Jean Marc Delaitre
26/12/2015
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Il faudra encore de longues études pour comprendre à quel point la bétise du bloc BOA est stupéfiance et infinie.
Cela peut aussi s'appeler l'effet boomerang.
perceval78
26/12/2015
Christian Merlinki
26/12/2015
C'est un vrai jeu de rôle. Histoire coquine pour prétendants au trône universel. Vous évoquez la situation russe qui relève plus de la volonté poutinienne que de la Russie : "... mais de la position de Poutine qui reste dépendante des règles économiques et financières du Système avec lequel il n’a certainement pas complètement rompu." Auriez-vous déjà oublié le discours de septembre à l'ONU? Dans lequel, une partie importante est consacré au réchauffement climatique global - selon les rentables hallucinations du GIEC - qui trahit donc sa position sur cette question ne la déniant nullement et, de surcroît, confie son blanc-seing à l'ONU, ainsi le GIEC reçoit la consécration du maître Poutine lui-même. Le reste du monde n'a plus qu'à se prosterner pour cette nouvelle religion de l'ère du verseau. Le regard ne s'est pas encore éclairci sur le personnage sibérien, dirait-on; l'actualité s'en chargera bien plus sûrement mais, comme pour les carabiniers d'Offenbach, avec un temps de retard. La pièce mondiale brandie par Medvedev en 2009 et ce tout frais discours-clé pour lequel, tous les simples n'auront retenu que la remise en place du BAO par le challenger slave devraient retenir davantage l'attention et y susciter une claire réflexion. Poutine est un homme de la génération de la guerre froide et entièrement moulé par elle donc par le système qui l'a engendrée, voilà pourquoi Poutine devra disparaître, au même titre que les autres, pour une nouvelle génération de chefs d'Etat amenant une nouvelle vision de la géopolitique engendrant un monde multipolaire bien plus authentique que celui dont les masses mondiales voit en Poutine le porte-drapeau. Non, Poutine ne souhaite aucunement mettre fin au rêve bushien du NWO, à contrario l'encourage en précipitant la chute du système, même contraint par une actualité qui semble faire pression en ce sens. Désolé pour les russolâtres et les américanolâtres, mais ces deux mondes qui semblent s'opposer, comme feux les Frères Ennemis, sont bien les deux ailes d'un même asile psychiatrique bien organisé comme le voyait déjà avec une pertinence amère Edward Limonov en 1989.
Christian Feugnet
26/12/2015
C'est à mon avis , un détail qui manque , du fait qu'il est lourd en signification sur la nature du systéme .
L'opération gaz de schiste fut stratégique sur plusieurs plans , cause d'une croissance US ,( nota bene au prix du pillage d'un bien commun : la nature ), réduction des imports , ( donc du lobbing Arabe) ,croissance des exports pour faire piéce au gaz Russe et à l'accord avec l'Europe .
Mais le plus significatif est la maniére ; sachant pertinnement qu'il n'était pas rentable , garanties par des dérivés bancaires ( pas seulement des préts bons marchés ) à 100$ . Mais voilà les pertes bancaires s'accroissant les banques ont cracqué , ses dérivés n'existent plus . Ce sont les banques qui ont trahi , alors qu'elles n'incarnent pas l'arriére-ban sur la ligne de front mais l'avant garde . La raison en est et c'est là l'événement nouveau , le changement de paradigme et les réajustements que l'on observe de ci de là ( Ikhraine , Syrie ...) , le Fed ne fait plus ce qu'elle veut , elles a des contingences , et elle c'est la clé de voute .
A l'inverse , pourquoi malgré les dégats causés à la société Russe , l'état Russe , Poutine tiennent le coup , parce gaz et pétrole sont plus vendus de gré à gré à prix convenu sur contrats à long terme , mais surtout Poutine a constitué des réserves , au cas où , qui se sont pas dans les mains de la banque centrale Russe ( faux cul sous controle US) , mais au Trésor !
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