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Article : Notes sur notre grotesquerie

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Balivernes et inculture des salo(n/p)ards

jean-jacques hector

  24/09/2012

“la laïcité comme valeur fondatrice de la République”

Ah bon ?

La Rome antique et républicaine de -509 à -44 était-elle laïque ?

Pauvre France: ave Cesar, morituri te salutant

Morbihan

  25/09/2012

Après les politiques étrangères (?) désastreuses de Chirac, puis surtout de Sarkozy, nous voilà revenus celle de la SFIO. Après un mollasson, ensuite un excité, nous voici avec un boutiquier, non, un apothicaire qui passe son temps à peser au milligramme la représentation dans son gouvernement “réduit” - 37 maroquins… - des différents courants de son parti. Alors qu’il y a le feu dans la maison. et au dehors…

Nous tombons de Charybde en Scylla.

Le vide abyssal de vision de ce qu’est et doit rester la France, de la part de nos “élites” (???) - politiciens,  énarques, journalistes, philosophes auto-proclamés… - me laisse pantois.

Faut-il vraiment que nous soyons dans la m… jusqu’au cou pour, qu’enfin, une homme d’état surgisse pour mettre de l’ordre dans ces écuries?

C’est désespérant.

Mine de rien....

Fabrice

  25/09/2012

Je préférais quand même le Chirac. Même s’il n’était Gaulliste qu’en intentions, sa tendance naturelle (mollassonne peut être) à faire le caméléon permettait encore à l’époque de laisser la France parler par elle même (avec ou sans son entremise).

Depuis cette “France” là semble avoir disparu. Fait d’arme à porter au crédit du soldat post-moderne Sarkozy.

Un instant, après l’élection du nouveau, et avec l’envoi de Rocard en Iran j’ai voulu croire à une possibilité de retour de cette “France” là, Fût ce par la petite porte…
Mais il semble n’y être allé que pour décider de lancer sa remarque sur les économies que l’abandon de l’armement nucléaire Français permettraient…

Oui somme toute, quand je vois tout cela j’en arriverais donc à encore défendre celui que j’appellerais donc encore le Président Chirac.