Christian Feugnet
06/12/2015
L'idée me vient que le tourbillon crisique est assimilable à une centrifugeuse . J'illustre , ci on met du lait ( çà pourrait étre tout autre chose ) dans une centrifugeuse , on assiste pour les nostalgiques , à une apocalypse du lait . Les hypothéses sur sa composition s'éliminent à mesure , de la centrifugation . Au final , on a à un bout du petit lait , et du beurre , à un stade intermédiaire , de l'épais ou du liquide , ou du liquide et de la créme . Pour la créme c'est pas l'apocalypse , , elle est enfin séparée du vulgaire . Le petit lait on le jette ou ont le donne aux cochons . C'est de l'eau principalement .
En général on s'arréte là . Mais les parties séparées ne sont pas réduits à leur simplicité pour autant . Ils existent des éléments divers en leur sein qui peuvent interagir séparément .
On a toute une gamme d'interactions , le long de la steppe , où on ne jette pas le petit lait .
çà va du yaourt bulgare , au kéfir , et une véritable vodka que font les Mongols avec . Processus compliqués dont ne rend pas compte la centrifugeuse .
A l'inverse en Occident on a porter les efforts sur l'épais , on a fait toutes sortes de fromages .
Pour parler plus précis , plus formalisé , plus général ,le destin d'un systéme , ne dépend pas seulement de son rotationnel . On distingue le nabla , la fonction , la matrice des données . Qui donnent le rotationnel , le gradient , le divergent et celà selon les trois directions de l'espace , parce toute chose qui existe en ce bas monde à une forme . On a donc une matrice qui réunit tout çà en un en 9 éléments bien ordonnées .
Pour autant , on est loin de tous comprendre mais on est sur de ne rien omettre .
Hédi Dhoukar
06/12/2015
Dans notre représentation, l’objet appelé « Système » est, selon l’expression de Heidegger, un étant qui doit être fondé sur la raison et justifié par elle.
La raison ne reconnaît en effet l’étant que sous forme d’objets, et sa réalité repose sur l’intersubjectivité ; c’est à dire sur le nombre de sujets qui y croient. D’où, pour ce qui nous concerne, l’importance des narrative et le fait que ces narrative se disqualifient sans cesse à mesure qu’elles se révèlent incapables de fonder l’étant (le Système) de façon convaincante, c’est-à-dire rationnelle. La remarque de Kunstler évoque d'ailleur la réalité et l’importance de l’intersubjectivité : « Il y a sûrement une sorte d’organe sensoriel massif, invisible dans les sociétés, qui reçoit le signal que tous les systèmes sont en crise » (réalité intersubjective).
Mais, dirait Heidegger, il n’y a pas d’étant sans l’être.
Quel est donc l’être de l’étant appelé Système ? Heidegger souligne que l’être est sans fond ; il ne repose pas sur la raison, mais sur un abîme. S'il se laisse percevoir cependant par la pensée représentative, c'est en se dispensant à elle tout en s’y dérobant : en se dévoilant, il se voile.
Pour résumer, aux yeux du principe de raison, le Système a perdu sa légitimité, son fondement, laissant percevoir son être dont le fond est un abîme. Il faut donc absolument le refonder sur la raison.
« Rien n’est sans raison ». Heidegger a pris soin de souligner la double accentuation de la proposition, ou axiome, ou « principe », de Leibniz. D’abord, il insiste sur le « rien » : une négation qui désigne tout étant ; ensuite sur le « sans » : une seconde négation qui appelle qu’une raison soit fournie à tout étant. On a ici une idée de ce qui oppose les Système aux antisystèmes : les antiSystèmes appellent qu'une raison soit rendue pour justifier l'existence du Système.
Tout cela reste dans la logique de la pensée occidentale. Ce qui autorise un certain optimisme, tant qu’on reste confiné au sein de cette logique. Mais dès l’instant où l’on cherche à déstabiliser cette logique par l’irruption de ce que Philippe Grasset appelle fort justement, et intuitivement, le « blockbuster hollywoodien » Daech, ou Isis, —en opposant une représentation hollywoodienne gonflée par les média à la représentation rationnelle — on ouvre grandes les portes devant l’irrationnel, la politique de l’instinct, et cela dans le seul but de faire échec à la logique de cette pensée : pour, littéralement, l’a-bî-mer et la préparer à toutes les folies.
perceval78
06/12/2015
Edward Lucas a annoncé jeudi la suspension d'un compte parodique fake de Sputnik à savoir @sputnik_intl
Edward Lucas @edwardlucas Dec 3
Oh no! The brilliant parody account @sputnik_intl is suspended. Where will we get our news? @DarthPutinKGB
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Ce compte n'était pas drôle mais reflètait sans doute les pensées secrètes de certains
Sputnik @Sputnik_Intl Nov 30
BREAKING: #Russia readies to nuke #Moscow to disperse the truck driver protests
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Le compte remplacant n'est guère mieux
Vladimir Putin @DarthPutinKGB 25 nov
Today's weather is cloudy with a chance of nuclear strikes.
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Jean-Pierre Monfort
07/12/2015
Bonjour,
Ce que, sur Dedefensa.org, vous pensez avoir formellement identifié comme la crise d'effondrement du système n'est, à mon sens, qu'une entreprise obstinée de destruction de la démocratie.
Un système en phase d'effondrement peut en cacher un autre parfaitement préparé pour surgir sur les ruines de la démocratie. Je n'oublie pas que nous sommes toujours promis à un nouvel ordre mondial qui, à ma connaissance, n'a renoncé à aucun de ses objectifs.
Dans cette perspective, et pour en finir avec toute forme de parasitage démocratique, le chantage à l'apocalypse devrait mettre tout le monde d'accord.
Je schématise à outrance. J'en suis bien conscient et je devrais sans doute développer bien au-delà de ces quelques lignes. Mais je ne cherche pas à convaincre, juste à attirer votre attention sur une possibilité qui, depuis des années, tarabuste mon intuition "haute".
Le 11/09/2001, l'effondrement de trois tours de NY a déjà empêché des millions de personnes de faire fonctionner leurs cerveaux. Je crains que l'effondrement général que vous nous promettez ne nous plonge dans une stupéfaction telle que la défense de nos libertés devienne le dernier de nos soucis.
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