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Quelle est la véracité de l’acte ?
C’est la question pivot que prédomine l’évolution.

Dans un certaine mesure, l’acte ne peut être que ‘‘réel’‘
Dans un autre format, l’acte est le produit d’un intention.

C’est dans son intention que l’acte dévoile son potentiel,
celui de détenir une autre option du repaire vérificatif.

La perception qu’implique l’acte
est elle une base réaction créative ou réactive ?
Réactive est celle qui présente la réalité sous un nouvel angle,
créative est celle qui propose une nouvelle réalité.

Toute l’essence de la création est composée
de ce mélange subtile entre évolution et involution par l’acte.

L’acte en temps que rouage directionnel évolutif
est la composante principale de l’expression de puissance.

L’acte étant le support d’une vérité exprimante,
il est bon de souligner cette phrase de Napoléon :
La vérité est le mensonge sur lequel
le plus grand nombre de gens sont tombés d’accord.

Si cette perception est toujours d’actualité, le dosage de
ses composantes évoluée propose l’involution.

C’est l’action de l’acte par substitution.

Dans l’acte par substitution, il faut évoquer la
capacité de cette vérité à proposer au plus grand nombre
de tomber d’accord sur une vérité d’actes réactive.

L’acte est détenteur d’un pouvoir de vérité.
Son résultat, si il est évolutionniste (de part son intention)
est de proposer une vision créative de l’inconnu.

A ce titre, la vérité doit être appréciée comme une monnaie.
La vérité est la valeur sur laquelle sont basé nos échanges.

Toute pièce de monnaie comprends deux faces.
Ne proposer qu’une seule version de la vérité
exprime l’incapacité de cette version à détenir
une quelconque valeur.

La vérité, si jamais vérité soit nécessaire,
se trouve au centre, soit sur le tranchant de la pièce.
Sans vouloir jouer sur les mots,
la symbolique en serait que de son côté pile elle empile
et que de son côté face elle s’efface.
D’une main de fer elle propose le chaos,
de l’autre elle offre des fleurs.

Plus ces deux forces sont équilibrées, plus
le tranchant est tranchant.
La fluidité induite par cette finesse est
la valeur de la pièce.

Mais nous en sommes déjà rendu si loin
dans l’acte par substitution pour créer une
vérité que l’acte en est devenu fiduciaire.

Et de part sa radiation adaptative,
la valeur de la vérité s’est transformée,
jusqu’à en devenir, la base de nos échanges,
une monnaie fiduciaire.

Si nous en sommes aujourd’hui à cette conclusion,
c’est que l’expérience à atteint son objectif,
celle de nous enseigner.

Et comme pour chaque expérience aboutie,
elle signe le départ de nouvelles quêtes.
Fruit de cette enquête perpétuelle qui est de
définir… l’indéfinissable.

Nous sommes arrivés sur cette ligne de départ
ou le désir unanime est d’avoir à
se proposer une monnaie d’échange Humaine.

Cette force permettrait t’elle de s’offrir le rêve,
la base d’un raisonnement évolutif ?
Si oui, elle est porteuse d’un nouveau paradigme,
une civilisation freestyle

Ce qui nous caractérise, nous, les humains de la Terre, c’est notre manichéisme.
Dans la plupart des commentaires sur la politique mondiale, toutes publications confondues, les chroniqueurs ont toujours en tête de ce combat entre le Mal et le Bien. On dirait qu’il FAUT un parti de GENTILS et un parti de MECHANTS.
En réalité, cette césure artificielle n’a aucune pertinence! Dans le fond, Marx avait raison: il y a le Prolétariat et la Classe Dirigeante.
Les prolétaires travaillent, créent de la valeur; et l’élite mondiale utilise cette valeur pour ses propres desseins.
Dans l’analyse de notre situation, la Classe Dirigeante est en train d’abandonner la Federal Reserve et les Etats-Unis en tant que vecteur de pouvoir, et d’adopter les BRICS comme nouveau fief.
L’élite financière se fiche comme d’une guigne des Anglo-Saxons, des Ukrainiens ou des Irakiens. On en veut pour preuve la politique extérieure aberrante des Etats-Unis: les pantins s’agitent; ils agissent aux ordres d’une stratégie à laquelle ils ne comprennent rien. Ils n’ont même pas le nerf de résister, et prennent des décisions contraires aux intérêts de leurs nations respectives. Mais cela ne les place pas pour autant dans l’Elite: ils sont et resteront des prolétaires, à moins qu’ils ne jurent leur loyauté à certain incontournable personnage, tout en haut de la pyramide… En attendant, on leur lance quelques millions de USD pour leurs services, comme on jette un os à un chien.

Poutine en Ukraine n’ira pas
Porochenko du chocolat le roi
Donbass et Crimée perdra
et de son trône tombera…

Et Khamenei ne perd pas la face.
L’ Azerbaidjan ne réanimera pas le projet Nabucco http://fr.ria.ru/presse_russe/20140827/202266320.html
La géopolitique n’est toujours pas pour les âmes sensibles !