Dominique Larchey-Wendling
17/03/2010
dirait que c’est une crise classique de surproduction liée à la libéralisation des échanges. On a pressuré le salarié ce qui a généré d’énormes bénéfices concentrés dans peu de mains. Mais surtout, on a tué l’acheteur puisque qu’en fin de compte, l’acheteur est le salarié.
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