EricRobertMarcel Basillais
28/07/2018
I. L'article du Saker cité, se termine sur l'hypothèse, ici renforcée par la citation australienne, "d'une guerre de grande ampleur".
II. Sans doute l'idée fixe de Trump a dûe être remarquée au Kremlin dernièrement (Helsinki). Quelles sont ses motivations ?
1/ l'influence sioniste dans la famille Trump
2/ le rapport de forces interne aux USA (la"guerre civile" à D.C. )
3/ la géopolitique : l'Iran, Sud russe, placé sur la route de la Soie chinoise, au coeur d'un gisement d'hydrocarbures régional.
Dans ce dernier cas, l'Iran n'est pas une fin mais un moyen. La Chine est la cible prioritaire de Trump (avec l'immigration, mais c'est hors sujet), une idée tout aussi fixe, depuis sa campagne électorale. Une menace d'escalade mondiale peut suffire.
Mais dans les deux premiers cas, la psychopathie israélienne, sur laquelle le Saker appuie, laisse peu de place à une forme d'intimidation ; dans la mesure même où les risques ne seraient pas encourus par Israel mais son puissant Golem ; du point de vue israélien du moins.
III. Et la citation finale « “La perspective apparaît alors, du point de vue de la communication, extrêmement importante et sérieuse, et elle rejoint une possibilité qu’avait évoquée un néo-sécessionniste du Vermont, Thomas Naylor, en 2010, à propos de la crise iranienne :‘Il y a trois ou quatre scénarios possibles de l’effondrement de l’empire [les USA]. Une possibilité est une guerre avec l’Iran…’ “Après tout, certes, ce serait une bonne manière de régler la “guerre civile” qui fait rage à Washington D.C... »... notre intérêt, à nous, comme l'intérêt de bien d'autres dans notre situation, serait de savoir les conséquences réelles ( non propagandistes) de cette anti-solution finale. Incertitude ...
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