolifération nucléaire ont conduit certains à réfléchir sur l’opportunité de revoir la technologie utilisée dans lce domaine.
Un autre choix est paraît-il possible pour lequel les risques pour l’environnement seraient négligeables parce que les réacteurs fonctionnant d’après ce procédé n’explosent pas et qu’ils ne contiennent pas de fluide sous pression.
Le combustible utilisé à la place de l’Uranium est alors le thorium sous forme de fluorure de thorium fondu à 400° C.
Le réacteur au thorium est plus facile à construire et à contrôler. En cas d’accident et de perte d’alimentation électrique ce type de réacteur s’arrête de lui-même au lieu d’exploser comme on l’a vu à Fukushima.
On peut se demander pourquoi on “redécouvre” cette option aujourd’hui alors qu’elle était connue depuis longtemps. La réponse : le nucléaire a d’abord servi à fabriquer des bombes, ce qui n’est pas très aisé dans la filière thorium.
Les US ont choisi la filière de l’uranium pour cette raison puis ils ont exploité le savoir-faire acquis de cette façon pour produire de l’énergie. Une fois les investissement initiaux faits, il n’a plus été question de revenir sur le choix de la filière uranium. Les autres pays ont suivi, certains, comme la France, pour la même raison initiale.
En réalité, le seul avantage de l’uranium sur le thorium c’est justement qu’il permet de produire des bombes.
Aujourd’hui le lobby nucléaire continue de travailler à faire adopter ce choix choix irrationnel partout, y compris dans les pays qui ne désirent pas s’équiper d’armes nucléaires, parce que la survie des multinationales qu’il sert en dépend.
Aujourd’hui, les pays qui envisagent de façon officielle de miser sur la filière thorium sont la Chine et l’Inde qui manquent d’uranium mais possèdent des ressources abondantes en thorium qui les mettraient à l’abri du besoin en matière d’énergie.
Pour la première fois, les pays occidentaux sont en retard dans un domaine qui risque de devenir vital, vu l’état des ressources en uranium. Ce retard est sans doute du à l’influence du lobby nucléaire (filière uranium) qui a tout à perdre dans cette affaire et qui est très proche de tous les régimes au pouvoir dans les pays occidentaux.
Je dois avouer qu’en creusant ce sujet, j’ai constamment eu à l’esprit, un doute sur les motivations réelles de ceux qui aujourd’hui sont sortis de leur silence pour promouvoir cette nouvelle filière. Et si ce n’était que pour imposer à l’Iran une filière nucléaire sans débouchés militaires ?
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