Jean-Paul Baquiast
17/01/2009
J’aimerais bien que le concept d’Air dominance soit en déroute, comme l’écrit Ddefensa, mais je ne suis pas certain que ce soit le cas. Tant que les USA demeureront une superpuissance politique, ils auront besoin d’assurer leur bases économiques (accès au pétrole, aux matières premières, aux espaces géographiques stratégiques ) par la maîtrise militaire de l’air (et du spatial). Même en situation de crise économique aigue, ils n’abandonneront pas leur Air and Spatial Dominance. De même, un organisme qui perd ses forces réserve son oxygène au coeur et au cerveau.
Il serait donc plus que jamais nécessaire que Etats, dont l’Europe, qui ne voudraient pas rester sous l’ombre de la domination américaine, se dotent de ressources propres dans ces domaines. Pour l’Europe, il faudrait renoncer à soumettre les industries aérospatiales et d’armement à la domination technique et intellectuelle exercée par le Pentagone via l’Otan et les achats d’armes imposés. Personne ne semble l’avoir encore compris. Tant pis pour le Rafale, Galiléo et autres programmes moribonds.
Nicolas Stassen
21/01/2009
L’école de guerre économique n’est pas une formation comme les autres. Elle a été créée en 1997 pour combler deux lacunes importantes dans la formation initiale et la formation continue :
- la prise en compte des affrontements informationnels dans la définition de la stratégie des entreprises, des administrations et des collectivités territoriales;
- la problématique de l’accroissement des puissances de l’après-guerre froide dans une mondialisation des échanges de plus en plus conflictuelle.
Voir :
LES BANQUES EN DANGER
Secteur bancaire français:
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