alain pucciarelli
05/08/2019
Analyser le passé avec la conscience du présent est un exercice risqué. Certes, notre Napo a eu bien des défauts. Mais à certains égards, en son temps, ses débordements ont eu des conséquences que certains jugent vertueuses notamment sur une Europe encore largement féodale. A qui la faute si l'Histoire, les défaites, les succès des uns et des autres, un XXe siècle cataclysmique nous ont amenés où nous sommes? De grâce, reprochons à l'Empereur ce qui doit lui être reproché, en son temps, et pointons les responsabilités de ceux qui jusqu'à aujourd'hui nous ont menés dans le mur. Comment tenir de pareils raisonnements sans en avoir honte? Pour user d'un mot tendance, qu'est-ce que cet amalgame insupportable? Je ne suis pas un fan du Bonaparte, mais au moins, quitte à évoquer l'Histoire, respectons-la.
alain pucciarelli
05/08/2019
Bon. Vous zappez mon commentaire. Il se trouve que je suis un passionné de la période napoléonnienne, et que M. Bonnal dit des sottises plus grosses que nous. Qu'il fait en plus un contre sens absolu dans son acception de l'histoire. C'est un idéologue patenté, et donc en aucun cas un "penseur", positionnement dont il a su se prémunir. M. Bonnal est réslument un idéologue. Cher M. Grasset, vous avez beaucoup de qualités, mais les miennes ne sont pas moindres que les vôtres. M. Bonnal se perd là où il se trouve: sur les rives de son idéologie. L'ultra libéralisme? Et pourquoi non? Mais avec intelligence. Vaste sujet!
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