perceval78
18/12/2014
Je l’ai appris il y a peu, Tyler n’est pas un personnage physique mais un collectif de bloggeurs lien ce qui n’enlève évidemment rien, au contraire, à la pertinence de leur propos.
Décidément on parle beaucoup des relations Sino-Russe y compris dans les cercles très officiels, ainsi cette étude de FRIDE :
FRIDE ?@FRIDE 44 minil y a 44 minutes
#Chinas siding w/ #Russia on #Syria shows what a stronger political involvement could mean for regional dynamics
lien
Franck du Faubourg
18/12/2014
Entre Philippe Grasset et Perceval78 (mais pas que), on se régale !
Il faut certes faire le tri, mais il y a quelquefois de bonnes informations venant de Martin Armstrong, notamment les dates que ses ordinateurs calculent; nous connaissons son fameux 2015,75 (1er octobre 2015) correspondant au point de bascule de son Economic Confidence Model, qui a été décelé dès 1985, et qui correspond au “big bang des dettes souveraines”
La vérification est faite régulièrement. La question qui semble le préoccuper le plus ne porte plus sur les dates, mais sur les amplitudes / intensités des événements à venir; Mad Max event ou muddle trough..
Il n’est pas très optimiste pour le moment.
http://armstrongeconomics.com/2014/12/12/us-treasury-ordering-survival-kits-for-bank-examiners-anyone-expecting-a-crisis-here/
http://armstrongeconomics.com/2014/12/15/where-do-we-hide-was-dante-right-is-the-end-near/
Ilker de Paris
20/12/2014
Après la crise de 2008 où les pertes du système financier, devenu sorte de méga casino, ont été mutualiseés, “on” demandait aux États, qui fonctionnent au libéralisme version ultra, de réguler ce système, sinon d’en prendre le contrôle.
Eh bien c’est ce qu’il s’est passé mais pas dans l’optique de ceux qui demandaient plus de raison dans ce système, les décideurs politiques ont engagé les banques centrales à injecter des sommes astronomiques pour acheter les “actifs pourris”, de combler les pertes des banques et autres joyeusetés qui ont fait explosé les dettes publiques, mais ont donné aux États un certain contrôle du système financier, ce qui a permis de manipuler les cours de bourse à la hausse (le Dow Jones est aujourd’hui à 17500 points contre 14000 avant la crise), les cours des matières premières, et donc les taux de change.
Ainsi, loin de les réduire, ils ont ajouté aux magouilles des établissements financiers privés, les magouilles d’Etat (États-Unis en tête) avec objectifs politiques (ici affaiblir la Russie).
Sur un plan pratique, le libéralisme (laisser faire, laisser passer) ne fonctionne plus que par la manipulation, et se rapproche donc d’un système arbitraire, qui ne suit plus ses propres règles, d’une république bananière en fin de compte, de ceux dont, dans les médias système, on fait la critique facile.
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